

Vous aider à intégrer des protéines végétales au quotidien ne peut se faire au détriment de votre palais. Pour y parvenir, nous avons développé une formule originale en veillant à ce que les apports protéinés soient optimaux, que le goût soit délicieux et que la texture soit satisfaisante.
Au-delà des protéines de pois et de riz, notre mix associe des protéines issues de la levure de bière : ProtevinTM reconnues reconnues pour leur indice chimique élevé et leur haute digestibilité. Le tout est subtilement aromatisé par une poudre naturelle de cacao. Notre protéine végétale ne contient aucun sucre ajouté, seulement des glycosides de stévia, un édulcorant naturel.
Contrairement aux idées reçues, ce n’est pas seulement la teneur protéique qui fait la qualité d'une bonne protéine végétale. Si notre mix déclare 71% de protéines végétales, il propose surtout un aminogramme optimisé incluant les 9 acides aminés essentiels et affichant ainsi un indice chimique* de 94. Cet aminogramme équilibré obtenu grâce à 4 sources protéiques complémentaires (pois, riz, courge et chia) garantit de fait une bonne digestibilité et une bonne assimilation.
La digestibilité reflète la capacité de l’organisme à assimiler les acides aminés apportés par une protéine donnée.
Plus un aminogramme est complet et bien équilibré, plus la digestibilité d’une protéine est élevée. Dans le cadre des mix végétaux, obtenir un aminogramme complet nécessite l’assemblage de plusieurs sources de protéines. Nous avons ainsi sélectionné 3 sources complémentaires : le pois, le riz, la levure.
Ce mix est exempt de sucre et texturant souvent utilisés pour aromatiser et épaissir les poudres de protéines et est labellisé vegan.
*Indice chimique : il permet de qualifier la qualité de l’aminogramme (c’est-à-dire le profil en acides aminés) d’un mix de protéines par rapport à une protéine de référence. Un aminogramme de qualité est un aminogramme complet (avec l’ensemble des acides aminés essentiels) et équilibré. Un indice chimique supérieur à 100 signifie que la protéine présente un aminogramme complet et fonctionnel.
En essayant de diminuer notre consommation de protéines d’origine animale, il n’est pas toujours évident de trouver des substituts complets et qui s’intègrent facilement à notre quotidien. Notre Protéine Végétale est une formule nutritionnelle à base de 71% de protéines végétales destinée à pallier une moindre consommation de protéines ou un besoin augmenté dans une démarche plus durable.
Les protéines sont partout dans l’organisme, et jouent un rôle aussi bien structural que fonctionnel. Elles sont fabriquées par notre organisme à partir d’acides aminés, eux-mêmes apportés par les protéines que nous mangeons. Parmi ces acides aminés, 9 sont dits essentiels et doivent être apportés en quantités suffisantes par l’alimentation. L'apport en protéines par l'alimentation est donc primordial et si on se tourne vers les protéines végétales, il faut veiller à avoir un apport varié, qui garantit la présence de chacun de ces acides aminés en quantités suffisantes.
Les sportifs sont les plus grands consommateurs de protéines en poudre, notamment dans une démarche de prise de muscle ou une pratique de force ou d'endurance. Leur objectif est de répondre à des besoins plus élevés. Les bienfaits des protéines en poudre sont donc essentiellement nutritionnels puisqu'elles :
Valeur nutritionnelle | Pour 100 g | Pour 30g = 2 cuillères doseuses | AR* (pour 30g) |
Énergie | 387 kcal/ 1632 kJ | 116kcal/ 490kJ | 6% |
Matières grasses | 8,5 g | 2,5g |
4% |
• dont acides gras saturés | 2 g | 0,6 g | 3% |
Protéines | 71 g | 21 g | 43% |
• Dont BCAA(1) | 13,6 g | 4,0 | - |
Glucides | 4,9 g | 1,5 g | 1% |
• Dont sucres | 0,4 g | 0,1 g | 0% |
Fibres alimentaires | 3,6 g | 1,1 g | - |
Sel(2) | 2,1 g | 0,6 g | 11% |
*Apport de Référence pour un adulte type : 8400 kJ / 2000 kcal
(1) Acides aminés à chaîne ramifiée
(2) Teneur exclusivement due à sa présence naturelle
Aminogramme |
Teneur en g pour |
Acides Aminés Essentiels (EAA) |
40,4 |
Dont BCAA |
19,1 |
Isoleucine | 4,9 |
Leucine | 8,5 |
Valine | 5,7 |
Dont autres EAA | |
Lysine | 7,3 |
Thréonine | 4,0 |
Phénylalanine | 4,7 |
Tryptophane | 1,3 |
Méthionine | 1,7 |
Histidine | 2,3 |
Ingrédients: Protéines de pois, ProtevinTM : protéines issues de levure de bière, Isolat de protéines de riz, Poudre de cacao maigre, Arôme naturel de cacao, Sel, Édulcorant : glycosides de stéviol issus de feuilles de stévia. ProtevinTM est une marque déposée de NextFerm Technologies Ltd, de ses filiales ou de ses sociétés affiliées aux États-Unis et/ou dans d'autres pays.
Dans son article "Les racines d'une alimentation durable : quand les protéines végétales s'invitent à table", l’INRAE (Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement) explique avec brio les enjeux de l’accès durable aux protéines pour une population de 7 milliards d’êtres humains :
"...tant pour la préservation de l’environnement que pour notre santé, une évolution des comportements alimentaires est nécessaire. Nous devons adopter des régimes plus riches en fibres, moins gras et moins salés et qui rééquilibrent notamment la part des produits d’origine animale comme la viande avec les protéines d’origine végétale, telles que les céréales ou les légumineuses" [1].
Les protéines font partie de la catégorie des macronutriments avec les glucides et les lipides. Elles contribuent de ce fait à notre apport calorique et énergétique. Elles sont constituées d’un enchaînement plus ou moins long d’unités de structure appelées acides aminés. Un grand nombre d’acides aminés existe mais seulement 20 sont utilisés par l’organisme pour fabriquer deux types de protéines essentielles à l’organisme :
Parmi ces 20 acides aminés, 9 ne peuvent pas être synthétisés par notre organisme, et ils sont donc dits "essentiels" : leucine, thréonine, lysine, tryptophane, phénylalanine, valine, méthionine, isoleucine et histidine. Certains de ces acides aminés sont particulièrement impliqués dans la synthèse protéique musculaire et sont désignés par le terme de BCAA (Branched Chain Amino Acids) regroupant la leucine, l’isoleucine et la valine [2-4].
Quel besoin en protéines chez l’Homme ?
La valeur de référence nutritionnelle en protéines des adultes en bonne santé (RNP), établie par l’ANSES, est de 0,83 g par kilogramme de poids corporel et par jour. Pour un individu de 70 kg, cela correspond à un apport quotidien de 58 g. Pour avoir une idée de ce que cela représente, le tableau ci-dessous indique quelques concentrations en protéines d’aliments courants.
Globalement cette valeur doit correspondre à au moins 10% de notre apport énergétique [5]. Ces valeurs constituent un minimum et sont bien sûr susceptibles d’augmenter en fonction du niveau d’activité physique et surtout sportive, en montant jusqu’à 2 g / jour pour les phases de prise de muscle chez les pratiquants de musculation [6].
Aliments | Protéines (g/100 g) |
Origine animale | |
Viande cuite | 27,2 |
Poisson cuit | 23,5 |
Fromage | 21,3 |
Oeuf (dur) | 13,5 |
Yaourt nature | 3,8 |
Origine végétale | |
Tofu nature | 14,7 |
Lentilles cuites | 9,5 |
Pois chiches cuits | 8,3 |
Pâtes cuites | 4,4 |
Riz blanc cuit | 3,1 |
*La composition nutritionnelle des aliments est consultable sur le site de l'ANSES, Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, l'environnement et du travail.
Si traditionnellement en Occident "protéine" rime avec viande, poisson et oeuf, aujourd’hui sources de protéine végétale viennent bousculer notre alimentation. L’intérêt scientifique des protéines vegan ne cesse de croître avec une explosion des publications les concernant, tant sur le plan nutritionnel (santé) qu’environnemental.
Les données apportées par "Our world in data" (dossier viande et produits laitiers production [7]) montrent une augmentation de la consommation (kg/habitant/an) de viande au niveau mondial entre 1961 (début de l’analyse) et 2013 (fin de l’analyse). En France plus spécifiquement, cette augmentation s’est néanmoins stabilisée au cours des dix dernières années (fin analyse en 2017).
Ce constat traduirait-il des changements de comportements alimentaires vis-à-vis de la viande ? La consommation de protéines vegan en substitution des protéines animales peut découler de plusieurs raisons, allant de l'intérêt éthique à l'intérêt santé [8,9].
Au sujet de la dimension éthique, sans alimenter le débat du végétalisme/véganisme, nous évoquerons surtout l’idée d’accompagner cette transition alimentaire en favorisant la diversification des sources de protéines avec des alternatives végétales aux méthodes agricoles plus raisonnées et plus durables.
Si dans certaines cultures les régimes essentiellement végétaux existent depuis toujours, pour nous autres Occidentaux, leur apparition est une pratique plus moderne. Quels sont les principaux types de régimes "végétaux" ?
Voir également notre article Végétarisme, végétalisme et véganisme.
Sous leur effet de mode, les protéines d'origine végétale s’habillent d’une bien meilleure réputation environnementale que les protéines d’origine animale. Parlons par exemple d’émissions de gaz à effet de serre. Dans l’industrie agroalimentaire, ces émissions dépendent des pratiques observées sur toute la chaîne de production (préparation des terrains agricoles et des fermes, nourriture du bétail, process de production, transport, méthodes de conservation des matières produites, packaging utilisé). Les données apportées par "Our world in data" (dossier impacts environnementaux des produits alimentaires [10]) indiquent que les produits à base de végétaux produisent 10 à 50 fois moins de kg d’équivalents CO2 par kg de produit. Par exemple, la production de pois présente une valeur de 0,9 comparativement à l’élevage de bœuf présentant une valeur de 60 kilos d’équivalents CO2 par kilo. Si on regarde plus précisément les protéines, 100 g de protéines de pois émettent simplement 0,4 kg d’équivalents CO2. Cette valeur est 90 fois supérieure pour 100 g de protéines de bœuf. S’ajoutent d’autres paramètres importants comme la notion d'épuisement des ressources liée au challenge de nourrir une population mondiale grandissante. Les surfaces et les besoins en ressources naturelles étant moins importants pour les plantes, leurs produits dérivés se positionnent comme un atout pour l’alimentation de notre futur.
L’aspect santé intervient surtout sur les composés nutritionnels associés aux différentes sources protéiques. Les viandes, œufs et produits laitiers (surtout fromages) contiennent des types de matières grasses (lipides) comme des graisses saturées et du cholestérol dont la consommation ne devrait pas excéder les recommandations de portions par semaine. En revanche, les sources végétales : légumineuses (soja, lentilles, pois...) et céréales (seigle, riz, maïs…) contiennent de bonnes fibres et très peu de lipides (et pas des “mauvais”). Les données publiées sur le sujet suggèrent une corrélation positive entre des régimes contenant des sources de protéines végétales (par remplacement dans des diètes riches en protéines animales) et la santé à long terme [11-13]. Ces constats sont toutefois toujours à nuancer car ils doivent prendre en compte la totalité du régime et tous les nutriments associés.
En étant nécessaires à la formation (anabolisme) de la masse musculaire corporelle, les protéines constituent généralement un élément central de l’alimentation des sportifs. Voir à ce sujet notre article sur la relation entre protéine et musculation mais aussi en complément protéine végétale et musculation. L’image des poudres de protéines a d’ailleurs longtemps été associée aux activités de prise de masse musculaire intense et/ou rapide. Cette consommation généralement sous forme de shaker de protéine présente également un intérêt chez tout type de sportif souhaitant simplement améliorer ses performances. Sur le marché, les poudres de protéines sont majoritairement constituées de protéines de lait : caséine ou whey (lactosérum, petit-lait). Ces dernières sont très bien assimilées par l’organisme et permettent d’augmenter efficacement le taux de protéines ingérées et disponibles pour l’anabolisme musculaire.
À ce jour, les alternatives végétales aux protéines en poudre d’origine animale se développent, entraînant des interrogations, notamment chez les sportifs, sur leur équivalence ou non avec les protéines de lait et leur valeur nutritionnelle réelle. Par ailleurs, outre la volonté de diversifier notre alimentation, opter pour des protéines végétales peut résoudre des désagréments parfois observés avec une consommation importante de whey (protéines de lait) comme des troubles digestifs dus à la présence de lactose.
Plus haut, nous évoquions ces acides aminés essentiels que notre organisme ne peut fabriquer. Il nous faut donc les trouver dans notre alimentation ou une supplémentation pour les sportifs. Si les protéines d’origine animale contiennent l’ensemble des acides aminés essentiels en quantité suffisante, ce n’est pas le cas des protéines végétales qui sont moins “complètes” en certains acides aminés essentiels. Ces acides aminés en teneur moindre sont dits “limitants”. Pour les protéines végétales, on observe que :
Deux autres notions permettent également de comparer protéines animales et végétales [14] :
Une fois les ratios de chaque acide aminé calculés, l’indice chimique de la protéine correspond au ratio acide aminé le plus faible, qu’on désigne par "acide aminé limitant". Pour la protéine de pois, l’acide aminé limitant est la méthionine, et son indice chimique est de 90.
En conclusion, l’indice chimique est davantage un moyen de caractériser le profil de la protéine, notamment les acides aminés qu’elle contient. Le PDCAAS est un indice, avec une dimension physiologique, qui prend en compte les propriétés de la protéine en tant qu’aliment.
Ces deux données soulignent les principales différences entre protéines animales et protéines végétales :
Ainsi, il apparaît qu’un régime alimentaire composé essentiellement de sources de protéines animales (viandes, poissons, œufs et fromages) engage peu de risques de déficience en acides aminés indispensables, tandis que la plupart des sources végétales seules ne sont pas suffisantes pour couvrir les besoins en acides aminés essentiels.
Alors comment faire pour remplacer des protéines animales par des protéines végétales sans risquer de manquer d’acides aminés essentiels ?
Un mix qui joue la carte de la complémentarité avec un aminogramme optimisé
La consommation sur un même repas de protéines végétales ou une alimentation exclusivement composée de protéines végétales nécessite d’adopter une stratégie de complémentarité. Cela passe par l’association dans notre assiette de plusieurs sources végétales complémentaires pour réunir l’ensemble des acides aminés essentiels et garantir bonne digestibilité et assimilation [15]. Acheter notre Protéine Végétale qui réunit 3 sources de protéines (pois, riz, levure de bière) permet de consommer une protéine optimale qui possède un aminogramme complet (indice chimique à 94, voir tableau ci-dessous).
Aminogramme Protéine Végétale |
Indice chimique (%) à partir des valeurs de référence données par le rapport ANSES 2007** |
Isoleucine (BCAA) | 152 |
Leucine (BCAA) | 132 |
Lysine | 138 |
Acides aminés soufrés : Méthionine + cystéine |
130 |
Acides aminés aromatiques : Phénylalanine + tyrosine |
205 |
Thréonine | 136 |
Tryptophane | 167 |
Valine (BCAA) | 185 |
Indice chimique = Valeur donnée par (acide aminé limitant) = |
130 |
**Rapport "Apport en protéines : consommation, qualité, besoins et recommandations" [14]
Ces calculs montrent que grâce à l’utilisation de 3 sources de protéines complémentaires, les acides aminés généralement limitants (aux plus faibles teneurs dans l’aminogramme) dans les protéines végétales (lysine, méthionine et cystéine) ne le sont plus dans notre Protéine Végétale Nutri&Co (valeurs supérieures à 100 dans le calcul de référence 2).
À noter que l’important n’est pas d’acheter une protéine végétale à l’indice chimique toujours plus élevé, mais plutôt qu’il se rapproche le plus possible de 100, reflétant ainsi l’équilibre de la protéine par rapport à la référence optimale.
Une formule à l’approche nutritionnelle complète
Notre Protéine Végétale a été pensée pour allier équilibre nutritionnel optimal et plaisir gustatif. Avec sa teneur de 64% en protéines et un profil d’acides aminés optimal. L’achat de notre mix garantit :
Enfin, notre mix en poudre est à la fois une protéine vegan et surtout ne comporte aucun texturant.
Le challenge gustatif
Les protéines d’origine végétale en poudre sont encore peu consommées et leur goût peut sembler peu “habituel”, surtout pour les amateurs de protéines de lait / whey aux goûts de type “milkshake” aromatisés chocolat ou vanille. De manière générale, il est possible d'acheter divers types de protéines en poudre végétales sur le marché :
Formuler une protéine vegan gustativement appréciable uniquement à base de protéines végétales est donc un véritable challenge. C’est pourquoi, chez Nutri&Co, nous avons opté pour une composition à partir de 3 sources spécifiques. Bien que les protéines de pois et de riz soient classiquement utilisées (pour leur complémentarité protéique ; cf partie sur les acides aminés limitants), l’ajout de protéines de levures est absolument inédit ! Ces deux protéines ont permis d'obtenir un bon goût protéiné et une texture équilibrée. La présence de poudre de cacao et d’arômes naturels de cacao, de glycosides de stéviol s’intègre dans cette démarche de naturalité.
Références
Tout dépend des besoins et des objectifs individuels. Le but est de couvrir vos besoins totaux en protéines sur la journée. La prise de protéines végétales peut donc être occasionnelle ou quotidienne selon votre profil. Un sportif cherchant à prendre de la masse musculaire aura par exemple besoin d’en prendre tous les jours pour atteindre son quota plus important.
Oui. Les EAA sont beaucoup plus digestes et rapidement biodisponibles que les protéines végétales et sont donc destinés à être pris pendant les entraînements. La créatine joue sur une filière différente, permettant d’augmenter l’énergie lors d’efforts courts et intenses, et donc in fine d’améliorer les gains de force et de masse musculaire. La Protéines Végétale vous assure un bon apport de protéines tout au long de la journée, notamment via des collations, pour assurer une bonne croissance musculaire.
Avant de devenir un argument marketing, l’indice chimique donne une indication sur l’équilibre d’une protéine ou d’une association de protéines. Les protéines sont composées des fameux acides aminés. Il en existe 20 qui sont apportés par l’alimentation, dont 8 sont dits essentiels car notre organisme ne sait pas les fabriquer. C’est l’acide aminé minoritaire qui détermine l’indice chimique d’une protéine. Si ce dernier est supérieur à 100, cela signifie qu’il n’est plus “limitant”, c’est à dire que même l’acide aminé le moins présent, l’est dans une quantité suffisante et fonctionnel pour l’organisme. Le seuil de 100 est fixé en fonction d’une protéine de référence.
Pour rappel, cet indice ne doit pas servir de base pour une course à l'échalote : s’il est supérieur à 100, alors la protéine propose l’ensemble des acides aminés. Au-delà de 100, cela n’a plus vraiment de sens de comparer l’indice chimique pour conclure à la qualité de l’équilibre d’une protéine.
Tout à fait, notamment si vous êtes dans une démarche de réduire votre consommation de protéines animales. N’hésitez pas à consulter nos équipes, à vous référer à l’onglet conseils d’utilisation et à demander notre livre de recettes dédié !
Notre Protéine Végétale est une préparation pour boisson en poudre à base de différentes protéines végétales. Diluer 30 g (une portion = 2 scoops) de poudre dans 200 ml d'eau, de jus végétal, de lait d’amande. Secouer jusqu'à dissolution complète. Notre Protéine Végétale peut aussi s’intégrer dans différentes préparations du quotidien.
La whey (protéine de lait) et la caséine sont des protéines issues du lait de vache. Elles sont équilibrées en acides aminés et peuvent donc être utilisées comme source unique de protéines. Une protéine de lait présente donc d’office un indice chimique supérieur à 100 (l’indice chimique reflétant l’équilibre de la protéine).
Prises isolément, les sources de protéines végétales ne présentent jamais l’ensemble des 20 acides aminés. Notre mix associe donc 3 sources de protéines végétales (protéines de pois, de riz, de levure de bière) afin de couvrir l’ensemble du spectre de ces acides aminés (dont les 9 essentiels). Il atteint ainsi un équilibre optimal et un indice chimique proche de 100.
La question de l’acidification de l’organisme revient souvent quand on compare les protéines animales et végétales. Et les plus téméraires iront même jusqu’à regarder l’indice PRAL (“Potential Renal Acid Load“ : indice permettant d’estimer le potentiel acidifiant ou basifiant d’un aliment) de leurs aliments. Or, même s’il est tentant de considérer les aliments un à un comme une addition d’indices PRAL pour chercher à équilibrer chaque unité potentielle d’acide par une base, nous vous le déconseillons fortement. Vous souhaitez veiller à maintenir un bon équilibre acido-basique? Écoutez les conseils de votre grand-mère : continuez à manger de la viande modérément, doublez ou triplez les fruits et légumes et diminuez d’autant les céréales.
La connexion protéines et acidité vient de la présence d’acides aminés soufrés qui seraient plutôt acidifiants que leurs compères non-soufrés (entre autres). Or, en effet, notre Protéine Végétale en contient puisque nous avons optimisé son aminogramme. Mais tant que ce produit remplace une partie des autres protéines que vous consommez, il reste équivalent en termes d’acidité.
Ah et vous voulez un scoop? Dans la période paléolithique, les humains mangeaient en moyenne 3,5 fois plus de viande que l’homme moderne, et d’après les chercheurs leur sang était moins acide… Mais comment faisaient-ils? Vous le savez déjà : ils écoutaient leur grand-mère !
- Un mélange de notre mix avec d’autres sources protéiques n’est pas nécessaire puisqu’il a été conçu pour être équilibré et apporter un aminogramme optimisé, avec 13,6% de BCAA.
- Notre Protéine Végétale peut être compatible avec la prise d’autres produits de nutrition sportive : BCAA, créatine…).
- Bien entendu, les sportifs peuvent également accompagner les protéines d’autres nutraceutiques : multi, spiruline ou encore probiotiques.
Nos protéines ne sont pas dangereuses pour les reins si vous n’avez pas de prédispositions aux problèmes rénaux. La relation entre consommation de protéines et problèmes rénaux a émergé il y a plus de 10 ans avec l’apparition des régimes hyperprotéiques (jusqu’à plus de 40% des besoins caloriques apportés par des protéines versus 12-15% dans un régime classique). Des études ont révélé que chez les personnes souffrant de problèmes rénaux, la consommation excessive de protéines a un effet néfaste sur la santé rénale. De manière générale, un apport excessif en protéines sur une période prolongée entraîne une augmentation de la production de déchets organiques (urée, acide urique, créatinine) éliminés dans les urines par filtration rénale. Des reins en bonne santé peuvent exercer leur fonction physiologique de filtration durablement.
Ainsi, en cas de doute, nous vous conseillons de réaliser une analyse d’urines ou de solliciter l’avis de votre médecin avant toute supplémentation en protéines, et le cas échéant, de ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
En revanche, chez les personnes ne présentant pas de prédispositions de maladie rénale et qui souhaitent se supplémenter en protéines (i.e. apports journaliers supérieurs aux recommandation), dans l’optique d’une prise de masse par exemple, des apports additionnels en protéines ne présentent pas de risque.
Pour résumer : les protéines végétales sont équivalentes aux protéines alimentaires normales, le plus important étant de respecter les apports protéiques quotidiens et de les adapter selon le niveau d’activité physique.
Nos sources de protéines peuvent être qualifiés d’isolats (environ 80% de protéines), car ils affichent une très haute concentration en protéines.
Pour assimiler toujours plus d’acides aminés, il est tentant d'utiliser des hydrolysats de protéines (on trouve fréquemment des hydrolysats de whey ou de caséine sur le marché). L’hydrolyse d’une protéine consiste à la traiter par action thermique et chimique pour la dénaturer, ou la "casser". On obtient alors un mélange contenant des protéines, des peptides et des acides aminés. L’avantage de cette technique est de "toujours plus" faciliter l’assimilation et donc l’utilisation des acides aminés par l’organisme, ce qui est notamment recherché par les bodybuilder. On peut imaginer les hydrolysats comme un entre-deux, avec d’un côté des protéines natives et complètes et de l'autre des acides aminés purs, de type BCAA (3 acides aminés branchés) ou EAA (9 acides aminés essentiels).
Notre démarche consiste à proposer un mix harmonieux de protéines végétales, qui optimise l’assimilation et la digestion grâce à l’utilisation de 3 sources de protéines et de fibres, et nous avons donc fait le choix d’opter pour des protéines natives, c’est à dire non-hydrolysées.
En théorie, la digestibilité d’une protéine pourrait être exprimée avec le PDCAAS, indice fondé sur une mesure physiologique et pour une source protéique donnée (analyse de la digestibilité fécale pondérée par l’aminogramme).
Il ne fait donc aucun sens d’exprimer le PDCAAS sur un produit fini (car la digestibilité du produit fini n’est pas équivalente à la somme de la digestibilité de chaque protéine) à part si la mesure de digestibilité fécale à bien été réalisée sur le mix.
Pas de fausses promesses chez Nutri&Co, nous ne donnons que l’indice chimique. Le fait d’équilibrer l’aminogramme avec l’utilisation de 3 sources protéiques améliore simplement la digestibilité. Si vous voyez des mix protéiques affichant un PDCAAS précis, nous vous recommandons de demander si les analyses ont bien été réalisées, ou bien si le PDCAAS affiché n’est pas plutôt celui d’une des protéines seules utilisées dans le mix...
En effet, certains aliments d’origine végétale contiennent aussi bien des protéines que des facteurs appelés "anti-nutritionnels" car ils empêchent l'absorption de certains nutriments (acide phytique, lectine, inhibiteurs de certaines enzymes digestives). Mais attention, c’est bien les aliments qui contiennent des facteurs anti-nutritionnels, pas les protéines en tant que tel. Notre mix protéique vous protège de ces facteurs à double titre :
- les ingrédients majeurs comme le pois sont très concentrés en protéines (80%) donc plus pauvres en facteurs anti-nutritionnels.
- 3 sources de protéines plutôt qu’une source unique (on diversifie les facteurs et donc le risque).
Depuis plus de 15 ans, JLB Développement se positionne comme un groupe expert dans l’innovation et la fabrication de produits destinés à la nutrition sportive et au bien-être.
Origine des pois : Union Européenne
Fabrication : Roquette est une entreprise agroindustrielle française produisant, à partir de végétaux, des composés organiques d’origine végétale. Il s’agit d’une entreprise pionnière en matière de protéines végétales.
L’Asie est le plus gros producteur de riz, il paraissait évident d’aller sélectionner une matière bien tracée et ciblée, produite par le leader mondial du marché.
Origine du cacao : Rép. Dominicaine, Pérou et Tanzanie.
L’exploitation de cacao est aujourd’hui très encadrée par la réglementation européenne qui impose une traçabilité complète et interdit certaines origines. Barry Callebaut s’inscrit dans une démarche de prix "juste" proposé aux producteurs.
Robertet et Silesia sont deux leaders européens dans les arômes naturels fabriqués en France et en Allemagne respectivement.
Quimdis est un leader français de la distribution d'ingrédients pour les produits nutraceutiques.