Foire aux questions

Vos questions fréquentes

  • L'idée que " prendre des vitamines est inutile lorsqu'on mange équilibré " est encore très largement répandue en France. Pourtant, plusieurs études d'envergure nationale (SU.VI.MAX, etc.) ont démontré que les déficits en micro-nutriments touchent toute la population avec une mention spéciale pour les femmes enceintes, les adolescents et les plus de 50 ans. Signalons également qu'une étude récente et très sérieuse de part son ampleur inédite (plus de 14 000 sujets)* a démontré un impact positif sur la santé des personnes consommant quotidiennement un multivitamines pendant 11 ans ! Même si une cure ponctuelle garde un sens durant l'hiver ou lors d'une période de gestation, la prévention quotidienne de long terme reste la ligne que nous défendons chez NUTRI & CO.

    * : Gaziano, J.M.; Sesso, H.D.; Christen, W.G.; Bubes, V.; Smith, J.P.; MacFadyen, J.; Schvartz, M.; Manson, J.E.; Glynn, R.J.; Buring, J.E. Multivitamins in the Prevention of Cancer in Men: The Physicians’ Health Study II Randomized Controlled Trial. JAMA 2012, 308, 1871, doi:10.1001/jama.2012.14641

  • La plupart des vitamines ne sont pas directement utilisables par l'organisme et doivent être activées via divers stades de transformation. Certaines étapes s'opèrent mal et entraînent un résultat incertain. C'est par exemple le cas de l'acide folique (B9 synthétique) que l'organisme peine à métaboliser en B9 et dont l'excès pourrait avoir un impact sur la santé* Administrées sous forme bioactive, les vitamines sont telles que l'organisme les utilise et permettent d'éviter les étapes de transformation hasardeuse.

    * : Kim YI. Folate et carcinogenèse : Preuves, mécanismes et implications. J Nutr Biochem 1999;10:66-88. Medline

  • La peur du surdosage naît de la mention " 100% des AR " que l'on trouve dans les tableaux nutritionnels. Certains néophytes craignent ainsi de dépasser les limites en cumulant un multi-vitamines à leur régime alimentaire. Il ne faut toutefois pas confondre AR (Apports de Référence), qui sont des seuils en deçà desquels nous sommes carencés, et DJM (Doses Journalières Maximales) qui représentent les limites à ne pas dépasser dans un supplément. À ce jour, l'UE n'a pas encore déterminé de DJM pour les vitamines et minéraux. Elles sont donc spécifiques à chaque Etat. Ces seuils français sont définis dans l'arrêté du 9 mai 2006. Notons toutefois qu'une partie d'entre elles ont été annulées (vitamines K, B1, B2, B5, B8 et B12) par la décision du Conseil d'Etat du 27 avril 2011. La plupart des vitamines n'ont donc pas de limites sécuritaires.Notre formule ne contient pas de " mégadoses " et respecte l'ensemble des DJM françaises. Soulignons toutefois que la jurisprudence autorise très souvent le dépassement de ces seuils. C'est par exemple le cas pour les vitamines suivantes :

    • Vit D : 2000UI en jurisprudence vs. 1000UI en DJM
    • Vit B9 : 400mcg vs 200mcg (notamment suite à l'arrivée des folate comme le Quatrefolic)
    • Vit B6 : 4mg vs. 2mg (suite à l'arrivée de la forme co-enzymée P'-5-P)
    • Vit C : 250mg contre 180mg.
  • La plupart des vitamines de notre formule sont sous forme végétale (A, D, E, etc.), mais nous ne rejetons pas pour autant la chimie moléculaire lorsque celle-ci apporte un véritable plus. En réalité, synthétique ne veut pas nécessairement dire artificielle. Certaines vitamines façonnées par l'homme sont 100% bio-identiques à leurs formes naturelles et donc tout aussi efficaces*. Elles présentent alors des avantages en matière de teneur et sont exemptes de solvants d'extraction.

    * : il est démontré que la vitamine C naturelle et de synthèse ont exactement le même niveau d'absorption. Carr AC, Bozonet SM, Vissers MCM. A Randomisé Cross-Over Pharmacokinetic Bioavailability Study of Synthetic versus Kiwifruit-Derived Vitamin C. Nutrients. 2013.

  • La plupart des vitamines de notre formule sont sous forme végétale (A, D, E, etc.), mais nous ne rejetons pas pour autant la chimie moléculaire lorsque celle-ci apporte un véritable plus. En réalité, synthétique ne veut pas nécessairement dire artificielle. Certaines vitamines façonnées par l'homme sont 100% bio-identiques à leurs formes naturelles et donc tout aussi efficaces*. Elles présentent alors des avantages en matière de teneur et sont exemptes de solvants d'extraction.

    * : il est démontré que la vitamine C naturelle et de synthèse ont exactement le même niveau d'absorption. Carr AC, Bozonet SM, Vissers MCM. A Randomisé Cross-Over Pharmacokinetic Bioavailability Study of Synthetic versus Kiwifruit-Derived Vitamin C. Nutrients. 2013.

  • Deux raisons expliquent l'absence de calcium dans notre formule :

    • Contrairement à une idée reçue, il est très rare de souffrir d'une carence en calcium. Ce minéral se trouve en effet en effet en abondance dans notre alimentation. C'est aujourd'hui plutôt les carences en vitamines D et K, les deux cofacteurs du calcium, qui sont plutôt pointées du doigt lorsque l'on rencontre des problèmes osseux.
    • La supplémentation en calcium n'a pour l'heure pas prouvé son efficacité et pourrait même avoir un impact négatif sur la sphère cardiovasculaire.*

    * : M. J. Bolland, A. Grey, A. Avenell, G. D. Gamble, I. R. Reid. Suppléments de calcium avec ou sans vitamine D et risque d'événements cardiovasculaires : réanalyse de l'ensemble de données et méta-analyse de l'Initiative pour la santé des femmes à accès limité. BMJ, 2011 ; 342 (avr19 1)

  • Une étude* portant sur 38.000 femmes a mis en évidence qu’une supplémentation excessive en sel de fer et non encadrée par un professionnel de santé pouvait entraîner une réduction de la durée de vie des sujets notamment en raison de l'oxydation du côlon. Cela s’explique en grande partie par le manque d’assimilation des différents sels de fer.
    À rebours des mixs classiques misant tout sur la haute teneur en fer, nous avons développé une formule Fer centrée sur une souche lactique capable d’augmenter naturellement l'absorption du fer alimentaire.

    * : Mursu J, Robien K, Harnack LJ, Park K, Jacobs DR Jr. Dietary supplements and mortality rate in older women : the Iowa Women's Health Study. Stagiaire en médecine de l'arche. 2011 Oct 10;171(18):1625-33

  • Les études ayant investigué la relation entre β-carotène et risque de cancer chez les fumeurs sont nombreuses mais les résultats restent controversés. Certaines ont conclu à un risque augmenté, d’autres n’ont pas mis en évidence de relation positive entre β-carotène et risque de cancer chez les fumeurs. Au demeurant, tout risque est à considérer mais il est important de se placer dans les conditions nutritionnelles observées ou imposées dans ces études. En effet, dans les grandes études marquantes, les supplémentations en β-carotène imposées étaient de 20 mg par jour, voire au-delà, et sur plusieurs années. L’EFSA (« European Food Safety Authority ») a d’ailleurs statué en 2012, indiquant que l’exposition au β-carotène, à des niveaux en dessous de 15 mg par jour, ne présentait pas d’effets délétères pour la santé dans la population générale, en y mentionnant spécifiquement les fumeurs. En se positionnant dans un contexte de consommation, en France, l’étude individuelle nationale des consommations alimentaires (INCA3, 2017) a notamment montré que les apports journaliers moyens en β-carotène étaient de 2,7 mg. Cela met en évidence un écart notable entre ces apports et ceux pouvant être prédits en présence d’une supplémentation éventuelle. Dans le cadre de notre Multi, 800 microgrammes soit 0,8 mg de bêta-carotène sont présents pour 3 gélules. On est donc dans tous les cas très largement en deçà de la dose admise comme étant sans risque par l’EFSA.