Notre Protéine Végétale et Bio doit s’adapter à votre alimentation et à votre niveau d’activité physique. Nous conseillons une à plusieurs doses par jour selon l’activité physique réalisée (une portion = 2 scoops). Hors activité physique intense, nous conseillons de ne pas consommer un nombre de portions dépassant le besoin de base en protéines, soit 2 portions par jour. Vous pouvez vous référer au tableau présent dans l’onglet conseils d’utilisation pour des estimations précises ou prendre contact avec nos équipes.
Oui. Son aminogramme optimisé permet de garantir un équilibre en acides aminés essentiels (10%, soit 2,6g de BCAA par portion), une bonne digestibilité et de répondre à la sollicitation musculaire importante tel que dans un sport de force.
Tout à fait, notamment si vous êtes dans une démarche de réduire votre consommation de protéines animales. N’hésitez pas à consulter nos équipes, à vous référer à l’onglet conseils d’utilisation et à demander notre livre de recettes dédié !
Notre Protéine Végétale Bio est une préparation pour boisson en poudre à base de différentes protéines végétales bio. Diluer 25 g (une portion = 2 scoops) de poudre dans 200 ml d'eau, de jus végétal, de lait d’amande. Secouer jusqu'à dissolution complète. Notre Protéine Végétale Bio peut aussi s’intégrer dans différentes préparations du quotidien.
Notre Protéine Végétale Bio est une préparation pour boisson en poudre à base de différentes protéines végétales bio. Diluer 25 g (une portion = 2 scoops) de poudre dans 200 ml d'eau, de jus végétal, de lait d’amande. Secouer jusqu'à dissolution complète. Notre Protéine Végétale Bio peut aussi s’intégrer dans différentes préparations du quotidien.
Eh bien non, notre mix de protéines végétales n’est pas un substitut de repas. En revanche, il peut s'intégrer à vos petit-déjeuners, déjeuners et dîners. Il a même été pensé pour cela…
Notre mix protéique est formulé à partir de 4 sources de protéines spécifiques. Bien que les protéines de pois et de riz soient très souvent associées (pour leur complémentarité en matière d’acides aminés ; cf partie sur les acides aminés limitants dans l’onglet science), l’ajout de protéines de graines de courge et de graines de chia est une vraie particularité ! Ces deux protéines ont notamment permis d'obtenir un goût et une texture équilibrés. En plus, ces 2 ingrédients apportent bien plus que des protéines : le chia contient par exemple des fibres et aussi un peu d’oméga-3 !
La whey (protéine de lait) et la caséine sont des protéines issues du lait de vache. Elles sont équilibrées en acides aminés et peuvent donc être utilisées comme source unique de protéines. Une protéine de lait présente donc d’office un indice chimique supérieur à 100 (l’indice chimique reflétant l’équilibre de la protéine).
Prises isolément, les sources de protéines végétales ne présentent jamais l’ensemble des 20 acides aminés. Notre mix associe donc 4 sources de protéines végétales (protéines de pois, de riz, de graines de courge et de chia) afin de couvrir l’ensemble du spectre de ces acides aminés (dont les 9 essentiels). Il atteint ainsi un équilibre optimal et un indice chimique équivalent et supérieur à 100 (estimé à 130).
Nous conseillons de consommer votre shaker/mélange de notre Protéine Végétale et Bio dans la journée de préparation afin de converser le goût et la stabilité des ingrédients./2007. Les fermes certifiées peuvent donc revendiquer l'utilisation du label AB et de la feuille européenne.
Votre shaker/mélange de protéines végétales peut se conserver toute une journée. Au-delà, le goût et la stabilité des ingrédients risquent de s’altérer./2007. Les fermes certifiées peuvent donc revendiquer l'utilisation du label AB et de la feuille européenne.
Tout à fait ! 100 g représentent 4 portions (8 scoops) de notre Protéine Végétale et Bio. En étant à 2 portions par jour, notre Protéine Végétale Bio apporte alors 6 g de sucre soit un tout petit peu plus qu’un carré de sucre pur (5 g). A l’échelle d’une journée, cela représente un apport faible en sucre. Nous avons fait ce choix là aussi pour résoudre l’équation du goût sans ajouter d’édulcorants.
Nos protéines ne sont pas dangereuses pour les reins si vous n’avez pas de prédispositions aux problèmes rénaux. La relation entre consommation de protéines et problèmes rénaux a émergé il y a plus de 10 ans avec l’apparition des régimes hyperprotéiques (jusqu’à plus de 40% des besoins caloriques apportés par des protéines versus 12-15% dans un régime classique). Des études ont révélé que chez les personnes souffrant de problèmes rénaux, la consommation excessive de protéines a un effet néfaste sur la santé rénale. De manière générale, un apport excessif en protéines sur une période prolongée entraîne une augmentation de la production de déchets organiques (urée, acide urique, créatinine) éliminés dans les urines par filtration rénale. Des reins en bonne santé peuvent exercer leur fonction physiologique de filtration durablement.
Ainsi, en cas de doute, nous vous conseillons de réaliser une analyse d’urines ou de solliciter l’avis de votre médecin avant toute supplémentation en protéines, et le cas échéant, de ne pas dépasser la dose journalière recommandée.
En revanche, chez les personnes ne présentant pas de prédispositions de maladie rénale et qui souhaitent se supplémenter en protéines (i.e. apports journaliers supérieurs aux recommandation), dans l’optique d’une prise de masse par exemple, des apports additionnels en protéines ne présentent pas de risque.
Pour résumer : les protéines végétales sont équivalentes aux protéines alimentaires normales, le plus important étant de respecter les apports protéiques quotidiens et de les adapter selon le niveau d’activité physique.
La question de l’acidification de l’organisme revient souvent quand on compare les protéines animales et végétales. Et les plus téméraires iront même jusqu’à regarder l’indice PRAL (“Potential Renal Acid Load“ : indice permettant d’estimer le potentiel acidifiant ou basifiant d’un aliment) de leurs aliments. Or, même s’il est tentant de considérer les aliments un à un comme une addition d’indices PRAL pour chercher à équilibrer chaque unité potentielle d’acide par une base, nous vous le déconseillons fortement. Vous souhaitez veiller à maintenir un bon équilibre acido-basique? Écoutez les conseils de votre grand-mère : continuez à manger de la viande modérément, doublez ou triplez les fruits et légumes et diminuez d’autant les céréales.
La connexion protéines et acidité vient de la présence d’acides aminés soufrés qui seraient plutôt acidifiants que leurs compères non-soufrés (entre autres). Or, en effet, notre Protéine Végétale et Bio en contient puisque nous avons optimisé son aminogramme. Mais tant que ce produit remplace une partie des autres protéines que vous consommez, il reste équivalent en termes d’acidité.
Ah et vous voulez un scoop ? Dans la période paléolithique, les humains mangeaient en moyenne 3,5 fois plus de viande que l’homme moderne, et d’après les chercheurs leur sang était moins acide… Mais comment faisaient-ils ? Vous le savez déjà : ils écoutaient leur grand-mère !
Un peu des deux ! Les ingrédients riz et pois peuvent être qualifiés d’isolats (environ 80% de protéines), car ils affichent une très haute concentration en protéines. Les ingrédients chia et graines de courge sont moins concentrés en protéines (respectivement 40% et 60%) et sont plutôt qualifiés de "poudres de protéines".
Pour assimiler toujours plus d’acides aminés, il est tentant d'utiliser des hydrolysats de protéines (on trouve fréquemment des hydrolysats de whey ou de caséine sur le marché). L’hydrolyse d’une protéine consiste à la traiter par action thermique et chimique pour la dénaturer, ou la "casser". On obtient alors un mélange contenant des protéines, des peptides et des acides aminés. L’avantage de cette technique est de "toujours plus" faciliter l’assimilation et donc l’utilisation des acides aminés par l’organisme, ce qui est notamment recherché par les bodybuilder. On peut imaginer les hydrolysats comme un entre-deux, avec d’un côté des protéines natives et complètes et de l'autre des acides aminés purs, de type BCAA (3 acides aminés branchés) ou EAA (9 acides aminés essentiels).
Notre démarche consiste à proposer un mix harmonieux de protéines végétales et bio, qui optimise l’assimilation et la digestion grâce à l’utilisation de 4 sources de protéines et de fibres, et nous avons donc fait le choix d’opter pour des protéines natives, c’est à dire non-hydrolysées.
En théorie, la digestibilité d’une protéine pourrait être exprimée avec le PDCAAS, indice fondé sur une mesure physiologique et pour une source protéique donnée (analyse de la digestibilité fécale pondérée par l’aminogramme).
Il ne fait donc aucun sens d’exprimer le PDCAAS sur un produit fini (car la digestibilité du produit fini n’est pas équivalente à la somme de la digestibilité de chaque protéine) à part si la mesure de digestibilité fécale à bien été réalisée sur le mix.
Pas de fausses promesses chez Nutri&Co, nous ne donnons que l’indice chimique. Le fait d’équilibrer l’aminogramme avec l’utilisation de 4 sources protéiques améliore simplement la digestibilité. Si vous voyez des mix protéiques affichant un PDCAAS précis, nous vous recommandons de demander si les analyses ont bien été réalisées, ou bien si le PDCAAS affiché n’est pas plutôt celui d’une des protéines seules utilisées dans le mix...
En effet, certains aliments d’origine végétale contiennent aussi bien des protéines que des facteurs appelés "anti-nutritionnels" car ils empêchent l'absorption de certains nutriments (acide phytique, lectine, inhibiteurs de certaines enzymes digestives). Mais attention, c’est bien les aliments qui contiennent des facteurs anti-nutritionnels, pas les protéines en tant que tel. Notre mix protéique vous protège de ces facteurs à double titre :
Nous choisissons nos ingrédients sur la base de critères d’efficacité, sécurité, traçabilité et prix. Nous connaissons donc l’origine de nos ingrédients et vous les indiquons sur les mappemonde de nos pages produits.
Pour certains ingrédients venus de loin (Asie, Inde, Afrique, Etats-Unis,...), ce choix s’impose à nous lorsqu’aucun équivalent en termes d’efficacité ni savoir-faire n’existe en Europe ou en France. Pour ces ingrédients comme pour ceux issus d’Europe, nous vérifions les certificats d’analyse et vous les mettons à disposition sur les pages produits (rubrique Analyses).
Et lorsque nous avons le choix entre deux origines, à efficacité et sécurité équivalentes, nous privilégions le prix afin de vous offrir le meilleur rapport qualité-prix.
La mention “made in France” ou “fabriqué en France” s’obtient si plus de 50% de la valeur ajoutée du produit est réalisée en France ou si la dernière transformation du produit a lieu sur notre sol.
Etant donné que nous mettons un point d’honneur à travailler avec des façonniers français*, les mélanges de poudres, les encapsulations et les conditionnements sont systématiquement réalisés dans l’hexagone. Ainsi, même si certains ingrédients ne sont pas produits en France, la majeure partie de la valeur ajoutée est ramenée sur notre sol nous donnant le droit d’afficher fièrement le drapeau tricolore sur nos packagings.
*Pour l’encapsulation des probiotiques (Probio2 et Fer), nous travaillons avec le meilleur façonnier d’Europe sur la question, Nutrilinea, basé à Milan en Italie. Notre spiruline n’est pas made in France puisque nous avons fait le choix d’aller la chercher en Inde, chez le pionnier de la culture de microalgues. Ce producteur s’occupe de chaque phase de production, y compris l’étape de compression à froid, la dernière étape de transformation du produit. Quoi qu’il en soit, Le Probio2, Le Fer et La spiruline font l’objet d’analyses une fois arrivés sur notre sol.