

Notre mode de vie moderne ainsi que certains régimes particuliers ne nous permettent pas toujours un apport suffisant en vitamines et minéraux, pourtant essentiels au bon fonctionnement de notre organisme.
Plutôt que de développer une énième formule fourre-tout, nous nous sommes concentrés sur 26 actifs clés adaptés à tous : vitamines bio-actives, D3 végétale, minéraux haute absorption, extraits végétaux, CoQ10...
90 gélules • à partir de 2/j
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*sans excipients controversés. Nous utilisons un extrait de riz bio.
« La pyramide alimentaire doit inclure la prise quotidienne de multivitamines. »
Walter Willett • Head of nutrition department – Harvard
« La pyramide alimentaire doit inclure la prise quotidienne de multivitamines. »
Walter Willett • Head of nutrition department – Harvard
Notre complexe se concentre sur les nutriments difficiles à trouver dans l’alimentation. Nos dosages sont établis sur la base d’études cliniques ayant démontré leurs bénéfices santé. Il contient 14 vitamines, 5 minéraux, 4 caroténoïdes, 2 bio-flavonoïdes, du coenzyme Q10, de l’acide alpha-lipoïque et est exempt de minéraux pro-oxydants (fer, cuivre et manganèse).
Fini les formes artificielles ! Nous avons sélectionné de nouvelles vitamines dites « prêtes à l’emploi » comme la P-5-P (B6), des folates Quatrefolic® (B9), de la méthylcobalamine (B12) ou encore les vitamines A, E et D3 sous forme végétale.
Pour la première fois un magnésium alliant teneur ET absorption prend place dans un multi-vitamines. Il permet de réduire le nombre de gélules/j tout en gardant une grande efficacité.
Ce panaché de nutriments bio-identiques a été sélectionné dans le but d’embrasser un maximum de bienfaits.
*Les adolescents pouvant avoir des difficultés à avaler des gélules, nous vous recommandons de les ouvrir et d'en verser le contenu dans un verre d'eau, yaourt ou compote.
Pour 3 gélules
Vitamines
Minéraux
Cofacteurs
Ingrédients
Magnésium sucrosomé, Gélule d’origine végétale HPMC, N-acetyl-L-cystéine, Acide alpha lipoïque, Nu-RICE®, Zinc gluconate, Acide ascorbique, Extrait de Dunaliela, Menaquinone-7, Rutine, Hesperidine, CoQ10, Inositol, Acétate de d-alpha-tocophéryle, Quercetine, Nicotinamide, Levure selenie, Extrait de tagète, Cholecalciferol de lichen, Extrait de fucus, Pantothénate de calcium, Extrait de tomate, Pyridoxal-5-phosphate, Riboflavine, Thiamine HCL, Acide (6S)-5-méthyltetrahydrofolique, Methylcobalamine, Biotine.
*VNR : valeurs nutritionnelles de référence
Les vitamines font partie de la catégorie des micronutriments (incluant aussi les minéraux et les oligoéléments). Ces derniers sont des composants qui dérivent principalement de notre alimentation car non synthétisés par notre organisme. Les micronutriments sont requis en petites quantités pour notre développement vital, la prévention de pathologies et notre bien-être général [1]. Chaque jour, notre organisme a besoin de vitamines pour son homéostasie physiologique, que l’on trouve au sein de notre alimentation. Deux catégories de vitamines existent : les vitamines hydrosolubles, c’est-à-dire solubles dans l’eau (vitamines du groupes B et C), et les vitamines liposolubles, c’est-à-dire solubles dans les graisses (vitamines A, D, E et K).
Aliments les plus riches en g de vitamines pour 100 g d'aliment
Vitamines hydrosolubles
Vitamine B1 (Thiamine)
Levure alimentaire, son de céréales, céréales, graines oléagineuses, viande de porc.
Vitamine B2 (Riboflavine)
Foie, abas, œufs, certains fromages et champignons.
Vitamine B3 (Nicotinamide)
Son de céréales, foie, poissons gras, volaille et autres viandes.
Vitamine B5 (Acide pantothénique)
Champignons, foie, œufs, abas, certaines volailles et fromages.
Vitamine B6 (Pyridoxine)
Herbes aromatiques séchées, son de céréales, foie et abas de volaille, graines oléagineuses.
Vitamine B7 (Inositol) / Vitamine B8 (Biotine)
Foie, œufs, poissons et viandes, légumineuses, champignons, graines germées.
Vitamine B9 (Acide folique)
Foie, levure alimentaire, légumineuses, graines oléagineuses, abas, épinards, herbes aromatiques séchées.
Vitamine B12 (Cobalamine)
Foie, abas, crustacés, poissons gras et autres poissons.
Vitamine C (Acide ascorbique)
Aliments crus : goyave, cassis, persil, poivron, citron, chou, kiwi, agrumes.
Vitamines liposolubles
Vitamine A (Rétinol)
Herbes aromatiques séchées, foie, thon, champignons séchés.
Aliments riches en provitamines A caroténoïdes (bêta-carotène) : carottes, patate douce, épinards, courge.
Vitamine D (Calciférol)
Huile de foie de morue, foie de morue, poissons gras, œufs de poissons et certaines margarines.
Vitamine E (Tocophérol)
Huile de germe de blé et autres huiles végétales, graines oléagineuses.
Vitamine K (K1 : Phylloquinone et K2 : Ménaquinone)
Vitamine K1 : herbes aromatiques séchées, choux, épinards, salades.
Vitamine K2 : foie, beurre, volaille, yaourts.
*La composition nutritionnelle des aliments est consultable sur le site de l'ANSES, Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, l'environnement et du travail.
Les vitamines ne tirent pas toutes leurs origines des mêmes aliments, il est donc nécessaire d’avoir une consommation variée (aliments issus des différents grands groupes d’aliments) mais aussi une alimentation diversifiée (aliments issus d’un même groupe d’aliments). Les micronutriments n’ont pas de valeur énergétique (en gros, ils n’interviennent pas directement sur notre balance énergétique, ni pour maigrir, ni pour grossir !) comparativement aux macronutriments, qui ont un impact direct et sensible (glucides, lipides et protéines). L’ESFA (European Food Safety Authority) a établi des Valeurs Nutritionnelles de Référence (VNR, anciennement sous la dénomination d’AJR : Apports journaliers de Référence) pour les vitamines résumées ci-dessous :
Vitamines et VNR chez l'adulte, quantité par jour
Vitamine B1 (Thiamine)
0,1 mg / énergie consommée
Pour individu à 2200 Kcak/j = 0,91 mg
Vitamine B2 (Riboflavine)
1,6 mg
Vitamine B3 (Nicotinamide)
1,6 mg / énergie consommée
Pour individu à 2200 Kcal/j = 14,6 mg
Vitamine B5 (Acide pantothénique)
5 mg
Vitamine B6 (Pyridoxine)
1,7 mg (Hommes)
1,6 mg (Femmes)
Vitamine B8 (Biotine)
40 μg
Vitamine B9 (Acide folique)
330 μg
(en folates alimentaires*)
Vitamine B12 (Cobalamine)
4 μg
Vitamine C (Acide ascorbique)
110 mg (Hommes)
95 mg (Femmes)
Vitamine A (Rétinol)
750 μg
Vitamine D (Calciférol)
15 μg (soit 600 UI)
Vitamine E (Tocophérol)
13 mg (Hommes)
90 mg (Femmes)
Vitamine K (Phylloquinone)
70 μg
*Les folates alimentaires sont moins bien assimilés que l'acide folique.
En revanche, ces VNR, et donc les besoins, évoluent en fonction de certaines situations physiologiques particulières, notamment chez les femmes enceintes ou allaitantes et chez les personnes âgées. Lors d’une grossesse, les besoins en vitamine B12 (passant de 4 à 4,5 μg par jour) et en folates (passant de 330 à 600 μg par jour) sont notamment augmentés. Pendant l’allaitement, les besoins en vitamine A (passant de 750 à 1300 μg par jour) et en vitamine C (passant de 95 à 155 mg par jour) sont aussi augmentés. Ces données suggèrent l’importance de la période préconceptionnelle pendant laquelle un statut nutritionnel optimal permettrait d’assurer « les réserves » en micronutriments pour les périodes de grossesse et d’allaitement, qui sont déterminantes pour la santé future du nouveau-né. Enfin, les personnes âgées sont davantage exposées aux déficits nutritionnels dû à une diminution et des changements dans l’absorption des micronutriments [2] ainsi que des modifications de consommation (réduction de l’appétit, choix alimentaires prononcés pour des aliments chargés en saveurs…). Il existe d’autres raisons pouvant générer des déficiences au-delà du statut physiologique dans lequel on se trouve. En effet, elles peuvent résulter de régimes simplement pauvres ou faire suite à d’autres types de facteurs tels que des défauts d’absorption liés à des pathologies intestinales ou encore à la prise de médicaments [3].
D’un autre côté, il est aussi moins évident de détecter nos niveaux de consommation en micronutriments car ils ont des origines variées et moins connues, rendant plus difficile la mise en lumière d’une éventuelle « déficience » ciblée (« je ne consomme pas assez de tel aliment donc je ne consomme pas assez de telle vitamine »).
Une question primordiale semble alors se poser : pouvons-nous vraiment prétendre à un profil optimal de consommation dans nos modèles alimentaires actuel ? Malheureusement, les transitions alimentaires auxquelles nous avons fait face et nous faisons encore face sont extrêmement rapides et brutales. Nous sommes passés de modèles traditionnels de consommation caractérisés par une densité nutritionnelle élevée à des modèles modernes de consommation caractérisés, quant à eux, par une densité énergétique élevée [4,5], constituant de véritables problématiques de santé publique. Plus concrètement, ces évolutions ont donc engendré une diminution de la qualité de notre alimentation (diminution de la consommation de micronutriments essentiels et de fibres) notamment associée à l’intensification des procédés industriels (augmentation de la consommation des produits gras/sucrés et industriels ; baisse de la qualité des aliments riches en micronutriments essentiels, notamment en vitamines) [6]. S’ajoutent à ces paramètres d’alimentation, des modes de vie et des environnements contraignant l’atteinte de certains besoins en vitamines telle que la vitamine D (80% de la vitamine D provient de la photoconversion dans la peau par les UVB (soleil) [7].
Enfin, la problématique ne repose pas essentiellement sur le fait que notre alimentation soit complète (équilibrée) ou pas. Il s'agit d'accepter que l'espèce humaine soit une formidable machine d'adaptation, mais son corolaire implique que nous ne soyons jamais 100% adapté à un biotope donné et par conséquent à 100% de nos apports sur le long terme. Qu’il s’agisse d’une alimentation déséquilibrée, d’un régime alimentaire spécial, d’un mode de vie particulièrement stressant, d’un environnement spécifique, d’une période de vie particulière ou d’une condition médicale spécifique, de nombreux facteurs impactent nos apports. Aujourd’hui; la Nutraceutique offre la possibilité d’assurer nos besoins en vitamine et minéraux essentiels, et de couvrir les écarts occasionnels ou systémiques afin de prévenir d’éventuelles carences, et de donner à l’organisme toutes les armes pour préserver notre santé sur le long terme.
Ici, nous vous donnons quelques clés mais surtout quelques informations essentielles pour prendre la bonne direction en termes de multivitaminiques, car l’histoire se répète, il existe une grande diversité de produits sur le marché. Pour bénéficier des effets des vitamines, il faut être sûr qu’ils atteignent bien leurs cibles, idéalement dans une forme active (= « prête-à-l’emploi »). C’est ce qui définit la fameuse biodisponibilité, correspondant à la qualité que possède un nutriment à pouvoir être absorbé par la muqueuse intestinale et à être utilisé efficacement. Plusieurs critères rentrent en compte pour assurer la biodisponibilité d’un composé et notamment sa forme (structure spécifique de la molécule). En effet, certaines formes sont dites bioactives, c’est-à-dire qu’elles correspondent à la forme sous laquelle elles peuvent être utilisées par l’organisme, ce qui facilite le travail d’assimilation de ce dernier [8].
Et si nous prenions un exemple concret ? Parlons un peu de vitamine B9 (acide folique issu de folates alimentaires). Au sein de la formule Nutri&Co, la vitamine B9 a été sélectionnée sous forme de Quatrefolic. Ce dernier correspond à du 5-Méthyltétrahydrofolate (5-MTHF) qui est une forme réduite des folates. La prise en supplément de cette forme bioactive permet aussi d’obtenir une biodisponibilité élevée de la vitamine B9 en « court-circuitant » la formation de molécules intermédiaires. En effet, lorsque le corps ingère de l’acide folique « standard », il doit le transformer 4 fois avant avant d’obtenir la forme active telle que le Quatrefolic®. Ces transformations successives engendrent évidemment des pertes, mais aussi une efficacité aléatoire, avec une forte disparité entre les individus [9].
L’association de la bioactivité ainsi que de la biodisponiblité permet d’apporter au sein du Multivitamines une forme de vitamine B9 bioidentique.
C’est dans cette démarche d’efficacité, et après plus d’un an de recherche, que Nutri&Co a systématiquement choisi des vitamines dans leur forme bioactive.
En plus des vitamines, notre formule combine aussi la présence de magnésium, d’oligoéléments (minéraux de petites tailles) et de co-facteurs complétant l’action de support aux réactions physiologiques tout en ayant judicieusement pris soin d’éliminer les minéraux potentiellement pro-oxydants ou « antagonistes » (fer et manganèse notamment). De plus, le calcium n’a également pas été inclus dans notre Multi, car le consensus scientifique actuel met en avant l’apport alimentaire suffisant en calcium dans la population française.
Un exemple d’oligoélément crucial pour notre organisme est le zinc. On le retrouve majoritairement dans les viandes rouges, certaines graines, les shiitakes (champignons) et les crustacés. Dans le cadre de carences avérées, des perturbations peuvent être observées tels qu’un retard de croissance, un hypogonadisme chez les jeunes adolescents, des défauts de cicatrisation, des défauts de réponse du système immunitaire ou bien encore des changements neurosensoriels [10]. Trois gélules de notre multi apportent 100% des VNR sous une forme Gluconate, parfaitement bien assimilée et utilisable par l’organisme.
Concernant l’iode, les produits marins sont connus pour contenir la concentration la plus élevée. Les déficiences éventuelles, selon leur importance, peuvent avoir des conséquences à tous les âges, du fœtus à l’âge adulte, allant de problèmes de développement à des désordres neurologiques. La couverture de l’apport en iode semble notamment importante lors de la période périconceptionnelle jusqu’à l’enfance [11]. La supplémentation en iode n’est pas systématique et pourtant l’iode semble avoir une position importante dans les pratiques cliniques liées aux recommandations nutritionnelles particulières lors de la période périconceptionnelle [12].
Au sein des co-facteurs sélectionnés dans le Multivitamines, on retrouve notamment :
Cette combinaison augmente donc le potentiel antioxydant de notre organisme [13] par des molécules d’origines diverses et normalement faiblement biodisponibles.
Bien que les vitamines et les minéraux agissent en synergie et via des mécanismes complexes, chacune possède des rôles physiologiques pouvant être brièvement listés (tableaux rôles biologiques). Ces implications majeures dans notre équilibre physiologique confèrent aux vitamines et minéraux des axes majeurs d’activité : vitalité, tonus, immunité et pourvoir antioxydant. Lors de situations physiologiques particulières telle que la grossesse l’atteinte des besoins en certaines vitamines (vitamines B9 et D notamment) et minéraux (zinc et iode) est cruciale. En effet, au-delà des fonctions de maintien de notre équilibre physiologique, les micronutriments jouent aussi un rôle primordial dans des périodes de développement accru.
Vitamines et rôles biologiques
Vitamine B1 (Thiamine)
Soutient le métabolisme énergétique (cofacteur dans la conversion des glucides en énergie), les fonctions nerveuses et musculaires.
Vitamine B2 (Riboflavine)
Soutient le métabolisme énergétique (cofacteur dans la chaîne respiratoire, composant de coenzymes), la vision et la peau.
Vitamine B3 (Nicotinamide)
Soutient le métabolisme énergétique (cofacteur de la chaîne respiratoire), les fonctions nerveuses et améliore les profiles lipidiques et la santé de la peau.
Vitamine B5 (Acide pantothénique)
Soutient le métabolisme énergétique.
Vitamine B6 (Pyridoxine)
Joue un rôle dans le métabolisme des acides aminés (cofacteur d’environ 100 réactions enzymatiques) et des acides gras, dans la production des globules rouge, et la santé cardiaque.
Vitamine B7 (Inositol) / Vitamine B8 (Biotine)
Joue un rôle dans la santé des os et des cheveux, dans la conversion des nutriments en énergie, et dans la synthèse des lipides, des acides aminés et du glycogène (réserves glucidiques endogènes de l’organisme).
Vitamine B9 (Acide folique)
Participe à la synthèse d’ADN (matériel génétique), cofacteurs requis pour les réactions de méthylation, et permet la formation de nouvelles cellules et soutient la santé cardiaque.
Vitamine B12 (Cobalamine)
Joue un rôle dans la santé cardiaque, la production de nouvelles cellules, dans l’hydrolyse des acides aminés et des acides gras et soutient la maintenance des cellules nerveuses, interagit avec le métabolisme de la vitamine B9.
Vitamine C (Acide ascorbique)
Joue un rôle dans la synthèse de nouvelles cellules, dans l’hydrolyse des acides gras et des acides aminés, soutient la maintenance des cellules nerveuses (synthèse d’hormones et de neurotransmetteurs), agit comme antioxydant, joue un rôle dans le système immunitaire, facilite l’absorption du fer non-héminique (issu des végétaux), permet le recyclage de la vitamine E.
Vitamine A (Rétinol)
Soutient la vision, la peau et les os, l’immunité et la reproduction, agit comme antioxydant.
Vitamine D (Calciférol)
Joue un rôle dans le métabolisme osseux (minéralisation des os), maintient les taux de calcium et de phosphore dans le sang pour consolider les os.
Vitamine E (Tocophérol)
Antioxydant régulant les réactions d’oxydation, protège les membranes cellulaires et des composés de l’organisme (lipides, enzymes…).
Vitamine K (K1 : Phylloquinone et K2 : Ménaquinones)
Joue un rôle dans la coagulation des protéines dans le sang et régule le calcium sanguin.
(Données tirées de [14,15])
Minéraux et rôles biologiques
Magnésium
Retrouvez toute l’importance du magnésium dans nos fonctions physiologiques dans la rubrique science de notre Magnésium.
Zinc
Impliqué dans la structure et l’activité catalytique de nombreuses enzymes, joue un rôle dans la fonction du système immunitaire, la cicatrisation, la synthèse protéique, la synthèse d’ADN et la division cellulaire, requis dans la perception du goût et des odeurs, agit comme antioxydant.
Sélénium
Joue un rôle dans les fonctions immunitaires, agit comme antioxydant.
Iode
Joue un rôle de constituant essentiel des hormones thyroïdiennes, impliqué dans le processus général de développement et de croissance.
(Données tirées de [16])
En conclusion, la supplémentation multivitaminique soulève très souvent la notion de « sécurité ». Au-delà de la qualité des ingrédients nutraceutiques sélectionnés (origine, efficacité…), il est important de prendre en compte la notion de « dose ». Il ne faut pas confondre les VNR (pour rappel, Valeur Nutritionnelles de Référence), qui sont des seuils sous lesquels nous sommes potentiellement déficients (VNR différentes entre valeurs réglementaires pour l’étiquetage et valeurs définies par type de population), et les DJM (Doses Journalières Maximales) qui représentent les limites à ne pas dépasser dans un supplément.
C’est pourquoi, notre formule ne contient pas de doses « supraphysiologiques », que certains appellent « megadoses », respectant ainsi l’ensemble des DJM françaises. Il a été reconnu, qu’à des doses physiologiques prises à court et à long-terme, la prise de multivitaminiques (de qualité garantie !) ne présente pas de danger et permettrait même de limiter les écarts en micronutriments se creusant au cours du temps, et potentiellement durablement, entre nos besoins et ce que nous consommons [17]. La supplémentation multivitaminique pourrait même être un atout de prévention sur le risque d’apparition et de récidives de dégénérescences cellulaires à long terme [18].
Un an de développement
Nous avons entrepris de développer notre multivitamines de dernière génération en septembre 2017. C’est en passant l’ensemble de la littérature scientifique en revue que nous sommes tombés sur les formes coenzymées de vitamines, sur le magnésium liposomé, sur le chrome haute absorption ou encore sur les effets synergiques des caroténoïdes et bio-flavonoïdes.
Analyses de sécurité
Références
26 actifs essentiels
Notre complexe se concentre sur les nutriments difficiles à trouver dans l’alimentation. Nos dosages sont établis sur la base d’études cliniques ayant démontré leurs bénéfices santé. Il contient 14 vitamines, 5 minéraux, 4 caroténoïdes, 2 bio-flavonoïdes, du coenzyme Q10, de l’acide alpha-lipoïque et est exempt de minéraux pro-oxydants (fer, cuivre et manganèse).
Vitamines naturelles et bio-actives
Fini les formes artificielles ! Nous avons sélectionné de nouvelles vitamines dites « prêtes à l’emploi » comme la P-5-P (B6), des folates Quatrefolic® (B9), de la méthylcobalamine (B12) ou encore les vitamines A, E et D3 sous forme végétale.
Un nouveau sel de magnésium !
Pour la première fois un magnésium alliant teneur ET absorption prend place dans un multi-vitamines. Il permet de réduire le nombre de gélules/j tout en gardant une grande efficacité.
Ce panaché de nutriments bio-identiques a été sélectionné dans le but d’embrasser un maximum de bienfaits.
Santé cellulaire
Santé mentale
Énergie
Synthèses enzymatiques clés
Système immunitaire
Santé oculaire
Santé digestive
Fertilité
Grossesse & allaitement
Santé osseuse
Équilibre acido-basique
Nutricosmétique
Quand prendre le Multivitamines ?
Combien de gélules ?
*Les adolescents pouvant avoir des difficultés à avaler des gélules, nous vous recommandons de les ouvrir et d'en verser le contenu dans un verre d'eau, yaourt ou compote.
Durée d'une prise
Comment prendre ses gélules ?
Durée d'un flacon
Précautions d'emploi
Conditions de conservation
Pour 3 gélules | Quantité | VNR* | Pour 3 gélules | Quantité | |
Vitamines | Cofacteurs | ||||
Vitamine A (extrait de Dunaliela) | 800 μg | 100% | N-Acétyl-Cystéine | 180 mg | |
Vitamine B1 (Thiamine HCL) | 2,2 mg | 200% | Acide Alpha Lipoïque (forme R) | 50 mg | |
Vitamine B2 (Riboflavine) | 2,8 mg | 200% | Rutine (extrait de S. japonica) | 32 mg | |
Vitamine B3 (Nicotinamide) | 16 mg | 100% | Hespéridine (extrait de citrus) | 32 mg | |
Vitamine B5 (Pantothénate de calcium) | 6 mg | 100% | CoEnzyme Q10 | 30 mg | |
Vitamine B6 (Pyridoxal-5-phosphate) | 2 mg | 143% | Quercétine (extrait de S. japonica) | 20 mg | |
Vitamine B7 (Inositol) | 30 mg | - | Lutéine (extrait de tagète) | 7 mg | |
Vitamine B8 (Biotine) | 51 μg | 100% | Lycopène (extrait de tomate) | 1 mg | |
Vitamine B9 (Quatrefolic®) | 200 μg | 100% | |||
Vitamine B12 (Methylcobalamine) | 2,7 μg | 100% | Ingrédients | ||
Vitamine C (Acide L-Ascorbique) | 80 mg | 100% | Magnésium sucrosomé, Gélule d’origine végétale HPMC, N-acetyl-L-cystéine, Acide alpha lipoïque, Nu-RICE®, Zinc gluconate, Acide ascorbique, Extrait de Dunaliela, Menaquinone-7, Rutine, Hesperidine, CoQ10, Inositol, Acétate de d-alpha-tocophéryle, Quercetine, Nicotinamide, Levure selenie, Extrait de tagète, Cholecalciferol de lichen, Extrait de fucus, Pantothénate de calcium, Extrait de tomate, Pyridoxal-5-phosphate, Riboflavine, Thiamine HCL, Acide (6S)-5-méthyltetrahydrofolique, Methylcobalamine, Biotine. | ||
Vitamine D3 (Cholecalciferol de lichen) | 1000 UI | 500% | |||
Vitamine E (Nutrabiol®) | 12 mg | 100% | |||
Vitamine K2 (K2VITAL® DELTA) | 80 μg | 107% | |||
Minéraux | |||||
Magnésium élément (UltraMag®) | 150 mg | 40% | |||
Zinc élément (Gluconate) | 10 mg | 100% | |||
Sélénium (Levure selenie) | 30 μg | 54% | |||
Iode (Extrait de fucus) | 10 μg | 6,7% | |||
*VNR : valeurs nutritionnelles de référence
Vitamines, micronutriments indispensables
Les vitamines font partie de la catégorie des micronutriments (incluant aussi les minéraux et les oligoéléments). Ces derniers sont des composants qui dérivent principalement de notre alimentation car non synthétisés par notre organisme. Les micronutriments sont requis en petites quantités pour notre développement vital, la prévention de pathologies et notre bien-être général [1]. Chaque jour, notre organisme a besoin de vitamines pour son homéostasie physiologique, que l’on trouve au sein de notre alimentation. Deux catégories de vitamines existent : les vitamines hydrosolubles, c’est-à-dire solubles dans l’eau (vitamines du groupes B et C), et les vitamines liposolubles, c’est-à-dire solubles dans les graisses (vitamines A, D, E et K).
Vitamines | Sources alimentaires* Aliments les plus riches en g de vitamine pour 100 g d’aliment |
Vitamines hydrosolubles | |
Vitamine B1 (Thiamine) | Levure alimentaire, son de céréales, céréales, graines oléagineuses, viande de porc |
Vitamine B2 (Riboflavine) | Foie, abas, œufs, certains fromages et champignons |
Vitamine B3 (Nicotinamide) | Son de céréales, foie, poissons gras, volaille et autres viandes |
Vitamine B5 (Acide pantothénique) | Champignons, foie, œufs, abas, certaines volailles et fromages |
Vitamine B6 (Pyridoxine) | Herbes aromatiques séchées, son de céréales, foie et abas de volaille, graines oléagineuses |
Vitamine B7 (Inositol) / Vitamine B8 (Biotine) | Foie, œufs, poissons et viandes, légumineuses, champignons, graines germées |
Vitamine B9 (Acide folique) | Foie, levure alimentaire, légumineuses, graines oléagineuses, abas, épinards, herbes aromatiques séchées |
Vitamine B12 (Cobalamine) | Foie, abas, crustacés, poissons gras et autres poissons |
Vitamine C (Acide ascorbique) | Aliments crus : goyave, cassis, persil, poivron, citron, chou, kiwi, agrumes |
Vitamines liposolubles | |
Vitamine A (Rétinol) | Herbes aromatiques séchées, foie, thon, champignons séchés Aliments riches en provitamines A caroténoïdes (bêta-carotène) : carottes, patate douce, épinards, courge |
Vitamine D (Calciférol) | Huile de foie de morue, foie de morue, poissons gras, œufs de poissons et certaines margarines |
Vitamine E (Tocophérol) | Huile de germe de blé et autres huiles végétales, graines oléagineuses |
Vitamine K (K1 : Phylloquinone et K2 : Ménaquinone) | Vitamine K1 : herbes aromatiques séchées, choux, épinards, salades. Vitamine K2 : foie, beurre, volaille, yaourts |
*La composition nutritionnelle des aliments est consultable sur le site de l'ANSES, Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, l'environnement et du travail.
Consommation en vitamines
Les vitamines ne tirent pas toutes leurs origines des mêmes aliments, il est donc nécessaire d’avoir une consommation variée (aliments issus des différents grands groupes d’aliments) mais aussi une alimentation diversifiée (aliments issus d’un même groupe d’aliments). Les micronutriments n’ont pas de valeur énergétique (en gros, ils n’interviennent pas directement sur notre balance énergétique, ni pour maigrir, ni pour grossir !) comparativement aux macronutriments, qui ont un impact direct et sensible (glucides, lipides et protéines). L’ESFA (European Food Safety Authority) a établi des Valeurs Nutritionnelles de Référence (VNR, anciennement sous la dénomination d’AJR : Apports journaliers de Référence) pour les vitamines résumées dans le tableau ci-dessous :
Vitamines | VNR chez l'adulte Quantité par jour |
Vitamine B1 (Thiamine) | 0,1 mg / énergie consommée Pour individu à 2200 Kcak/j = 0,91 mg |
Vitamine B2 (Riboflavine) | 1,6 mg |
Vitamine B3 (Nicotinamide) | 1,6 mg / énergie consommée Pour individu à 2200 Kcal/j = 14,6 mg |
Vitamine B5 (Acide pantothénique) | 5 mg |
Vitamine B6 (Pyridoxine) | 1,7 mg (Hommes) 1,6 mg (Femmes) |
Vitamine B8 (Biotine) | 40 μg |
Vitamine B9 (Acide folique) | 330 μg (en folates alimentaires*) |
Vitamine B12 (Cobalamine) | 4 μg |
Vitamine C (Acide ascorbique) | 110 mg (Hommes) 95 mg (Femmes) |
Vitamine A (Rétinol) | 750 μg |
Vitamine D (Calciférol) | 15 μg (soit 600 UI) |
Vitamine E (Tocophérol) | 13 mg (Hommes) 90 mg (Femmes) |
Vitamine K (Phylloquinone) | 70 μg |
*Les folates alimentaires sont moins bien assimilés que l'acide folique.
En revanche, ces VNR, et donc les besoins, évoluent en fonction de certaines situations physiologiques particulières, notamment chez les femmes enceintes ou allaitantes et chez les personnes âgées. Lors d’une grossesse, les besoins en vitamine B12 (passant de 4 à 4,5 μg par jour) et en folates (passant de 330 à 600 μg par jour) sont notamment augmentés. Pendant l’allaitement, les besoins en vitamine A (passant de 750 à 1300 μg par jour) et en vitamine C (passant de 95 à 155 mg par jour) sont aussi augmentés. Ces données suggèrent l’importance de la période préconceptionnelle pendant laquelle un statut nutritionnel optimal permettrait d’assurer « les réserves » en micronutriments pour les périodes de grossesse et d’allaitement, qui sont déterminantes pour la santé future du nouveau-né. Enfin, les personnes âgées sont davantage exposées aux déficits nutritionnels dû à une diminution et des changements dans l’absorption des micronutriments [2] ainsi que des modifications de consommation (réduction de l’appétit, choix alimentaires prononcés pour des aliments chargés en saveurs…). Il existe d’autres raisons pouvant générer des déficiences au-delà du statut physiologique dans lequel on se trouve. En effet, elles peuvent résulter de régimes simplement pauvres ou faire suite à d’autres types de facteurs tels que des défauts d’absorption liés à des pathologies intestinales ou encore à la prise de médicaments [3].
D’un autre côté, il est aussi moins évident de détecter nos niveaux de consommation en micronutriments car ils ont des origines variées et moins connues, rendant plus difficile la mise en lumière d’une éventuelle « déficience » ciblée (« je ne consomme pas assez de tel aliment donc je ne consomme pas assez de telle vitamine »).
Une question primordiale semble alors se poser : pouvons-nous vraiment prétendre à un profil optimal de consommation dans nos modèles alimentaires actuel ? Malheureusement, les transitions alimentaires auxquelles nous avons fait face et nous faisons encore face sont extrêmement rapides et brutales. Nous sommes passés de modèles traditionnels de consommation caractérisés par une densité nutritionnelle élevée à des modèles modernes de consommation caractérisés, quant à eux, par une densité énergétique élevée [4,5], constituant de véritables problématiques de santé publique. Plus concrètement, ces évolutions ont donc engendré une diminution de la qualité de notre alimentation (diminution de la consommation de micronutriments essentiels et de fibres) notamment associée à l’intensification des procédés industriels (augmentation de la consommation des produits gras/sucrés et industriels ; baisse de la qualité des aliments riches en micronutriments essentiels, notamment en vitamines) [6]. S’ajoutent à ces paramètres d’alimentation, des modes de vie et des environnements contraignant l’atteinte de certains besoins en vitamines telle que la vitamine D (80% de la vitamine D provient de la photoconversion dans la peau par les UVB (soleil) [7].
Enfin, la problématique ne repose pas essentiellement sur le fait que notre alimentation soit complète (équilibrée) ou pas. Il s'agit d'accepter que l'espèce humaine soit une formidable machine d'adaptation, mais son corolaire implique que nous ne soyons jamais 100% adapté à un biotope donné et par conséquent à 100% de nos apports sur le long terme. Qu’il s’agisse d’une alimentation déséquilibrée, d’un régime alimentaire spécial, d’un mode de vie particulièrement stressant, d’un environnement spécifique, d’une période de vie particulière ou d’une condition médicale spécifique, de nombreux facteurs impactent nos apports. Aujourd’hui la Nutraceutique offre la possibilité d’assurer nos besoins en vitamine et minéraux essentiels, et de couvrir les écarts occasionnels ou systémiques afin de prévenir d’éventuelles carences, et de donner à l’organisme toutes les armes pour préserver notre santé sur le long terme.
Choisir son Multivitamines : des vitamines soigneusement sélectionnées chez Nutri&Co
Ici, nous vous donnons quelques clés mais surtout quelques informations essentielles pour prendre la bonne direction en termes de multivitaminiques, car l’histoire se répète, il existe une grande diversité de produits sur le marché. Pour bénéficier des effets des vitamines, il faut être sûr qu’ils atteignent bien leurs cibles, idéalement dans une forme active (= « prête-à-l’emploi »). C’est ce qui définit la fameuse biodisponibilité, correspondant à la qualité que possède un nutriment à pouvoir être absorbé par la muqueuse intestinale et à être utilisé efficacement. Plusieurs critères rentrent en compte pour assurer la biodisponibilité d’un composé et notamment sa forme (structure spécifique de la molécule). En effet, certaines formes sont dites bioactives, c’est-à-dire qu’elles correspondent à la forme sous laquelle elles peuvent être utilisées par l’organisme, ce qui facilite le travail d’assimilation de ce dernier [8].
Et si nous prenions un exemple concret ? Parlons un peu de vitamine B9 (acide folique issu de folates alimentaires). Au sein de la formule Nutri&Co, la vitamine B9 a été sélectionnée sous forme de Quatrefolic. Ce dernier correspond à du 5-Méthyltétrahydrofolate (5-MTHF) qui est une forme réduite des folates. La prise en supplément de cette forme bioactive permet aussi d’obtenir une biodisponibilité élevée de la vitamine B9 en « court-circuitant » la formation de molécules intermédiaires. En effet, lorsque le corps ingère de l’acide folique « standard », il doit le transformer 4 fois avant avant d’obtenir la forme active telle que le Quatrefolic®. Ces transformations successives engendrent évidemment des pertes, mais aussi une efficacité aléatoire, avec une forte disparité entre les individus [9].
L’association de la bioactivité ainsi que de la biodisponiblité permet d’apporter au sein du Multivitamines une forme de vitamine B9 bioidentique.
C’est dans cette démarche d’efficacité, et après plus d’un an de recherche, que Nutri&Co a systématiquement choisi des vitamines dans leur forme bioactive.
Des vitamines, mais aussi des minéraux et co-facteurs
En plus des vitamines, notre formule combine aussi la présence de magnésium, d’oligoéléments (minéraux de petites tailles) et de co-facteurs complétant l’action de support aux réactions physiologiques tout en ayant judicieusement pris soin d’éliminer les minéraux potentiellement pro-oxydants ou « antagonistes » (fer et manganèse notamment). De plus, le calcium n’a également pas été inclus dans notre Multi, car le consensus scientifique actuel met en avant l’apport alimentaire suffisant en calcium dans la population française.
Un exemple d’oligoélément crucial pour notre organisme est le zinc. On le retrouve majoritairement dans les viandes rouges, certaines graines, les shiitakes (champignons) et les crustacés. Dans le cadre de carences avérées, des perturbations peuvent être observées tels qu’un retard de croissance, un hypogonadisme chez les jeunes adolescents, des défauts de cicatrisation, des défauts de réponse du système immunitaire ou bien encore des changements neurosensoriels [10]. Trois gélules de notre multi apportent 100% des VNR sous une forme Gluconate, parfaitement bien assimilée et utilisable par l’organisme.
Concernant l’iode, les produits marins sont connus pour contenir la concentration la plus élevée. Les déficiences éventuelles, selon leur importance, peuvent avoir des conséquences à tous les âges, du fœtus à l’âge adulte, allant de problèmes de développement à des désordres neurologiques. La couverture de l’apport en iode semble notamment importante lors de la période périconceptionnelle jusqu’à l’enfance [11]. La supplémentation en iode n’est pas systématique et pourtant l’iode semble avoir une position importante dans les pratiques cliniques liées aux recommandations nutritionnelles particulières lors de la période périconceptionnelle [12].
Au sein des co-facteurs sélectionnés dans le Multivitamines, on retrouve notamment :
Cette combinaison augmente donc le potentiel antioxydant de notre organisme [13] par des molécules d’origines diverses et normalement faiblement biodisponibles.
Bénéfices santé
Bien que les vitamines et les minéraux agissent en synergie et via des mécanismes complexes, chacune possède des rôles physiologiques pouvant être brièvement listés (tableaux rôles biologiques). Ces implications majeures dans notre équilibre physiologique confèrent aux vitamines et minéraux des axes majeurs d’activité : vitalité, tonus, immunité et pourvoir antioxydant. Lors de situations physiologiques particulières telle que la grossesse l’atteinte des besoins en certaines vitamines (vitamines B9 et D notamment) et minéraux (zinc et iode) est cruciale. En effet, au-delà des fonctions de maintien de notre équilibre physiologique, les micronutriments jouent aussi un rôle primordial dans des périodes de développement accru.
Vitamines | Rôles biologiques |
Vitamine B1 (Thiamine) | Soutient le métabolisme énergétique (cofacteur dans la conversion des glucides en énergie), les fonctions nerveuses et musculaires |
Vitamine B2 (Riboflavine) | Soutient le métabolisme énergétique (cofacteur dans la chaîne respiratoire, composant de coenzymes), la vision et la peau |
Vitamine B3 (Nicotinamide) | Soutient le métabolisme énergétique (cofacteur de la chaîne respiratoire), les fonctions nerveuses et améliore les profiles lipidiques et la santé de la peau |
Vitamine B5 (Acide pantothénique) | Soutient le métabolisme énergétique |
Vitamine B6 (Pyridoxine) | Joue un rôle dans le métabolisme des acides aminés (cofacteur d’environ 100 réactions enzymatiques) et des acides gras, dans la production des globules rouge, et la santé cardiaque |
Vitamine B7 (Inositol) / Vitamine B8 (Biotine) | Joue un rôle dans la santé des os et des cheveux, dans la conversion des nutriments en énergie, et dans la synthèse des lipides, des acides aminés et du glycogène (réserves glucidiques endogènes de l’organisme) |
Vitamine B9 (Acide folique) | Participe à la synthèse d’ADN (matériel génétique), cofacteurs requis pour les réactions de méthylation, et permet la formation de nouvelles cellules et soutient la santé cardiaque |
Vitamine B12 (Cobalamine) | Joue un rôle dans la santé cardiaque, la production de nouvelles cellules, dans l’hydrolyse des acides aminés et des acides gras et soutient la maintenance des cellules nerveuses, interagit avec le métabolisme de la vitamine B9 |
Vitamine C (Acide ascorbique) | Joue un rôle dans la synthèse de nouvelles cellules, dans l’hydrolyse des acides gras et des acides aminés, soutient la maintenance des cellules nerveuses (synthèse d’hormones et de neurotransmetteurs), agit comme antioxydant, joue un rôle dans le système immunitaire, facilite l’absorption du fer non-héminique (issu des végétaux), permet le recyclage de la vitamine E |
Vitamine A (Rétinol) | Soutient la vision, la peau et les os, l’immunité et la reproduction, agit comme antioxydant |
Vitamine D (Calciférol) | Joue un rôle dans le métabolisme osseux (minéralisation des os), maintient les taux de calcium et de phosphore dans le sang pour consolider les os |
Vitamine E (Tocophérol) | Antioxydant régulant les réactions d’oxydation, protège les membranes cellulaires et des composés de l’organisme (lipides, enzymes…) |
Vitamine K (K1 : Phylloquinone et K2 : Ménaquinones) | Joue un rôle dans la coagulation des protéines dans le sang et régule le calcium sanguin |
(Données tirées de [14,15])
Minéraux | Rôles biologiques |
Magnésium | Retrouvez toute l’importance du magnésium dans nos fonctions physiologiques dans la rubrique science de notre Magnésium |
Zinc | Impliqué dans la structure et l’activité catalytique de nombreuses enzymes, joue un rôle dans la fonction du système immunitaire, la cicatrisation, la synthèse protéique, la synthèse d’ADN et la division cellulaire, requis dans la perception du goût et des odeurs, agit comme antioxydant |
Sélénium | Joue un rôle dans les fonctions immunitaires, agit comme antioxydant |
Iode | Joue un rôle de constituant essentiel des hormones thyroïdiennes, impliqué dans le processus général de développement et de croissance |
(Données tirées de [16])
En conclusion, la supplémentation multivitaminique soulève très souvent la notion de « sécurité ». Au-delà de la qualité des ingrédients nutraceutiques sélectionnés (origine, efficacité…), il est important de prendre en compte la notion de « dose ». Il ne faut pas confondre les VNR (pour rappel, Valeur Nutritionnelles de Référence), qui sont des seuils sous lesquels nous sommes potentiellement déficients (VNR différentes entre valeurs réglementaires pour l’étiquetage et valeurs définies par type de population), et les DJM (Doses Journalières Maximales) qui représentent les limites à ne pas dépasser dans un supplément.
C’est pourquoi, notre formule ne contient pas de doses « supraphysiologiques », que certains appellent « megadoses », respectant ainsi l’ensemble des DJM françaises. Il a été reconnu, qu’à des doses physiologiques prises à court et à long-terme, la prise de multivitaminiques (de qualité garantie !) ne présente pas de danger et permettrait même de limiter les écarts en micronutriments se creusant au cours du temps, et potentiellement durablement, entre nos besoins et ce que nous consommons [17]. La supplémentation multivitaminique pourrait même être un atout de prévention sur le risque d’apparition et de récidives de dégénérescences cellulaires à long terme [18].
Publications
Un an de développement
Nous avons entrepris de développer notre multivitamines de dernière génération en septembre 2017. C’est en passant l’ensemble de la littérature scientifique en revue que nous sommes tombés sur les formes coenzymées de vitamines, sur le magnésium liposomé, sur le chrome haute absorption ou encore sur les effets synergiques des caroténoïdes et bio-flavonoïdes.
Analyses de sécurité
Références
Montpellier, France
Laboratoire Lustrel
Pise, Italie
Laboratoire Alesco
Danemark
Laboratoire Kappa bio science
Madrid, Espagne
Laboratoire BTSA
Milan, Italie
Laboratoire Gnosis
Maisons Alfort, France
Laboratoire Lesaffre
Montpellier, France
Laboratoire Lustrel
Danemark
Laboratoire Kappa bio science
Pise, Italie
Laboratoire Alesco
Madrid, Espagne
Laboratoire BTSA
Milan, Italie
Laboratoire Gnosis
Maisons Alfort, France
Laboratoire Lesaffre
L'idée que " prendre des vitamines est inutile lorsqu'on mange équilibré " est encore très largement répandue en France. Pourtant, plusieurs études d'envergure nationale (SU.VI.MAX, etc.) ont démontré que les déficits en micro-nutriments touchent toute la population avec une mention spéciale pour les femmes enceintes, les adolescents et les plus de 50 ans. Signalons également qu'une étude récente et très sérieuse de part son ampleur inédite (plus de 14 000 sujets)* a démontré un impact positif sur la santé des personnes consommant quotidiennement un multivitamines pendant 11 ans ! Même si une cure ponctuelle garde un sens durant l'hiver ou lors d'une période de gestation, la prévention quotidienne de long terme reste la ligne que nous défendons chez NUTRI & CO.
* : Gaziano, J.M.; Sesso, H.D.; Christen, W.G.; Bubes, V.; Smith, J.P.; MacFadyen, J.; Schvartz, M.; Manson, J.E.; Glynn, R.J.; Buring, J.E. Multivitamins in the Prevention of Cancer in Men: The Physicians’ Health Study II Randomized Controlled Trial. JAMA 2012, 308, 1871, doi:10.1001/jama.2012.14641
La plupart des vitamines ne sont pas directement utilisables par l'organisme et doivent être activées via divers stades de transformation. Certaines étapes s'opèrent mal et entraine un résultat incertain. C'est par exemple le cas de l'acide folique (B9 synthétique) que l'organisme peine à métaboliser en B9 et dont l'excès pourrait avoir un impact sur la santé* Administrées sous forme bioactive, les vitamines sont telles que l'organisme les utilise et permettent d'éviter les étapes de transformation hasardeuse.
* : Kim YI. Folate et carcinogenèse : Preuves, mécanismes et implications. J Nutr Biochem 1999;10:66-88. Medline
La peur du surdosage naît de la mention " 100% des VNR " que l'on trouve dans les tableaux nutritionnels. Certains néophytes craignent ainsi de dépasser les limites en cumulant un multi-vitamines à leur régime alimentaire. Il ne faut toutefois pas confondre VNR (Valeur Nutritionnelles de Références*), qui sont des seuils en deçà desquels nous sommes carencés, et DJM (Doses Journalières Maximales) qui représentent les limites à ne pas dépasser dans un supplément.a ce jour, l'UE n'a pas encore déterminé de DJM pour les vitamines et minéraux. Elles sont donc spécifiques à chaque Etat. Ces seuils français sont définis dans l'arrêté du 9 mai 2006. Notons toutefois qu'une partie d'entre elles ont été annulées (vitamines K, B1, B2, B5, B8 et B12) par la décision du Conseil d'Etat du 27 avril 2011. La plupart des vitamines n'ont donc pas de limites sécuritaires.Notre formule ne contient pas de " mégadoses " et respecte l'ensemble des DJM françaises. Soulignons toutefois que la jurisprudence autorise très souvent le dépassement de ces seuils. C'est par exemple le cas pour les vitamines suivantes :
- Vit D : 2000UI en jurisprudence vs. 1000UI en DJM
- Vit B9 : 400mcg vs 200mcg (notamment suite à l'arrivée des folate comme le Quatrefolic)
- Vit B6 : 4mg vs. 2mg (suite à l'arrivée de la forme co-enzymée P'-5-P)
- Vit C : 250mg contre 180mg.
* : anciennement AJR (Apports Journaliers Recommandés).
La plupart des vitamines de notre formule sont sous forme végétale (A, D, E, etc.), mais nous ne rejetons pas pour autant la chimie moléculaire lorsque celle-ci apporte un véritable plus. En réalité, synthétique ne veut pas nécessairement dire artificielle. Certaines vitamines façonnées par l'homme sont 100% bio-identiques à leurs formes naturelles et donc tout aussi efficaces*. Elles présentent alors des avantages en matière de teneur et sont exemptes de solvants d'extraction.
* : il est démontré que la vitamine C naturelle et de synthèse ont exactement le même niveau d'absorption. Carr AC, Bozonet SM, Vissers MCM. A Randomisé Cross-Over Pharmacokinetic Bioavailability Study of Synthetic versus Kiwifruit-Derived Vitamin C. Nutrients. 2013.
Deux raisons expliquent l'absence de calcium dans notre formule :
- Contrairement à une idée reçue, il est très rare de souffrir d'une carence en calcium. Ce minéral se trouve en effet en effet en abondance dans notre alimentation. C'est aujourd'hui plutôt les carences en vitamines D et K, les deux cofacteurs du calcium, qui sont plutôt pointées du doigt lorsque l'on rencontre des problèmes osseux.
- La supplémentation en calcium n'a pour l'heure pas prouvé son efficacité et pourrait même avoir un impact négatif sur la sphère cardiovasculaire.*
* : M. J. Bolland, A. Grey, A. Avenell, G. D. Gamble, I. R. Reid. Suppléments de calcium avec ou sans vitamine D et risque d'événements cardiovasculaires : réanalyse de l'ensemble de données et méta-analyse de l'Initiative pour la santé des femmes à accès limité. BMJ, 2011 ; 342 (avr19 1)
La prescription systématique de fer n'est pas fondée sur des résultats cliniques tangibles. Or depuis la parution d'une étude américaine en 2011, la supplémentation en fer ne fait plus l'unanimité. Cette étude portant sur plus de 38.000 femmes a mis en évidence la réduction de la durée de vie chez les sujets s'étant le plus supplémentés en fer*. Les spécialistes pointent du doigt l'effet pro-oxydant du fer lorsqu'il est présent en trop grande quantité dans l'organisme.
* : Mursu J, Robien K, Harnack LJ, Park K, Jacobs DR Jr. Dietary supplements and mortality rate in older women : the Iowa Women's Health Study. Stagiaire en médecine de l'arche. 2011 Oct 10;171(18):1625-33
Les études ayant investigué la relation entre β-carotène et risque de cancer chez les fumeurs sont nombreuses mais les résultats restent controversés. Certaines ont conclu à un risque augmenté, d’autres n’ont pas mis en évidence de relation positive entre β-carotène et risque de cancer chez les fumeurs. Au demeurant, tout risque est à considérer mais il est important de se placer dans les conditions nutritionnelles observées ou imposées dans ces études. En effet, dans les grandes études marquantes, les supplémentations en β-carotène imposées étaient de 20 mg par jour, voire au-delà, et sur plusieurs années. L’EFSA (« European Food Safety Authority ») a d’ailleurs statué en 2012, indiquant que l’exposition au β-carotène, à des niveaux en dessous de 15 mg par jour, ne présentait pas d’effets délétères pour la santé dans la population générale, en y mentionnant spécifiquement les fumeurs. En se positionnant dans un contexte de consommation, en France, l’étude individuelle nationale des consommations alimentaires (INCA3, 2017) a notamment montré que les apports journaliers moyens en β-carotène étaient de 2,7 mg. Cela met en évidence un écart notable entre ces apports et ceux pouvant être prédits en présence d’une supplémentation éventuelle. Dans le cadre de notre Multi, 800 microgrammes soit 0,8 mg de bêta-carotène sont présents pour 3 gélules. On est donc dans tous les cas très largement en deçà de la dose admise comme étant sans risque par l’EFSA.
Notre mode de vie moderne ainsi que certains régimes particuliers ne nous permettent pas toujours un apport suffisant en vitamines et minéraux, pourtant essentiels au bon fonctionnement de notre organisme.
Plutôt que de développer une énième formule fourre-tout, nous nous sommes concentrés sur 26 actifs clés adaptés à tous : vitamines bio-actives, D3 végétale, minéraux haute absorption, extraits végétaux, CoQ10...
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