
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Notre formule s’articule autour du couple bisglycinate de fer (Breveté TRAACS®) et souche lactique (Lactobacillus plantarum 299v®) qui constitue une rupture dans l’approche de la supplémentation ferrique. Plutôt que de résoudre l’équation du déficit par un excès d’apport, notre formule est conçue pour améliorer l’absorption du précieux minéral. Cette approche inédite permet d’éviter les méga-doses en fer et les désagréments qui y sont liés, notamment les troubles digestifs.
Cela n’a l’air de rien, mais les études cliniques sur produits finis sont extrêmement rares en Nutra. Ce ne sont pas moins de 3 études qui démontrent :
Parce que les risques de déficit en fer touchent des populations spécifiques, notamment les femmes enceintes et les sportifs d’endurance, notre formule répond aussi à leurs besoins. Elle apporte une dose quotidienne de 216μg de folates, forme biodisponible d’acide folique, essentiels pour ces populations.
Notre formule prend place dans une seule petite gélule par jour ! Elle est étudiée pour éviter le goût métallique et ainsi faciliter au maximum la prise.
De plus, nos gélules sont enrobées d'une enveloppe gastro-résistante afin d'éviter leur dissolution dans l'estomac et pour garantir l'efficacité de la formule. Elles peuvent ainsi atteindre leur cible privilégiée : le microbiote intestinal pour l'action du probiotique.
Le fer est l’oligo-élément le plus abondant de notre organisme. Il est essentiel à l’oxygénation de notre sang et intervient dans de nombreuses fonctions comme les fonctions cognitives, le système immunitaire, le métabolisme et est essentiel au bon développement de l’enfant in utero.
Si un déficit en fer ne signifie pas pour autant carence en fer ni anémie, il est préférable d’y répondre avant que cela ne devienne problématique. Ainsi, les compléments alimentaires s’avèrent être une solution efficace. Notre formule de fer s’articule autour d’une souche lactique et d’un dosage raisonnable en fer bien toléré (elle limite ainsi les désagréments bien souvent associés) tout en optimisant l’absorption (vitamine C).
Bien souvent, une analyse par simple prise de sang est la première étape pour identifier l’origine d’une fatigue chronique. En fonction du taux de ferritine sanguin, les bienfaits du fer en supplémentation peut se révéler une réponse efficace et adaptée.
Si le déficit en fer est relativement courant dans la population générale, il touche très majoritairement les femmes pendant la grossesse et les sportifs d’endurance extrême. Notre formule a été conçue pour subvenir aux besoins en fer de ses populations en leur apportant en plus des folates, un nutriment essentiel qui leur est recommandé.
Valeur nutritionnelle | Pour 1 gélule | % des AR* |
Lactobacillus plantarum 299v® | 66 mg / 10 mds UFC** | - |
Vitamine C | 12 mg | 15 |
Ferrochel® : Fer Chélaté Bisglycinate labellisé TRAACS® Dont Fer élément |
70 mg 14mg |
100 |
Folates (Vitamine B9) | 216 μg | 108 |
*Apports de Référence
**Unité Formant Colonie
Ingrédients : Amidon de maïs, Gélule gastro-résistante (gélifiants : hydroxypropylméthylcellulose, pectine), Bisglycinate de fer (Ferrochel®) labellisé TRAACS® (The Real Amino Acid Chelate System), Probiotique : Lactobacillus plantarum 299v® (DSM 9843), Acide L-ascorbique (Vitamine C), Quatrefolic® [(6S)-5-Méthyltétrahydrofolate, sel de glucosamine] (Vitamine B9).
Ferrochel® est un ingrédient breveté d’Albion®. Quatrefolic® est une marque déposée de Gnosis S.p.A. Lactobacillus plantarum 299v® est une souche de Probi®.
Le fer est l’élément chimique (symbole Fe) de numéro atomique 26. C’est l'oligo-élément le plus abondant, et donc le plus étudié du corps humain. Un oligo-élément est un minéral (fer mais aussi zinc, sélénium…) dont le besoin nutritionnel est inférieur à la catégorie des minéraux (magnésium, calcium…). En effet, en plus d’être relativement courantes, les carences en fer sont associées à des mécanismes d’absorption et de régulation extrêmement complexes. Or une carence en fer, si elle se transforme en anémie, peut avoir des conséquences graves pour la santé.
Définition de la carence en fer [1,2]
Le risque de carence potentielle apparaît essentiellement lorsque les besoins de l’organisme sont augmentés (pour compenser par exemple des pertes plus importantes), et que les apports ne sont pas ajustés en conséquence.
Les premiers stades d’une carence ne sont pas nécessairement associés à une anémie, même si cela s’avère fréquent.
La carence en fer sans anémie (appelée carence martiale) est caractérisée par une diminution de la ferritine, protéine de stockage cellulaire du fer dans les organes et présente en plus faible quantité dans le sang. La ferritine est le marqueur direct des réserves en fer de l'organisme et son dosage sanguin permet de détecter une carence.
La diminution de la ferritine (carence en fer non anémique : <15–30 μg/l identifiable via analyse sanguine) est très précoce, elle survient avant même l’installation de l’anémie (et lorsque l’anémie s’installe, la ferritine s’écroule).
L’anémie est caractérisée par une diminution de l’hémoglobine (protéine des globules rouges de transport de l’oxygène), et peut être causée par une carence en fer ou d’autres facteurs. Le dosage sanguin de l’hémoglobine permet de la diagnostiquer (<130g/l pour les hommes et <120g/l pour les femmes).
L’anémie causée par une carence en fer est donc associée à une ferritine basse, elle est appelée anémie ferriprive.
Il est important de noter que l’anémie peut avoir d’autres origines qu’une carence en fer :
Notons que la carence en fer sans anémie est un état latent de l’anémie ferriprive.
Adapté de [2]
Conséquences pour la santé
L’anémie par carence en fer entraîne différents symptômes comme la fatigue, la pâleur du teint et un essoufflement plus prononcé à l’effort. Les symptômes de la seule carence en fer (sans anémie) sont quant à eux moins bien établis, mais cet état affecterait également le bien-être général [2].
Lors de la grossesse, le statut nutritionnel de la mère est crucial et les périodes pré, péri et post-natales sont des fenêtres de programmation de la santé de l’enfant. Un statut en fer adéquat durant la grossesse va permettre une maturation du cerveau et un développement normal du nouveau-né puis de l’enfant [3]. Il apparaît donc important de surveiller les apports en fer des femmes enceintes et, plus tard, des jeunes enfants.
Données de prévalence
Une grande analyse a été réalisée entre 1993 et 2005 par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sur 192 pays afin de déterminer la prévalence de l’anémie. Ces travaux ont évalué à 1,62 milliards le nombre de personnes touchées par l’anémie, soit 24,8% de la population mondiale. Tous les pays ne sont évidemment pas touchés de la même manière.
Si on regarde l’Europe, la prévalence de l’anémie chez les femmes enceintes était de 25,1% contre 19% pour les autres femmes [4]. La prévalence chez les jeunes enfants (0-5 ans) était de 21,7%.
L’OMS a par ailleurs évalué le pourcentage d’anémies pouvant être concernées par une supplémentation (par des compléments alimentaires de fer en gélules notamment) en fer (anémie qui tirerait donc son origine de la carence en fer). En Europe, l’organisme donne les chiffres suivants :
Tous pays confondus, les travaux ont établi que 50% des anémies chez les femmes (menstruées, en âge de procréer, enceintes) résulteraient d’une carence en fer.
Des données spécifiques à la population française ont été publiées en 2001 [5] :
En résumé, bien que l’anémie ne soit pas forcément due à une carence en fer, les données suggèrent une forte probabilité que celle-ci en soit la cause. Il apparaît donc nécessaire de suivre le statut en fer de la population, notamment en France, avec une attention particulière chez les personnes à risque de carence, et donc aussi à risque d’anémie (essentiellement les femmes enceintes ou en âge de procréer et les jeunes enfants).
Les deux formes de fer dans l'organisme [6]
Deux formes de cations du fer existent : le fer ferreux Fe2+ et le fer ferrique Fe3+. La majorité du fer de l'organisme (70%) est sous forme dite "héminique" (ferreux, Fe2+ contenu dans l’hème), le reste étant sous forme "non-héminique" (ferrique, Fe3+, forme de transport et de réserve) :
Le fer alimentaire
Fe2+ est la forme que l’on retrouve dans les tissus animaux (comme dans la viande et le poisson) tandis que la forme Fe3+ est retrouvée dans les céréales, les légumineuses (les végétaux) et les œufs. Il existe donc deux types d’apport alimentaire en fer, en fonction de la forme, et des grandes catégories d’aliments dans lesquels on les retrouve (tableau ci-après). Entre ces deux formes l’absorption par l’organisme ne sera aussi pas la même :
Aliment | Fer (mg/100g) |
Origine animale | |
Boudin noir (cuit) | 16,1 |
Abats (cuits) | 6,5 |
Moules (cuites) | 4,0 |
Viande rouge (cuite) | 2,8 |
Oeufs (cuits) | 1,8 |
Charcuterie | 1,6 |
Viande blanche (cuite) | 0,8 |
Poisson (cuit) | 0,7 |
Origine végétale | |
Graines de sésame | 14,6 |
Épinards (cuits) | 2,1 |
Légumineuses | 1,6 |
Légumes (cuit) | 0,5 |
Riz complet (cuit) | 0,3 |
Avocat (pulpe) | 2,0 |
Riz blanc (cuit) | 0 |
La composition nutritionnelle des aliments riches en fer est consultable sur le site de l'ANSES, Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, l'environnement et du travail.
Le cycle général du fer dans l’organisme [7–9]
Au sein de l'organisme existe un système bien rodé autour du fer. Si la capacité d’absorption au niveau entérocytaire (cellules de la paroi de l’intestin grêle) est de 1 à 2mg par jour, les pertes sont d'environ du même ordre, 1 à 2mg par jour, en raison de pertes cellulaires (exemple: cellules digestives, de la peau et des phanères) et de diverses sécrétions (sueur, urine, bile ou lait maternel). Le seul mécanisme de régulation des taux de fer dans l’organisme se situe au niveau de l'absorption. En réalité, les apports et pertes sont deux mécanismes quasiment indépendants, et il est possible d’accumuler “trop de fer” si les apports sont trop importants par rapport aux pertes.
Le fer est également soumis à un système de recyclage, pool “recirculant” de 20 -25mg par jour, entre la synthèse des globules rouges dans la moelle osseuse et leur destruction normale (phagocytose) par le système réticulo-endothélial (ensemble de cellules immunitaires impliquées dans l’épuration de l’organisme).
L’absorption du fer alimentaire et nutraceutique dans l’organisme [9,10]
En situation physiologique, l’absorption intestinale est la seule voie d’entrée du fer. Après une étape de solubilisation dans l’estomac, le niveau d'absorption est maximal au tout début de l’intestin grêle (cellules entérocytaires matures). On distingue trois voies d’assimilation distincte :
La régulation de l’absorption dans l’organisme [11,12]
La régulation des stocks de fer est hormonale et se joue essentiellement au niveau de l’absorption. Un petit peptide hormonal synthétisé par le foie joue un rôle crucial dans le contrôle de l'absorption du fer : l’hepcidine.
En fixant la ferroportine, transporteur du fer de l’intérieur des entérocytes (cellules intestinales) vers la circulation sanguine, l’hepcidine entraîne sa dégradation. En résumé, l’hepcidine agit en diminuant l’absorption intestinale du fer alimentaire ainsi que le recyclage du fer des globules rouges par les macrophages. L’expression de l’hepcidine est réglée en fonction de différents stimuli :
Par exemple, en cas de perte importante de sang, l’hepcidine est réduite, afin de permettre une absorption maximale de Fer, qui permet une activation de l’érythropoïèse (synthèse des globules rouges).
Biodisponibilité du fer [13,14]
Le fer dans l’hème est la forme ayant la meilleure biodisponibilité (15 à 20%) avec le Fe2+ sous forme ionique (absorption très variable selon la formule ou la source).
Le fer végétal étant sous forme de Fe3+, il doit être réduit pour pouvoir être absorbé. De plus, dans les végétaux, certains composés complexent le fer (comme les phytates) l’empêchant ainsi d’être réduit et assimilé. Au total, le fer végétal affiche donc une absorption particulièrement faible de 3 à 5%.
On sait par exemple que, la consommation de thé inhibe l’absorption du fer dû à la présence de polyphénols capables de complexer le fer : les tannins. D’autres polyphénols des légumes et des céréales pourraient être impliqués mais les données ne sont pas encore très claires.
D’autres composés sont, quant à eux, facilitateurs de l’absorption du fer. La vitamine C (acide ascorbique) a démontré qu’elle était capable de faciliter la réduction du fer ferrique en fer ferreux ainsi que de chélater le fer (fer rendu soluble).
Enfin, certains métaux lourds pourraient être en compétition avec les mécanismes d'absorption du fer. Le plomb est un exemple de compétiteur du fer, mais la prévalence reste faible chez les enfants en bas-âge, population la plus vulnérable.
Aspects généraux des besoins [15]
Le fer répond à un mécanisme d’équilibre. Les apports doivent strictement compenser les pertes. Dans le cadre d’un déséquilibre, le risque de déficience (voire de carence) ou de surcharge (possiblement pathologique) peut survenir. En additionnant la quantité de fer contenu dans l'organisme et pour chaque compartiment, on obtient un total de 4 g (un peu moins pour les femmes, plus proche de 3 g) de fer au total (cf paragraphe : les deux formes de fer). Les apports alimentaires tournent autour de 10 à 15 mg par jour mais la capacité d'absorption intestinale est de 1 à 2 mg par jour.
Le fer étant stocké dans l’organisme, les apports nutritionnels de référence ont donc été élaborés de manière à assurer les réserves. En 2016, les recommandations ont été revues à 11 mg/j pour :
Les situations physiologiques spécifiques [15]
Le fer alimentaire sert à combler les pertes mais aussi à subvenir à l’augmentation des besoins dans certaines situations physiologiques (adaptation de l’absorption). Parmi ces situations sujettes aux déficiences en fer par demande croissante, on distingue (données EFSA pour les apports de références) :
Les situations non-physiologiques de vigilance
Tous les cas de figure de changement du besoin ne sont pas forcément référencés par les instances et autorités de santé. On peut notamment dégager des modes de vie susceptibles d’induire des besoins plus importants.
- Les régimes alimentaires pauvres en viande et/ou poisson sont pauvres en fer et augmentent le risque de déficience en fer. Ces régimes sont notamment représentés par des apports en fer non héminique dont les sources contiennent elles-mêmes des facteurs limitant l’absorption du fer dont les fameux phytates, très présents dans le soja par exemple (cf partie : Biodisponibilité du fer) [16].
- Les femmes végétariennes et vegans, versus les non-végétariennes, ont une prévalence plus élevée de risque d’anémie par carence en fer [17].
Un autre cas de figure peut-être soulevé. Dans le cadre d’entraînements sportifs intenses, il est d’autant plus important de vérifier le statut en fer et les apports chez les femmes. Bien que les données ne mettent pas toutes en évidence une relation établie entre entraînement intensif et carence en fer (ou besoin de complément alimentaire en fer) [18], la surveillance du statut et des apports en fer est largement encouragée afin d'optimiser la performance [19].
Etat des apports en fer
En France, l’étude INCA III (Étude Individuelle Nationale des Consommations Alimentaires) a évalué les apports en fer de différentes tranches d’âges (0-10 ans, 11-17 ans et 18-79 ans) [20] :
Tranche d'âges |
Apport en fer, mg/j |
0-10 ans, moyenne globale Focus 0-11 mois |
8,2 6,6 |
0-10 ans, moyenne garçons | 8,7 |
0-10 ans, moyenne filles | 7,7 |
11-17 ans, moyenne globale | 9,8 |
11-17 ans, moyenne garçons | 10,7 |
11-17 ans, moyenne filles | 8,9 |
18-79 ans, moyenne globale | 10,5 |
18-79 ans, moyenne hommes | 12,2 |
18-79 ans, moyenne femmes | 8,9 |
Les résultats de ces travaux montrent que la plupart des tranches d’âge et catégories ont des apports en-deçà des recommandations nutritionnelles.
En 2019, une revue à l’échelle européenne sur les apports spécifiques en fer des femmes en âge de procréer a montré que, dans une très large majorité des pays, les apports en fer sont inférieurs aux 11 mg/jour recommandés [21].
La cible majeure : les femmes enceintes [2,22,23]
La supplémentation et le complément alimentaire en fer s’adresse particulièrement aux femmes enceintes afin de prévenir l’anémie maternelle et les complications directes liées au développement du fœtus. Durant la grossesse, les besoins en fer augmentent fortement en réponse à une expansion de 30% de la masse corporelle en globules rouges.
Les apports en fer sont une préoccupation de santé publique majeure, référencée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Pour assurer ces besoins accrus durant la grossesse, l’apport en fer recommandé est d’environ 30 mg/jour, dose presque 2 fois supérieure aux besoins élémentaires et pouvant causer un inconfort digestif. Des formules de compléments alimentaires de fer à libération lente permettraient de l’éviter mais elles ne seraient pas aussi efficaces à réellement couvrir les besoins. Par ailleurs, cette dose ne serait justifiée que pour une carence martiale observée avant et pendant la grossesse.
Il semblerait que par prévention et pour veiller à ne pas basculer dans la carence, des compléments alimentaires aux formulations avec des doses bien plus faibles et optimisant l'absorption du fer soient plus adaptées.
Les formes de fer en nutraceutiques [24,25]
Hors du contexte alimentaire et de l’organisme, le lien ou non du fer avec l’hème n’a plus de sens. Dans la littérature, plusieurs formulations de fer sont référencées à base de fer ferreux (Fe2+) ou de fer ferrique (Fe3+) (sous forme de sels) :
Les formes de sels ferreux (Fe2+) sont mieux absorbées, donc plus biodisponibles. En Nutraceutique, on retrouve de moins en moins certains sels (sulfate) par rapport à des formes plus récentes (bisglycinate). Selon la forme de sel, la teneur en fer élément n’est pas la même. C’est le fumarate ferreux qui contient le plus de fer élément : 33%, comparativement au bisglycinate à 20% ou encore au gluconate ferreux à 12%. A noter que c’est la solubilité en milieu acide (estomac) qui entraîne la libération rapide des ions Fe2+ au début de l’intestin grêle et qui détermine la qualité de l’absorption du fer. C’est en cela que le bisglycinate de fer d’Albion Minerals se distingue.
Penser d’abord à l’absorption
Afin d’éviter les quantités élevées en fer et leurs effets secondaires indésirables à l’occasion d'une cure, il est possible de se pencher spécifiquement sur l’optimisation de l’absorption du fer en supplémentation.
L’augmentation de l'absorption du fer par la vitamine C est documentée depuis plus de 40 ans. Bien que les données ne se corroborent pas toujours, elles mettent en évidence un intérêt de la vitamine C dans l’optimisation de l’absorption du fer non-héminique [26]. D’une part, cette optimisation dépendrait du statut en fer de l’individu (ferritine plasmatique). Plus ce statut serait bas, plus efficace serait la vitamine C sur l’absorption du fer [27]. D’autre part, le ratio vitamine C/fer serait intéressant. Plus le régime alimentaire serait riche en inhibiteurs de l’absorption du fer (comme les phytates), plus l’absorption du fer serait optimisée par un ratio vitamine C/fer augmenté [28]. Si la vitamine C est l’un des facteurs les plus connus sur l’amélioration de l'absorption du fer, d’autres travaux sont encore nécessaires pour mieux comprendre son niveau d’intérêt.
Aussi, la compétition avec l'absorption du zinc (Zn2+) et du calcium (Ca2+) semble uniquement valable dans des conditions d’apports très élevés. C’est-à-dire dans un cas de supplémentation importante et simultanée par exemple de ces 3 minéraux [29].
Enfin, de façon intéressante, une méta-analyse a démontré l’effet de souches lactiques sur l’amélioration de l’absorption du fer non-héminique et du statut en fer dans plusieurs études cliniques [30]. Par hypothèse, certaines souches spécifiques favoriseraient les mécanismes d’absorption du fer non-héminique (par DCYTB (réduction du Fe3+ en Fe2+) et DMT1 (entrée dans la cellule)) en capturant le fer au niveau duodénal [31].
Bien plus qu’un simple complément alimentaire de fer, notre Fer et sa Souche Lactique réunit 4 éléments :
*La prise en complément alimentaire de 5-Méthyltétrahydrofolate (5-MTHF), forme bioactive, permet d’obtenir une biodisponibilité élevée de vitamine B9. En effet, la forme 5-MTHF subit moins de transformations enzymatiques pour devenir active en comparaison avec l’acide folique [32]. Consulter notre article acide folique et folates pour en savoir plus.
Trois études cliniques ont été réalisées sur la formule que nous avons sélectionnée. Chez des femmes en âge de procréer et chez des sportifs d’endurance, les résultats montrent que l’absorption du fer est significativement plus élevée (différence de 47% et de 23% respectivement) dans les groupes recevant la souche, comparativement à ceux recevant la formule sans Lactobacillus plantarum 299vⓇ [33,34]. Enfin, dans une étude réalisée sur 326 femmes enceintes, les analyses montrent que la prise de la formule avec Lactobacillus plantarum 299vⓇ a significativement limité la baisse (versus placebo) des marqueurs sanguins liés au fer de ces femmes (ferritine et hémoglobine au cours de la grossesse; mesures à 25, 28 et 35 semaines de grossesse). La ferritine a baissé de 46,2µg/L dans le groupe ayant utilisé la formule, alors qu’elle a baissé de 52,7µg/L dans le groupe placebo à 35 semaines. Enfin, l’hémoglobine avait davantage diminué dans le groupe placebo (-13,7g/L) par rapport au groupe prenant la formule avec souche (-9,1g/L) [35].
Autrement dit, même si les marqueurs sanguins baissent logiquement pendant la grossesse, notre supplémentation en fer pourrait diminuer significativement cette baisse de :
Voir aussi le rôle du fer sur la santé des cheveux.
Références
Notre promesse de transparence passe aussi par la publication des analyses qualité :
On parle d’effet "pro-oxydant" pour un produit qui génère un stress oxydatif, ou des espèces réactives de l’oxygène (ROS ou radicaux libres). Le fer peut effectivement jouer ce rôle-là dans des situations bien particulières :
Comme souvent, c’est donc la dose qui fait le poison et le fer peut devenir pro-oxydant si les apports sont trop importants par rapport aux besoins physiologiques. C’est aussi pour éviter ce type de problème que notre Fer a été développé.
Suivant le manque observé (anémie, carence martiale ou simple stock diminué), le temps de restauration d’un bon taux de ferritine sera plus ou moins long. Dans le cas d’un déficit léger, le taux de ferritine retrouve un niveau normal en quelques jours. La supplémentation devra bien entendu être encadrée par un médecin de façon à suivre les marqueurs sanguins et leur évolution positive (hémoglobine si anémie, et ferritine si uniquement carence).
Oui. Le dosage d’un marqueur particulier est possible : la ferritine. Cette dernière est le reflet direct des réserves en fer. En dessous de 15-30 μg/l, elle indique une carence martiale en fer. Bien entendu, ces valeurs sont ensuite à confirmer avec votre médecin pour ensuite envisager une supplémentation adaptée.
Malheureusement non. L'ensemble des maladies héréditaires dites thalassémies résultent d'anomalies au niveau de l'hémoglobine des globules rouges et non de carence en fer. Aussi, notre Fer et sa Souche Lactique n’apportera pas une réponse adaptée.
Eh bien non car, a contrario des supplémentations en comprimés ou des solutions dont le goût métallique est caractéristique, le fer en gélules présente l’avantage de ne pas avoir de goût.
Oui. Il est tout à fait possible de combiner notre Fer avec notre Spiruline. Au regard de la teneur très faible en fer dans notre Spiruline (7% des AR par portion, 6 comprimés), le fer sera majoritairement apporté par notre Fer et sa Souche Lactique.
Pas nécessairement, non. Notre fer est une supplémentation en réponse à des besoins soit parfois difficiles à couvrir, soit accrus dans certaines situations (femmes enceintes, femmes aux pertes menstruelles importantes, femmes au désir de grossesse). Toute supplémentation en fer doit être justifiée soit par un état déficitaire en fer (idéalement avéré par une prise de sang via dosage de la ferritine), soit par un état physiologique qui l'exige comme les cas cités ci-dessus.
Non. Notre formule ne sera efficace que sur le fer non-héminique car c’est l'absorption de cette forme de fer qui a besoin d’être optimisée. En effet, le fer héminique, en étant intégré dans l'hème (noyau des globules rouges), est naturellement bien absorbé par un transporteur qui lui est spécifique. Le fer non héminique ne bénéficie pas de ce transporteur et est beaucoup moins bien assimilé.
Il faut noter que si les symptômes de manque de fer sont difficiles à identifier, on peut néanmoins facilement repérer un déficit ou une carence via analyses sanguines (contrairement au magnésium par exemple). Il est ainsi déconseillé de se supplémenter préventivement en fer, surtout si on ne fait pas partie des populations à risque (notamment les hommes).
Dans tous les cas, si vous pensez manquer de fer, nous vous recommandons de vous rapprocher de votre médecin et de doser votre ferritine.
Pas forcément. Les symptômes de la carence en fer sont mal définis et ceux de l’anémie sont bien plus marqués, comme une fatigue importante. Avant de risquer l’anémie, il est donc possible de faire préalablement analyser l’état de ses réserves en fer (via un dosage sanguin de ferritine) pour évaluer si une carence en fer est présente.
Oui, absolument. Les polyphénols (tanins) du thé (qu’il soit vert ou noir) complexent une partie du fer de notre alimentation qui n’est alors plus libre pour être absorbé et stocké dans l’organisme. Si vous êtes dans une démarche d’optimisation de vos apports en fer, il est préférable de consommer le thé en dehors des repas et de ne pas prendre votre supplémentation avec vos tasses de thé.
Vous pouvez naturellement acheter Le Fer et Sa Souche Lactique au meilleur prix directement depuis notre site Internet. Vous pouvez également acheter notre complément alimentaire fer et vitamine C en pharmacie au prix identique (sans ordonnance) et dans certaines enseignes spécialisées.
Gnosis met en œuvre des processus de biotransformation (fermentation) pour concevoir des actifs nutritionnels dans le but d’améliorer la santé et le bien-être de l’Homme.
Lieu de culture : Redmond, Washington, USA
Probi est le producteur de la souche Lactobacillus Plantarum 299v (LP299v). LP299v bénéficie de plus de 200 publications scientifiques, dont 65 études cliniques dont 3 réalisées spécifiquement sur notre formule.
Albion Minéral est le pionnier mondial en production de minéraux chélatés. Leurs chélates sont produits via des procédés de fermentation non polluants de dernière génération.
Natural est une entreprise française spécialisée dans la distribution d'ingrédients naturels pour l'industrie nutraceutique.
EXDEN est un laboratoire français spécialiste des compléments alimentaires à base de probiotiques.