

Au cours du vieillissement, l’organisme, et notamment la peau, se défend moins bien contre les agressions environnementales (UV, pollution, stress, alimentation…). En cause : des mécanismes de défense cellulaire moins efficaces face aux radicaux libres.
En se basant sur les 9 causes identifiées du vieillissement et avec des actifs biodisponibles à action ciblée, il devient possible de dépasser l'approche des superdoses de vitamines et d'agir efficacement.
60 gélules • 2 gélules par jour
Lot de 3 Antioxydant
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Pack Beauté
48,80 € 47,00 € Économisez 1,80 € Ajouter au panier |
Une combinaison de 3 antioxydants qui a pour objectif de cibler le vieillissement cellulaire
Une combinaison de 3 antioxydants qui a pour objectif de cibler le vieillissement cellulaire
Jamais notre promesse “vivre mieux, plus intensément” n’aura eu autant de sens...
Le Sulforaphane est une molécule qui passionne les chercheurs de divers horizons et spécialités. Après 20 années de recherche qui ont abouti au dépôt de 2 brevets, il est enfin possible de l’obtenir sous une forme stable et dans sa matrice naturelle : le brocoli. 2 gélules de L’Antioxydant apportent autant de Sulforaphane que 190 g de brocoli cru.
Notre extrait de raisin est standardisé en polyphénols, dont 50% d’OPC (Oligomères ProCyanidoliques). Il contient surtout 20% de formes dites “monomères”, dont la biodisponibilité est supérieure à tout autre polyphénol, y compris les EGCg (Epicatéchines) de thé vert. Or les polyphénols ont beaucoup de vertus reconnues, dont la protection des télomères, eux-même garants de l’intégrité de notre ADN.
La coenzyme Q10 est une molécule endogène impliquée dans les processus de production d'énergie cellulaire. Or, même si aucune allégation santé n'est officiellement autorisée, il est démontré que sa production diminue avec l'âge (la preuve ici). Aussi, la réglementation autorise son utilisation en Nutra, sans limitation de dose quotidienne en France. Notre forme brevetée apporte l’équivalent de 360 mg de CoQ10 standard en 2 gélules.
Les bienfaits des antioxydants sont nombreux, tant à l’échelle cellulaire, qu’à une échelle plus visible :
Pour 2 gélules
Extrait de pépin de raisin (GRAP'INSIDE®) (Vitis vinifera L.) : 360 mg
dont OPC : 180 mg
dont épicatechines / Monomères : 72 mg
Sulfodyne® (Brassica oleracea italica) : 120 mg
dont extrait de brocoli : 18 mg
dont sulforaphane stabilisé : 5 mg
CavaQ10 : 100 mg
dont Q10 : 20 mg
Vitamine C : 12 mg
Ingrédients : Extrait de pépins de raisin (Vitis vinifera L., Vitaceae), gélule d’origine végétale: hydroxypropylméthylcellulose, Sulfodyne® [Maltodextrine, Extrait de graines de brocoli (Brassica oleracea var. italica), gomme d'acacia], CAVAQ10® (gammacyclodex- trine, Coenzyme Q10), acide ascorbique. CAVAQ10® est une marque de WACKER.
On entend parler des bienfaits des antioxydants tous les jours. Mais qui sont-ils au juste ? Et pourquoi sont-ils si essentiels à notre santé ?
Les antioxydants sont avant tout des agents de prévention. Ils protègent l’organisme à l’échelle cellulaire, essentiellement contre les dégâts des radicaux libres, libérés par les cellules lors du fonctionnement normal de notre corps.
Jusqu’ici, tout va bien : un organisme sain et fonctionnel émet des entités potentiellement nocives, mais celles-ci sont détectées et neutralisées par nos cellules. Ces dernières sont donc notre première ligne de défense et assurent la protection et la réparation de nos systèmes biologiques [1]. Ces mécanismes de défense sont extrêmement complexes et impliquent beaucoup de molécules, qu’on qualifie d’Antioxydantes, car elles luttent contre le pouvoir oxydant (destructeur) des radicaux libres. Elles sont notamment impliquées dans une multitude de cycles “Redox” (une cascade de réactions d’oxydo-réductions). Notre organisme produit directement beaucoup d’antioxydants naturels, comme la superoxyde dismutase (SOD), la glutathione peroxydase, le coenzyme Q10...
Malheureusement, avec le temps et à cause des facteurs externes comme la pollution, les UV, l’alimentation… ces radicaux libres nocifs peuvent devenir trop nombreux et débordent les mécanismes antioxydants des cellules. Surtout qu’en parallèle, notre production de ces molécules antioxydantes décline, les cycles Redox sont perturbés, nos défenses deviennent moins efficaces… C’est précisément ce qu’on appelle le « vieillissement ». [2,3].
Neuf marques ont ainsi été proposées comme empreintes du vieillissement. Ces dernières peuvent toucher directement notre matériel génétique, c’est-à-dire notre ADN (instabilité génomique, réduction des sites à la base de nos chromosomes - les fameux télomères - altérations épigénétiques), notre équilibre protéique (propriétés fonctionnelles des protéines), nos mécanismes de sensibilité aux nutriments, nos fonctions mitochondriales, nos processus de renouvellement cellulaire et de régénération cellulaire, et enfin, nos mécanismes de communication cellulaire [4].
Au cours du vieillissement physiologique, l’apparence et la structure de notre peau sont particulièrement affectées (notamment moins de collagène : apparition de rides et perte d’élasticité). Sous la surface, au niveau cellulaire, notre peau devient aussi plus sensible aux « agressions » environnementales (UV, toxines, pollution…), et moins efficace pour lutter contre le stress oxydant (émission des fameux radicaux libres). Les marques visibles du vieillissement sont alors susceptibles de devenir plus apparentes et plus nombreuses, voire induire des changements de composition, de structure, d’élasticité et de pigmentation [5,6]. C’est ce qui explique pourquoi la peau est un haut-lieu de l’activité antioxydante du corps humain.
Si l’organisme n’assure plus suffisamment la gestion des radicaux libres pour protéger les cellules, et afin de limiter les phénomènes de vieillissement, il convient donc de le soutenir via un apport externe d’antioxydants alimentaires ou Nutraceutiques. Et c’est donc particulièrement important pour la peau [7,8].
Jusqu’à aujourd’hui l’approche des produits “antioxydants” a toujours été la même : apporter par voie orale une molécule qui va “capter” des radicaux libres. L’idée étant qu’avec le vieillissement, on produit moins de capteurs de radicaux libres, on peut donc en fournir directement. Vous imaginez donc la course à l'échalote, avec pour but de trouver l’antioxydant le plus puissant, celui qui va capter le maximum de radicaux libres. Le tout mesuré bien-sûr par un test en laboratoire dans des conditions totalement artificielles (test ORAC et indice ORAC). Si cette stratégie semble intuitivement intéressante, elle présente deux défauts majeurs :
Et on ne mentionne même pas tous ces antioxydants soi-disant surpuissants et dont la stabilité ou la biodisponibilité laisse à désirer (avez-vous déjà entendu parlé du Glutathion?). On vous vend un antioxydant avec un indice ORAC qui crève le plafond ? Posez-vous une question simple : OK il marche très bien en labo, sur une sonde, mais ce qu’il se passe dans le corps c’est une toute autre histoire, bien plus complexe : alors où sont les données cliniques ?
En ciblant des causes du vieillissement plutôt que des conséquences, une nouvelle approche est possible. Cette approche permet au corps de maintenir ses propres systèmes de lutte contre les radicaux libres, et l’équilibre de ses mécanismes antioxydants. Cette ambition nécessite des molécules qui agissent à l’échelle génomique, comme les polyphénols de raisin (Vitis Vinifera) protégeant les télomères et l’expression génétique (épigénétique).
Et afin de concevoir un antioxydant réellement efficace en gélules, il est aussi nécessaire de maîtriser ces paramètres :
Alors comment avons-nous fait ?
Si le brocoli n’est pas le plus connu des aliments antioxydants, les chercheurs étudient depuis de très nombreuses années les effets d’une petite molécule fascinante qui en est extraite : le Sulforaphane. L’intérêt de la communauté scientifique pour les effets bénéfiques du sulforaphane s’est particulièrement intensifié depuis les 10 dernières années. Son effet protecteur contre les processus du vieillissement est à ce jour plutôt bien établi grâce à son rôle antioxydant puissant aux propriétés nutrigénomiques, à la racine du problème donc (action sur l’expression des gènes) [9]. Le Sulforaphane est capable - d’activer les enzymes de phase II responsables de la réponse antioxydante et du métabolisme des xénobiotiques (composés toxiques tels que les espèces réactives de l’oxygène) : « voie de détoxification » et - d’inhiber les enzymes de phase I, enzymes responsables de l’activation des xénobiotiques. Il est aussi capable d’inhiber les processus impliqués dans la réponse pro-inflammatoire (voie NF-κB). Enfin, le Sulforaphane serait capable d’inhiber des processus épigénétiques par lesquels l’expression de nos gènes est modifiée et de protéger notre système protéique en protégeant ses activités et ses fonctions [10,11]. Une des dernières publications sur l’ensemble des travaux scientifiques réalisés sur le Sulforaphane rapporte que ses effets bénéfiques seraient observables dès 1,8 mg de Sulforaphane pur par jour [12].
L’efficacité clinique ainsi que le mécanisme d’action sont donc validés. Qu’en est-il de la biodisponibilité ?
Lors de la consommation d’aliments riches en précurseurs du Sulforaphane (les crucifères, choux, brocolis) et après une action enzymatique de la myrosinase, le précurseur appelé glucoraphanine est hydrolysé en Sulforaphane à partir du microbiote de l’intestin grêle.
Le Sulforaphane peut ensuite passer la barrière intestinale grâce à son faible poids moléculaire et sa lipophilie élevée, puis traverser les membranes cellulaires, lui permettant d’atteindre ses cibles et agir [11]. Or, lors de cette première étape, la transformation de la glucoraphanine en Sulforaphane est très peu efficace, et dépend beaucoup de personne en personne. Autrement dit, les extraits standards de brocoli sont une source de Sulforaphane très peu biodisponible et peu efficace. Pour résoudre ce problème, certains fabricants se sont aventurés à proposer du Sulforaphane purifié, mais ils se sont trouvés confrontés à un problème de taille : l’instabilité très importante de cette molécule.
Aujourd’hui et après une durée de développement nécessaire de plus de 20 ans (!!!), l’utilisation directe de Sulforaphane est enfin possible et dans les conditions optimales garantissant sa biodisponibilité ET sa stabilité, à travers l’introduction de Sulfodyne® (issu du brocoli) dans notre Antioxydant en gélules. Cette innovation unique et Made In France a abouti au dépôt de 2 brevets. Donc pour la première fois un extrait de brocoli, standardisé en Sulforaphane coche l’ensemble des cases de l’efficacité nutraceutique :
Pour vous donner quelques repères de comparaison :
Les extraits de raisin sont naturellement riches en polyphénols incluant les anthocyanes, les flavonols, les stilbènes (dont le resvératrol) et des acides phénoliques. Différents profils de polyphénols existent en fonction de la partie du raisin utilisée. Au sein des pépins se trouve le pourcentage le plus élevé de polyphénols actifs : flavonols et anthocyanines [13], conférant à ces extraits riches en polyphénols un potentiel antioxydant élevé [14]. Bien que les mécanismes d’action soient difficiles à élucider, les polyphénols de raisin pourraient avoir une influence positive sur la longueur des télomères et ceux présents dans les pépins pourraient protéger l’intégrité de l’ADN (luttant contre des lésions de l’ADN) en participant efficacement à l’élimination des radicaux libres [15,16]. La structure des polyphénols doit être considérée pour obtenir une efficacité optimale. En effet, 82% des monomères de flavonols seraient absorbés, contre seulement 1% pour les polymères, assurant une meilleure distribution aux tissus de l’organisme. L’épicatéchine (monomère de flavonol), dont la biodisponibilité est élevée, est notamment présente en quantité importante (≥ 20%) dans l’extrait sélectionné : GRAP’INSIDE. Vous comprenez donc pourquoi nous avons sélectionné cet extrait en particulier.
La CoQ10, également appelée ubiquinone ou coenzyme Q10, est un composé central impliqué dans le transport des électrons au niveau mitochondrial et donc dans la production d’énergie ainsi que dans l’activité des membranes [17]. Au cours du processus de vieillissement, la biosynthèse de CoQ10 par l’organisme diminue. L’apport supplémentaire en CoQ10 pourrait donc influencer les dommages oxydatifs sur les molécules centrales de nos cellules et de nos fonctions : lipides, protéines et ADN [18,19]. Les doses « idéales » de CoQ10 applicables pour une cure « anti-âge » seraient difficiles à définir mais des travaux rapportent que dès 100 mg par jour, les effets seraient notables [18,20]. Par ailleurs, ces effets bénéfiques sont souvent bloqués par les difficultés du CoQ10 à atteindre la circulation sanguine lors d’une prise par voie orale. C’est pourquoi, une complexation avec des cyclodextrines permet au CoQ10 de devenir soluble et donc biodisponible [21,22]. Grâce au complexe CavaQ10, processus d’encapsulation du CoQ10 (ubiquinone, forme stable) dans des cyclodextrines, la biodisponibilité devient 18 fois supérieure à celle du composé seul. Considérant que le CavaQ10 contient 20% de CoQ10 et que sa biodisponibilité est 18 fois plus élevée, notre Antioxydant apporte par conséquent l’équivalent de 360 mg de CoQ10 pour 2 gélules. Là aussi :
Publications
Résultat d'analyse :
Jamais notre promesse “vivre mieux, plus intensément” n’aura eu autant de sens...
Un extrait de brocoli aux propriétés uniques
Le Sulforaphane est une molécule qui passionne les chercheurs de divers horizons et spécialités. Après 20 années de recherche qui ont abouti au dépôt de 2 brevets, il est enfin possible de l’obtenir sous une forme stable et dans sa matrice naturelle : le brocoli. 2 gélules de L’Antioxydant apportent autant de Sulforaphane que 190 g de brocoli cru.
Les meilleurs OPC de raisins Made in France
Notre extrait de raisin est standardisé en polyphénols, dont 50% d’OPC (Oligomères ProCyanidoliques). Il contient surtout 20% de formes dites “monomères”, dont la biodisponibilité est supérieure à tout autre polyphénol, y compris les EGCg (Epicatéchines) de thé vert. Or les polyphénols ont beaucoup de vertus reconnues, dont la protection des télomères, eux-même garants de l’intégrité de notre ADN.
Une coenzyme Q10 à la biodisponibilité augmentée
La coenzyme Q10 est une molécule endogène impliquée dans les processus de production d'énergie cellulaire. Or, même si aucune allégation santé n'est officiellement autorisée, il est démontré que sa production diminue avec l'âge (la preuve ici). Aussi, la réglementation autorise son utilisation en Nutra, sans limitation de dose quotidienne en France. Notre forme brevetée apporte l’équivalent de 360mg de CoQ10 standard en 2 gélules.
Les bienfaits des antioxydants sont nombreux, tant à l’échelle cellulaire, qu’à une échelle plus visible :
Quand prendre L'Antioxydant ?
Combien de gélules ?
Durée d'une prise
Comment prendre ses gélules ?
Durée d'un flacon
Précautions d'emploi
Conditions de conservation
Ingrédients | Pour 1 gélule | Pour 2 gélules |
Extrait de pépins de raisin (GRAP’INSIDE®) (Vitis vinifera L.) | 180 mg | 360 mg |
• dont OPC | 90 mg | 180 mg |
• dont épicatechines / Monomères | 36 mg | 72 mg |
Sulfodyne® (Brassica oleracea italica) | 60 mg | 120 mg |
• dont extrait de brocoli | 9 mg | 18 mg |
• dont sulforaphane stabilisé | 2,5 mg | 5 mg |
CavaQ10 | 50 mg | 100 mg |
• dont Q10 | 10 mg | 20 mg |
Vitamine C | 6 mg | 12 mg |
Ingrédients : Extrait de pépins de raisin (Vitis vinifera L., Vitaceae), gélule d’origine végétale: hydroxypropylméthylcellulose, Sulfodyne® [Maltodextrine, Extrait de graines de brocoli (Brassica oleracea var. italica), gomme d'acacia], CAVAQ10® (gammacyclodex- trine, Coenzyme Q10), acide ascorbique. CAVAQ10® est une marque de WACKER.
Antioxydants et Vieillissement
On entend parler des bienfaits des antioxydants tous les jours. Mais qui sont-ils au juste ? Et pourquoi sont-ils si essentiels à notre santé ?
Les antioxydants sont avant tout des agents de prévention. Ils protègent l’organisme à l’échelle cellulaire, essentiellement contre les dégâts des radicaux libres, libérés par les cellules lors du fonctionnement normal de notre corps.
Jusqu’ici, tout va bien : un organisme sain et fonctionnel émet des entités potentiellement nocives, mais celles-ci sont détectées et neutralisées par nos cellules. Ces dernières sont donc notre première ligne de défense et assurent la protection et la réparation de nos systèmes biologiques [1]. Ces mécanismes de défense sont extrêmement complexes et impliquent beaucoup de molécules, qu’on qualifie d’Antioxydantes, car elles luttent contre le pouvoir oxydant (destructeur) des radicaux libres. Elles sont notamment impliquées dans une multitude de cycles “Redox” (une cascade de réactions d’oxydo-réductions). Notre organisme produit directement beaucoup d’antioxydants naturels, comme la superoxyde dismutase (SOD), la glutathione peroxydase, le coenzyme Q10...
Malheureusement, avec le temps et à cause des facteurs externes comme la pollution, les UV, l’alimentation… ces radicaux libres nocifs peuvent devenir trop nombreux et débordent les mécanismes antioxydants des cellules. Surtout qu’en parallèle, notre production de ces molécules antioxydantes décline, les cycles Redox sont perturbés, nos défenses deviennent moins efficaces… C’est précisément ce qu’on appelle le « vieillissement ». [2,3].
Neuf marques ont ainsi été proposées comme empreintes du vieillissement. Ces dernières peuvent toucher directement notre matériel génétique, c’est-à-dire notre ADN (instabilité génomique, réduction des sites à la base de nos chromosomes - les fameux télomères - altérations épigénétiques), notre équilibre protéique (propriétés fonctionnelles des protéines), nos mécanismes de sensibilité aux nutriments, nos fonctions mitochondriales, nos processus de renouvellement cellulaire et de régénération cellulaire, et enfin, nos mécanismes de communication cellulaire [4].
Focus sur une marque de vieillissement : la peau
Au cours du vieillissement physiologique, l’apparence et la structure de notre peau sont particulièrement affectées (notamment moins de collagène : apparition de rides et perte d’élasticité). Sous la surface, au niveau cellulaire, notre peau devient aussi plus sensible aux « agressions » environnementales (UV, toxines, pollution…), et moins efficace pour lutter contre le stress oxydant (émission des fameux radicaux libres). Les marques visibles du vieillissement sont alors susceptibles de devenir plus apparentes et plus nombreuses, voire induire des changements de composition, de structure, d’élasticité et de pigmentation [5,6]. C’est ce qui explique pourquoi la peau est un haut-lieu de l’activité antioxydante du corps humain.
Si l’organisme n’assure plus suffisamment la gestion des radicaux libres pour protéger les cellules, et afin de limiter les phénomènes de vieillissement, il convient donc de le soutenir via un apport externe d’antioxydants alimentaires ou Nutraceutiques. Et c’est donc particulièrement important pour la peau [7,8].
Mais quels Antioxydants Nutraceutiques choisir ?
Jusqu’à aujourd’hui l’approche des produits “antioxydants” a toujours été la même : apporter par voie orale une molécule qui va “capter” des radicaux libres. L’idée étant qu’avec le vieillissement, on produit moins de capteurs de radicaux libres, on peut donc en fournir directement. Vous imaginez donc la course à l'échalote, avec pour but de trouver l’antioxydant le plus puissant, celui qui va capter le maximum de radicaux libres. Le tout mesuré bien-sûr par un test en laboratoire dans des conditions totalement artificielles (test ORAC et indice ORAC). Si cette stratégie semble intuitivement intéressante, elle présente deux défauts majeurs :
Et on ne mentionne même pas tous ces antioxydants soi-disant surpuissants et dont la stabilité ou la biodisponibilité laisse à désirer (avez-vous déjà entendu parlé du Glutathion?). On vous vend un antioxydant avec un indice ORAC qui crève le plafond ? Posez-vous une question simple : OK il marche très bien en labo, sur une sonde, mais ce qu’il se passe dans le corps c’est une toute autre histoire, bien plus complexe : alors où sont les données cliniques ?
En ciblant des causes du vieillissement plutôt que des conséquences, une nouvelle approche est possible. Cette approche permet au corps de maintenir ses propres systèmes de lutte contre les radicaux libres, et l’équilibre de ses mécanismes antioxydants. Cette ambition nécessite des molécules qui agissent à l’échelle génomique, comme les polyphénols de raisin (Vitis Vinifera) protégeant les télomères et l’expression génétique (épigénétique).
Et afin de concevoir un antioxydant réellement efficace en gélules, il est aussi nécessaire de maîtriser ces paramètres :
Alors comment avons-nous fait ?
Le Sulforaphane - nouveau chouchou de la communauté scientifique
Si le brocoli n’est pas le plus connu des aliments antioxydants, les chercheurs étudient depuis de très nombreuses années les effets d’une petite molécule fascinante qui en est extraite : le Sulforaphane. L’intérêt de la communauté scientifique pour les effets bénéfiques du sulforaphane s’est particulièrement intensifié depuis les 10 dernières années. Son effet protecteur contre les processus du vieillissement est à ce jour plutôt bien établi grâce à son rôle antioxydant puissant aux propriétés nutrigénomiques, à la racine du problème donc (action sur l’expression des gènes) [9]. Le Sulforaphane est capable - d’activer les enzymes de phase II responsables de la réponse antioxydante et du métabolisme des xénobiotiques (composés toxiques tels que les espèces réactives de l’oxygène) : « voie de détoxification » et - d’inhiber les enzymes de phase I, enzymes responsables de l’activation des xénobiotiques. Il est aussi capable d’inhiber les processus impliqués dans la réponse pro-inflammatoire (voie NF-κB). Enfin, le Sulforaphane serait capable d’inhiber des processus épigénétiques par lesquels l’expression de nos gènes est modifiée et de protéger notre système protéique en protégeant ses activités et ses fonctions [10,11]. Une des dernières publications sur l’ensemble des travaux scientifiques réalisés sur le Sulforaphane rapporte que ses effets bénéfiques seraient observables dès 1,8 mg de Sulforaphane pur par jour [12].
L’efficacité clinique ainsi que le mécanisme d’action sont donc validés. Qu’en est-il de la biodisponibilité ?
Lors de la consommation d’aliments riches en précurseurs du Sulforaphane (les crucifères, choux, brocolis) et après une action enzymatique de la myrosinase, le précurseur appelé glucoraphanine est hydrolysé en Sulforaphane à partir du microbiote de l’intestin grêle.
Le Sulforaphane peut ensuite passer la barrière intestinale grâce à son faible poids moléculaire et sa lipophilie élevée, puis traverser les membranes cellulaires, lui permettant d’atteindre ses cibles et agir [11]. Or, lors de cette première étape, la transformation de la glucoraphanine en Sulforaphane est très peu efficace, et dépend beaucoup de personne en personne. Autrement dit, les extraits standards de brocoli sont une source de Sulforaphane très peu biodisponible et peu efficace. Pour résoudre ce problème, certains fabricants se sont aventurés à proposer du Sulforaphane purifié, mais ils se sont trouvés confrontés à un problème de taille : l’instabilité très importante de cette molécule.
Aujourd’hui et après une durée de développement nécessaire de plus de 20 ans (!!!), l’utilisation directe de Sulforaphane est enfin possible et dans les conditions optimales garantissant sa biodisponibilité ET sa stabilité, à travers l’introduction de Sulfodyne® (issu du brocoli) dans notre Antioxydant en gélules. Cette innovation unique et Made In France a abouti au dépôt de 2 brevets. Donc pour la première fois un extrait de brocoli, standardisé en Sulforaphane coche l’ensemble des cases de l’efficacité nutraceutique :
Pour vous donner quelques repères de comparaison :
Des polyphénols extraits de pépins de raisin
Les extraits de raisin sont naturellement riches en polyphénols incluant les anthocyanes, les flavonols, les stilbènes (dont le resvératrol) et des acides phénoliques. Différents profils de polyphénols existent en fonction de la partie du raisin utilisée. Au sein des pépins se trouve le pourcentage le plus élevé de polyphénols actifs : flavonols et anthocyanines [13], conférant à ces extraits riches en polyphénols un potentiel antioxydant élevé [14]. Bien que les mécanismes d’action soient difficiles à élucider, les polyphénols de raisin pourraient avoir une influence positive sur la longueur des télomères et ceux présents dans les pépins pourraient protéger l’intégrité de l’ADN (luttant contre des lésions de l’ADN) en participant efficacement à l’élimination des radicaux libres [15,16]. La structure des polyphénols doit être considérée pour obtenir une efficacité optimale. En effet, 82% des monomères de flavonols seraient absorbés, contre seulement 1% pour les polymères, assurant une meilleure distribution aux tissus de l’organisme. L’épicatéchine (monomère de flavonol), dont la biodisponibilité est élevée, est notamment présente en quantité importante (≥ 20%) dans l’extrait sélectionné : GRAP’INSIDE. Vous comprenez donc pourquoi nous avons sélectionné cet extrait en particulier.
De la Coenzyme Q10 (Q10)
La CoQ10, également appelée ubiquinone ou coenzyme Q10, est un composé central impliqué dans le transport des électrons au niveau mitochondrial et donc dans la production d’énergie ainsi que dans l’activité des membranes [17]. Au cours du processus de vieillissement, la biosynthèse de CoQ10 par l’organisme diminue. L’apport supplémentaire en CoQ10 pourrait donc influencer les dommages oxydatifs sur les molécules centrales de nos cellules et de nos fonctions : lipides, protéines et ADN [18,19]. Les doses « idéales » de CoQ10 applicables pour une cure « anti-âge » seraient difficiles à définir mais des travaux rapportent que dès 100 mg par jour, les effets seraient notables [18,20]. Par ailleurs, ces effets bénéfiques sont souvent bloqués par les difficultés du CoQ10 à atteindre la circulation sanguine lors d’une prise par voie orale. C’est pourquoi, une complexation avec des cyclodextrines permet au CoQ10 de devenir soluble et donc biodisponible [21,22]. Grâce au complexe CavaQ10, processus d’encapsulation du CoQ10 (ubiquinone, forme stable) dans des cyclodextrines, la biodisponibilité devient 18 fois supérieure à celle du composé seul. Considérant que le CavaQ10 contient 20% de CoQ10 et que sa biodisponibilité est 18 fois plus élevée, notre Antioxydant apporte par conséquent l’équivalent de 360 mg de CoQ10 pour 2 gélules. Là aussi :
Publications
Résultat d'analyse :
Lieu d’extraction : France, Rennes - Lieu de culture : Italie
PME bretonne, Triballat est le pionnier français des protéines végétales. Elle a investi 20 ans dans la recherche sur le Sulforaphane.
Lieu d’extraction : France, Bordeaux - Lieu de culture : France, Champagne Activ’Inside est le spécialiste français des actifs végétaux, notamment les polyphénols.
Lieu de fermentation : Japon - Microencapsulation : USA, Mineapolis Wacker est le spécialiste de la vectorisation d'actifs par les cyclodextrines fermentées.
B-Pharma - France, Chambéry
B-Pharma est un façonnier reconnu dans les formes sèches.
Lieu d’extraction : France, Rennes - Lieu de culture : Italie
PME bretonne, Triballat est le pionnier français des protéines végétales. Elle a investi 20 ans dans la recherche sur le Sulforaphane.
Lieu d’extraction : France, Bordeaux - Lieu de culture : France, Champagne
Activ’Inside est le spécialiste français des actifs végétaux, notamment les polyphénols.
Lieu de fermentation : Japon - Microencapsulation : USA, Mineapolis
Wacker est le spécialiste de la vectorisation d'actifs par les cyclodextrines fermentées.
B-Pharma - France, Chambéry
B-Pharma est un façonnier reconnu dans les formes sèches.
Le vieillissement cellulaire se joue au fin fond de nos cellules, et c’est un combat sur le long, voire le très long terme. Cependant, la peau est un haut-lieu de l’activité antioxydante du corps humain, et c’est là où les premiers “signes de vieillesse” apparaissent. L’Antioxydant peut ainsi être utilisé en prévention des périodes d’exposition importante au soleil. Il contribuera ainsi à protéger la peau contre une production excessive de radicaux-libres, et à préserver son aspect.
L’ubiquinol est une forme alternative de coenzyme Q10. Elle a un effet strictement identique à celui de l’ubiquinone, mais possède une meilleure biodisponibilité, c’est-à-dire qu’il faut en prendre moins pour avoir le même effet. Cette molécule est néanmoins très instable, difficile à formuler en poudre et très coûteuse. Et nous avons par ailleurs résolu le problème de biodisponibilité de l’ubiquinone en utilisant la forme CAVAQ10®, stable, et 18 fois plus biodisponible que la CoQ10 “standard”.
Les cycles Redox de protection de nos cellules sont complexes et impliquent beaucoup de molécules dont le glutathion. En apportant artificiellement une seule de ces molécules, on ne s’attaque pas aux causes du problème mais à ses conséquences, avec le risque d’un déséquilibre potentiel.
Notre approche consiste à agir directement en amont de ces cycles, à l’origine du problème, pour aider les cellules à maintenir naturellement l’efficacité de leurs mécanismes de défense parmi lesquels on compte les fameux cycles REDOX.
Oui, il convient aux personnes vegan (végétaliennes). L’antioxydant est composé d’extraits à 100% d’origine végétale et d’une Q10 ubiquinone issue de levure.
Les tests de stabilité entrepris sur l’extrait de brocoli stabilisé (Sufodyne®) ont montré que les conditions de stockage optimales étaient à des températures réfrigérées de 4 à 8°C. En gage de sécurité, l’Antioxydant est dosé à 120% des quantités ayant démontré une efficacité en études cliniques.
Excellente idée ! Par contre, il faudra manger 190 g de brocoli pour avoir autant de sulforaphane que dans 2 gélules de notre Antioxydant. Ce brocoli doit être aussi cru, car la cuisson altère fortement cette molécule précieuse.
À l’instar de la CoQ10 et des extraits de raisin, il existe une large gamme d’extraits de brocoli. Cependant, à notre connaissance aucun extrait de brocolis ne contient du Sulforaphane en dehors du Sulfodyne®.
Par ailleurs, vous trouverez d’autres extraits de brocolis standardisés en Sulforaphane Glucosinolate ou encore en Glucoraphanine. Il s’agit de précurseurs que votre corps doit convertir en plusieurs étapes pour obtenir le Sulforaphane. Il faut au mieux 25 mg de ces précurseurs pour avoir seulement 1 mg de Sulforaphane, et encore, cela est très dépendant des individus, notamment de leur microbiote.
Cette odeur est tout à fait normale ! En fait, vous devriez même vous poser des questions s’il n’y a pas d’odeur. En effet, le sulforaphane contient un atome de soufre, et notamment une fonction thioisocyanate. Cette fonction est à la base de son action, mais explique aussi sa sensibilité et l’odeur caractéristique. Comme souvent il suffit de très peu de cette molécule pour générer une odeur importante. C’est un excellent rappel qu’il faut conserver le flacon au frigo pour préserver au mieux le sulforaphane.
Au cours du vieillissement, l’organisme, et notamment la peau, se défend moins bien contre les agressions environnementales (UV, pollution, stress, alimentation…). En cause : des mécanismes de défense cellulaire moins efficaces face aux radicaux libres.
En se basant sur les 9 causes identifiées du vieillissement et avec des actifs biodisponibles à action ciblée, il devient possible de dépasser l'approche des superdoses de vitamines et d'agir efficacement.
60 gélules • 2 gélules par jour