Lactobacillus Gasseri

• Aide à favoriser l'amincissement.
• Aide à favoriser les programmes d'amincissement.
• Contribue au contrôle du poids corporel.
• Aide à brûler les graisses.

Les liens entre obésité et microbiote sont de plus en plus établis.

Les personnes souffrant d’obésité ont en moyenne une composition de leur microbiote différente de celle des personnes de poids normal. Certaines espèces de bactéries influeraient sur notre métabolisme en nous faisant absorber plus ou moins de calories. D’autres espèces auraient un effet sur notre cerveau et joueraient un rôle dans notre appétit et notre satiété, modulant à la hausse ou à la baisse les calories ingérées. Parmi elles, l’espèce Lactobacillus gasseri est d’un intérêt particulier sur ce sujet et bénéficie déjà de plusieurs études cliniques prometteuses.

La riboflavine contribue au maintien de muqueuses normales.

Un microbiote désigne l’ensemble des micro-organismes vivant dans un écosystème donné.

Nous possédons différents microbiotes dans et sur notre corps : sur la peau, dans le système digestif, le vagin, la muqueuse buccale, la salive ou la muqueuse nasale. Le microbiome est l’ensemble de ces différents microbiotes au sein d’un individu. Ils contiennent des bactéries, mais aussi d’autres micro-organismes comme des archées, des microchampignons (le mycobiote [1]) et même des virus (le virome [2][3]).

Un microbiote est spécifique et unique à chaque individu, résultant de nombreux facteurs au cours de la vie tels que l’allaitement, le régime alimentaire et la prise de certains médicaments.

Au sein du système digestif, le milieu acide de l’estomac empêche le développement des bactéries, et l’intestin grêle reste assez pauvre, sauf à l’approche du côlon. C’est donc ce dernier qui contient la majorité des micro-organismes de tout le système digestif, dont les bactéries représentent l’immense majorité.

Les principales familles de bactéries sont les bifidobactéries, qui dominent les premières années de la vie, les firmicutes, les actinobactéries et les protéobactéries.

Dès la naissance, de nombreux paramètres vont influer sur cette composition [4] (cf figure 1) : naissance par voie basse ou par césarienne, allaitement maternel ou lait artificiel, diversification alimentaire, etc. Chaque individu atteint ensuite un point d’équilibre à l’âge adulte, et son microbiote va rester plus ou moins stable durant la majorité de sa vie, avec une composition unique comme une empreinte digitale, même si l’on retrouve les mêmes espèces de bases entre individus. Au cours de la vie, l’alimentation va être le principal facteur influant sur le nombre et la diversité des bactéries du microbiote intestinal.

Figure 1 : évolution du microbiote intestinal humain au cours de la vie et perturbations. [4]

L’activité du microbiote est fondamentale pour notre santé. L’effet le plus évident est celui sur la santé digestive. Une cure de probiotiques peut par exemple atténuer les effets secondaires d’une prise d’antibiotiques, notamment la diarrhée qui est l’un des plus courants [5]. Ils pourraient aussi réduire certains symptômes du syndrome de l'intestin irritable (SII), surtout pour les personnes prenant un probiotique contenant plusieurs souches pendant au moins 8 semaines [6].

L’obésité est aussi liée à la santé du microbiote, les personnes souffrant d’obésité ayant en moyenne une composition de leur microbiote différente de celle des personnes de poids normal [7]. Certaines espèces de bactéries influeraient sur notre métabolisme en nous faisant absorber plus ou moins de calories [8]. D’autres espèces auraient un effet sur notre cerveau [9] et joueraient un rôle dans notre appétit et notre satiété, nous faisant plus ou moins manger [10]. Les personnes souffrant du syndrome métabolique pourraient aussi bénéficier  des probiotiques et des symbiotiques, plusieurs études ayant notamment montré une baisse du taux de cholestérol total avec une supplémentation [11].

Enfin, le microbiote a une influence importante sur notre système immunitaire, de nombreux travaux ayant montré une réduction des risques d’infection respiratoire avec une prise de probiotiques [12] [13].

Il arrive fréquemment que notre microbiote soit déséquilibré, avec des changements dans sa composition et son activité métabolique : c’est ce qu’on nomme la dysbiose. Une alimentation déséquilibrée, riche notamment en sucre et en glucides raffinés, et la prise de certains médicaments, comme des antibiotiques, sont les sources principales de dysbiose.

Une dysbiose peut favoriser de nombreux problèmes de santé, allant de simples symptômes comme la fatigue, à des problèmes digestifs tels que le syndrome du côlon irritable, la maladie cœliaque (intolérance au gluten), des allergies ou pourrait même participer à favoriser l’inflammation chronique, avec tous les effets néfastes sur la santé que cette dernière peut entraîner.

Selon la définition qu’en donne l’OMS, les probiotiques sont des micro-organismes vivants qui, s’ils sont administrés dans une quantité adéquate, peuvent apporter des effets positifs sur la santé de l’hôte [14] [15] [16] [17] [18].

Pour faire simple, il s’agit donc des bactéries, dont on trouve déjà les souches dans le microbiote intestinal, mais que l’on va aussi retrouver dans les aliments fermentés et dans des compléments spécifiques.

Le produit alimentaire riche en probiotiques le plus connu est le yaourt, du lait fermenté à l’aide de 2 espèces précises de bactéries, Lactobacillus delbrueckii subsp. bulgaricus et Streptococcus thermophilus. Le kimchi, la choucroute et le kéfir sont aussi des aliments contenant des probiotiques. Les probiotiques les plus étudiés et que vous trouverez le plus couramment appartiennent à deux genres : Bifidobacterium spp. et Lactobacillus spp.

Parmi ces très nombreuses bactéries, une espèce intéresse particulièrement les chercheurs depuis plusieurs années pour ses effets sur la gestion du poids : Lactobacillus gasseri.

Comme résumé dans une revue systématique, les études ayant utilisé du Lactobacillus gasseri ont observé une diminution de l’Indice de Masse Corporelle, du tour de taille et des graisses viscérales. Les graisses viscérales sont associées à une hausse du risque de résistance à l’insuline et autres troubles métaboliques. Une supplémentation en Lactobacillus gasseri BRN17 a par exemple empêché l’augmentation du tissu adipeux chez des rats nourris avec une alimentation très riche en glucides. Une autre souche, le Lactobacillus gasseri SBT2055 a également favorisé la perte de poids et une perte de la masse grasse. Il semble que Lactobacillus gasseri empêche l’augmentation du nombre d’adipocytes, certainement grâce à la suppression de l’expression d’un gène lipogène. [19]

Si on se penche dans le détail sur les études cliniques, une étude coréenne randomisée en double aveugle avec placebo a testé la prise de Lactobacillus gasseri BNR17, une variété issue du lait maternel, sur des adultes en surpoids ou obèses.  Ils ont pris pendant 12 semaines soit un placebo, soit 1 milliard d’UFC (faible dose), soit 10 milliards d’UFC (haute dose). Le tissu adipeux viscéral avait sensiblement diminué dans le groupe haute dose comparé au placebo. Le tour de taille avait été réduit dans les 2 groupes prenant du L. gasseri. [20]

Dans une autre étude, des chercheurs japonais ont cette fois-ci utilisé la variété Lactobacillus gasseri SBT2055 incorporée dans du lait fermenté chez des adultes en bonne santé mais ayant une importante masse grasse viscérale. Les résultats montrent que même une faible quantité de bactéries (100 millions de CFU par jour) a la capacité de réduire les graisses viscérales. Il est intéressant de noter que ces effets s’atténuent quelques semaines après l’arrêt de la supplémentation, indiquant la nécessité d’une prise de plus long terme pour préserver les bénéfices. [21]

Une étude sur modèle animal nous donne des mécanismes d’action possibles. Des souris ont été nourries avec différents modèles alimentaires (normal, riche en sucre et riche en sucre + une supplémentation en Lactobacillus gasseri BNR17 à 1 milliard ou 100 millions de  CFU / jour) pendant 10 semaines. Les 2 groupes prenant du L. gasseri ont eu un taux de leptine plasmatique inférieur, ce qui suggère que la réduction de la masse grasse et du poids est associée à une diminution de la leptine dans le sérum. Dans cette étude, la prise de L. gasseri a aussi significativement augmenté l’expression du gène GLUT4 dans le tissu adipeux. Ce gène permet une plus grande sensibilité à l’insuline et donc de diminuer les risques de résistance à l’insuline. [22]

Mais les bienfaits pour la santé de Lactobacillus gasseri ne se limitent pas à la perte de poids ! Des données précliniques semblent indiquer des effets positifs sur l’immunité, contre les infections vaginales, dans le contrôle des ulcères et contre l’infection par la bactérie Helicobacter pylori (sphère stomacale), sur le syndrome de l’intestin irritable et dans l’amélioration des diarrhées. [23]

Pour vous faire profiter de tous ces bienfaits, notre formule réunit 4 éléments :

• Un dosage cliniquement validé : avec 12 milliards d’UFC par prise, vous aurez la juste dose pour laquelle des bienfaits sur le poids et la masse grasse ont été étudiés. Loin des produits trop faiblement dosés ou ceux faisant la course aux mégadoses inutiles !
• Des gélules gastro-résistantes : pour garantir l'action de la formule, nos gélules sont enrobées d'une enveloppe gastro-résistante pour éviter qu'elles ne se dissolvent dans l'estomac. Elles vont ainsi atteindre à coup sûr leur lieu d’action : le microbiote intestinal présent dans le côlon.
• De la noix de cola en synergie : la noix de cola est reconnue pour son action minceur globale. Elle aide à favoriser l'amincissement, à brûler les graisses et contribue à contrôler le poids. Voir ici les bienfaits de la noix de cola.
• De la vitamine B2 pour la santé digestive : la riboflavine contribue au maintien de muqueuses normales.