

De nombreux compléments pour enfants sont proposés sous forme de gummies, pour faciliter l’acceptation par le côté ludique et par le goût. Sauf que cette galénique entraîne trois problèmes majeurs :
Nous avons fait le choix d’un format liquide avec un dosage par pipette, permettant ainsi une formulation minimaliste ne contenant que l’essentiel, tout en permettant une prise facile sans comprimé à avaler. Son goût neutre permet de le mélanger facilement à tous les aliments : yaourt, compote, etc.
Sous forme de D3 (cholécalciférol), la vitamine D est largement plus efficace que la forme D2 (ergocalciférol). Le Lichen Boréal nous permet de vous proposer une vitamine 100% végétale. Indispensable pour la croissance osseuse et le bon fonctionnement du système immunitaire, le dosage de 100 UI par pipette permet d’adapter notre flacon à tous les âges.
Le DHA est le principal acide gras présent dans le cerveau. Notre DHA provient d’une souche de microalgues d’origine européenne, avec un processus d’extraction sans solvant, permettant ainsi de proposer une source 100% durable et d’éviter la présence d’allergènes, qui pourrait arriver avec des oméga-3 issus de poissons.
Les probiotiques contribuent à l’équilibre de la flore intestinale. Nous avons donc choisi une souche spécifique, Lactobacillus rhamnosus SP1 , qui a été étudiée cliniquement.
L'acide docosahexaénoïque (DHA) fait partie de la famille des oméga-3, et est naturellement fabriqué par le corps à partir d’ALA (acide alpha-linolénique), mais ce taux de conversion étant insuffisant, il est considéré comme essentiel au même titre que l’ALA.
Les probiotiques aident à maintenir l’équilibre de la flore intestinale.
* Pipette fournie dans l’emballage
Valeur nutritionnelle | 1 dose | AR** |
DHA | 50mg | - |
Lactobacillus rhamnosus SP 1 | 4.10⁸ UFC*** | - |
Vitamine D3 | 2,5μg | 50% |
Ingrédients : Huile de coco (concentrée en triglycérides à chaîne moyenne) ; DHA ORIGINS® 550-Y (huile extraite de schizochytrium sp., huile de tournesol, antioxydant : extrait riche en tocophérols) ; Lactobacillus rhamnosus SP 1 (DSM 21690) ; Agent de charge : maltodextrine ; Vitamine D3 (cholécalciférol) d'origine végétale.
** Apports de référence. ***Unité Formant Colonie à la production.
Dès les premières heures de la vie, la nutrition va jouer un rôle central dans le bon développement des enfants. Les besoins énergétiques pour soutenir leur croissance sont énormes, et des apports suffisants en calories, protéines, glucides, lipides et micronutriments sont essentiels pour assurer le bon développement physique et cognitif.
Tous ces nutriments sont apportés d’abord par le lait maternel, puis par les aliments après le sevrage. Un enfant ayant une alimentation diversifiée aura en théorie tous les nutriments nécessaires à sa bonne croissance.
Dès le début de la vie, une naissance par voie basse ou par césarienne va avoir des conséquences pour de nombreuses années. En empêchant notamment le bébé d’être exposé au microbiote de sa mère, une naissance par césarienne va perturber la constitution du premier microbiote du bébé. [1]
Certaines situations peuvent aussi exclure des aliments, comme la “néophobie alimentaire” à partir de l’âge de 2 ans en moyenne. Il s’agit de la réticence voire du rejet à manger de nouveaux aliments, qui peut durer quelques années.
L’étude ESTEBAN avait montré qu’en France, seulement trois enfants sur dix atteignent un seuil adéquat de vitamine D. La prévalence de la carence en vitamine D concernerait près de 4% des enfants de 6 à 17 ans, un chiffre qui monte à 13% chez les adolescents (15-17 ans). [2]
Raison pour laquelle la supplémentation en vitamine D des enfants est désormais largement recommandée par les professionnels de santé. De nombreux experts français en pédiatrie et en nutrition, ainsi que plusieurs sociétés savantes françaises, dont la Société Française de Pédiatrie, ont ainsi rédigé un guide pratique sur les apports en vitamine D et en calcium, en se basant sur le consensus scientifique. [3] Ils recommandent notamment :
Mais pourquoi la vitamine D est-elle aussi fondamentale ? Sa découverte a été possible justement “grâce” aux conséquences de sa carence chez les enfants. En Angleterre à partir du 17e siècle, des milliers d’enfants commencent à souffrir de retard de croissance, de déformations articulaires et osseuses et de faiblesses musculaires. C’est le rachitisme ! [4] Avec les débuts de la révolution industrielle, une augmentation des occupations intérieures couplée aux nuages noirs en raison du développement du charbon - le fameux “smog” anglais -, vont entraîner une baisse importante de l’exposition au soleil. Il faudra attendre le début du 20e siècle pour que des médecins s’accordent sur le fait qu’une exposition au soleil, ainsi qu’une supplémentation en huile de foie de morue, pouvaient prévenir le rachitisme, et appelant “vitamine D” cette molécule favorisant le métabolisme du calcium.
La vitamine D est donc essentielle pour assurer une bonne densité minérale osseuse, y compris dans les dents, en favorisant l’absorption du calcium au niveau intestinal et sa fixation dans les os, et en régulant l’activité des ostéoblastes et des ostéoclastes, les cellules chargées de la restructuration permanente du tissu osseux. [5]
Mais l’action de la vitamine D ne se limite pas au squelette. Elle est centrale dans le bon fonctionnement du système immunitaire. [6]
Un lien avec les troubles métaboliques a aussi été établi. Les enfants et les adolescents souffrant d’obésité sont plus à risque de carence en vitamine D. [7]
Enfin, la vitamine D contribue au maintien d'une fonction musculaire normale. [9]
L’ANSES (l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail) fixe les apports satisfaisants pour les enfants de 3 à 17 ans à 600 UI par jour. [10]
En savoir plus sur les bienfaits de la vitamine D ici.
Les acides gras oméga-3 sont une autre brique essentielle au bon développement de l’enfant. Ils comprennent l’acide α-linolénique (ALA), l'acide eicosapentaénoïque (EPA) et l'acide docosahexaénoïque (DHA). Le cerveau est l'organe le plus riche en lipides de notre organisme, juste après le tissu adipeux. Le DHA est un élément structurel des neurones, de leurs axones et de leurs terminaisons nerveuses, ainsi que de la gaine de myéline entourant les axones et dendrites. Environ 30% de la structure lipidique du cerveau est constituée d'acides gras oméga-3, dont presque exclusivement du DHA.
C’est pourquoi on trouve du DHA naturellement dans le lait maternel, afin de garantir le bon développement du cerveau du bébé, qui est l’organe le plus gourmand en énergie chez ce dernier. L’alimentation de la mère allaitante va d’ailleurs directement impacter la composition du lait maternel, des apports alimentaires suffisants en DHA permettant une bonne teneur de ce dernier dans le lait. [11]
La consommation de 300 g de poissons gras par semaine, la source alimentaire principale d'oméga-3, par des enfants en bonne santé (8-9 ans) a permis une amélioration des fonctions cognitives en particulier l’attention et la flexibilité cognitive. [12]
Une méta-analyse incluant 1031 jeunes enfants a montré qu’une supplémentation en oméga-3 améliore significativement le développement cognitif, notamment les fonctions psychomotrices et le langage. [13] L’étude CHAMPION, portant sur des enfants âgés de 6 à 10 ans, a trouvé que l’ajout de 100 mg de DHA au sein d’alimentations enrichies en micronutriments améliore les performances cognitives, en particulier le raisonnement et la mémoire à court terme. [14] Une autre étude clinique portant sur des enfants de 7 à 9 ans a trouvé que ceux en difficulté sur la lecture pouvaient particulièrement bénéficier d’effets positifs de la prise de DHA sur leurs résultats (600 mg / jour pendant 16 semaines). [15]
Il est à noter qu'il faut un apport quotidien de 250mg de DHA minimum pour justifier de ses bienfaits sur le cerveau.
En savoir plus sur les bienfaits des oméga-3 ici.
Le microbiote intestinal est un facteur de plus en plus étudié pour la santé. Les milliards de bactéries qui le constituent jouent un rôle central notamment pour la santé digestive. L’alimentation est bien évidemment centrale pour le microbiote, en particulier grâce à un apport en fibres suffisant. On peut également apporter certaines de ces bactéries via des probiotiques qui contribuent à l’équilibre de la flore intestinale.
En savoir plus sur les bienfaits des probiotiques ici et les propriétés du Lactobacillus rhamnosus là.
Pour faire profiter à vos enfants de tous ces bienfaits, notre formule réunit 4 éléments :
Références
Notre promesse de transparence passe aussi par la publication des analyses qualité.
Nos analyses démontrent un niveau de propreté exemplaire :
Notre formule ayant été déposée pour les enfants de plus de 36 mois, nous ne pouvons pas vous la recommander pour vos enfants de moins de 3 ans. En effet, la réglementation est spécifique pour les enfants d’un âge inférieur à 3 ans.
Oui, la forme liquide permet de le mélanger à n’importe quelle préparation. Même s’il s’agit d’un support huileux, la quantité est suffisamment faible pour ne pas trop se sentir.
Le risque d’excès de vitamine D chez les enfants est un vrai sujet qui fait l’objet de mises en garde régulières de la part des autorités sanitaires. Ces alertes concernent avant tout les nourrissons (moins de 36 mois). Il faut donc bien évidemment toujours donner aux enfants la juste dose sans dépasser les apports recommandés par votre médecin et les agences de santé. Il est avant tout important de vérifier tous les produits que vous pouvez donner à votre enfant, pour éviter plusieurs sources de vitamine D qui pourraient s’accumuler, et de s’assurer de respecter les apports satisfaisants recommandés par l’ANSES (600 UI / jour les 3-10 ans). Demandez toujours conseil à votre médecin en cas de doute.
Notre formule pour les Enfants a été pensée dans une vraie logique de complémentation, en partant du principe que les enfants sont déjà très souvent supplémentés, notamment en vitamine D. Notre choix de mettre par exemple 100 UI de vitamine D par dose permet donc d’adapter la quantité précisément selon les besoins de chaque enfant et les autres compléments déjà pris éventuellement.
Il faut consommer le flacon dans le mois suivant sa première utilisation.
Il n’y a pas de règle générale, chaque actif sera un cas particulier. Notre Vitamine D ou nos Fibres sont par exemple parfaitement adaptées à toute la famille (+3 ans), alors que notre Booster, qui contient de la caféine, ne conviendra pas aux enfants.
Les apports en vitamine D sont à adapter selon l’exposition au soleil. Le DHA et la souche de probiotique peuvent être pris plus ou moins toute l’année. Ce sera donc le besoin en vitamine D qui dictera la durée d’utilisation.
Non, aucun actif présent dans notre formule ne perturbe le sommeil. Nous conseillons simplement de le prendre le matin en raison de la vitamine D, pour respecter au mieux le rythme biologique de cette dernière.
InPharma possède plus de 20 ans d’expertise dans le développement des compléments alimentaires avec un outil industriel à la pointe de la technologie.
SACCO est un laboratoire italien reconnu dans le développement des bactéries d'acide lactique et autres micro-organismes. L’Italie est un pays pionnier en matière d’études et de production des probiotiques.
Fermentalg est une entreprise française spécialisée dans le développement des oméga-3 à partir de micro-algues d’origine européenne, issues d’une filière 100% durable.
Protec Nutra est un spécialiste anglais des ingrédients d’origine végétale, notamment de la vitamine D3 extraite de lichen.