Solaire

Obtenir un bronzage naturel passe par la stimulation de la production de mélanine (mélanogenèse) par notre peau. Les UV induisent naturellement ce bronzage en activant la mélanogenèse, mais ils ne sont pas sans conséquences pour notre santé et pour notre peau. Aussi, la clé d’un bon complément alimentaire pour bronzer, c’est de permettre de bronzer mieux tout en s’exposant moins, et de lutter contre les méfaits pro-oxydants des UV. 

La formule Le Solaire a été conçue pour cela en combinant 2 ingrédients qui favorisent le bronzage en s’exposant moins et sans accélérer le vieillissement cutané. 

Mélaline®, une association de mélanine naturelle issue de laine de mouton noir et de cuivre, stimule la pigmentation naturelle de la peau et permet un bronzage naturel 4 fois plus rapide, mais aussi plus intense.

Les UV sont le premier facteur de vieillissement cellulaire accéléré (photovieillissement).

Si notre organisme possède son propre système de défense, on sait qu’un apport en antioxydants, notamment lors de périodes d'exposition comme l’été, peut soutenir ces défenses. Certaines sources d’antioxydants sont d’ailleurs documentées pour leur contribution à la protection contre les dommages des UV. C’est le cas de Nutroxsun®, extrait de pamplemousse et de romarin riche en polyphénols, bénéficiant de 4 études cliniques démontrant un net ralentissement du vieillissement  cellulaire de la peau lors d’une exposition.  

Attention : Le Solaire ne dispense pas d’utiliser une crème protectrice solaire avec un indice de protection adapté au type d’exposition (durée, intensité de l’ensoleillement, …).

La structure de la peau comprend 3 couches superposées : 

• L’épiderme, la couche la plus externe, 
• Le derme, 
• Et l’hypoderme, la couche la plus profonde.  

L’épiderme est constitué de 2 types de cellules, les kératinocytes et les mélanocytes. 

Les kératinocytes sont agencés en plusieurs couches de cellules qui évoluent naturellement depuis la partie basale (en profondeur) de l’épiderme jusqu’à sa surface, pour finir par s’éliminer sous l’effet de la desquamation naturelle sous forme de cellules mortes. Il s’agit du processus naturel du renouvellement de l’épiderme.

Les mélanocytes, eux, sont situés à la base de l’épiderme. Ils y synthétisent les différents pigments de la peau regroupés sous le terme générique de “mélanine” : c’est la mélanogenèse. Les mélanocytes produisent la mélanine dans des mélanosomes, sortes de petits sacs de mélanine. Et chaque mélanocyte communique avec plusieurs dizaines de kératinocytes grâce à des prolongements appelés dendrites. En entrant en contact avec les kératinocytes, ces dendrites permettent au mélanocyte de transférer ses mélanosomes (sacs de mélanine) aux kératinocytes. Puis, chargé de mélanine, le kératinocyte remonte naturellement à la surface de la peau sous l’effet du renouvellement de l’épiderme. La mélanine est ainsi acheminée jusqu’à la surface de l’épiderme, et donne à la peau sa carnation naturelle.

En résumé, la pigmentation naturelle de la peau dépend de 2 types de cellules : 

• les mélanocytes, qui produisent la mélanine,
• et les kératinocytes, qui reçoivent, stockent, et acheminent la mélanine en surface de la peau.

Et si la carnation de la peau ne dépend pas du nombre de mélanocytes, elle dépend en revanche de leur activité et des s de pigments de mélanine produits. Plus la peau est foncée, plus elle contient de mélanine. On classe les couleurs de peau en 6 carnations, aussi désignées sous le terme de phototypes (de I à VI). Schématiquement, les peaux de phototypes clairs (I, II) possèdent moins de mélanine que les phototypes foncés (V, VI).

Au-delà de son rôle “esthétique” de pigmentation de la peau, la mélanine possède un rôle important de protection. En effet, il est établi que la mélanine possède une certaine capacité de protection de la peau contre les méfaits des UV [3,4]. 

Chez l’Homme, les mélanocytes synthétisent 2 types chimiques de mélanine grâce à l’action d’une enzyme-clé, la tyrosine [5] : 

• l’eumélanine : un mélange de pigments de couleur brun/noir,
• la phéomélanine : un mélange de pigments de couleur jaune/rouge.

L’eumélanine se différencie de la phéomélanine par la présence de cystéine lors de la synthèse de la phéomélanine. 

On retrouve également de la mélanine dans les cheveux et les yeux.

Globalement, la couleur de la peau peut varier selon différents facteurs : la région du corps, le sexe, l’ethnie, des problématiques génétiques, l’âge, les réponses hormonales, le cycle pilaire, le climat, mais aussi sous l’exposition aux ultraviolets (UV)… 

Le soleil émet naturellement 3 types de radiations qui atteignent notre environnement (c’est-à-dire traversent la couche d’ozone) en fonction de leur longueur d’onde. 

Par ordre croissant d’énergie portée par les rayons, on trouve : 

• Les rayonnements infrarouges (longueur d’onde de 700 nm et 2000 nm), responsables de la sensation de chaleur perçue sous l’effet du soleil.
• Les rayons visibles (longueur d’onde de 400 nm et 800 nm), à l’origine des couleurs que nous voyons.
• Et les rayons UV (longueur d’onde de 100 nm et 400 nm) : s’ils ne représentent que 5% des rayons émis par le soleil, ils sont les plus “chargés” en énergie, les plus actifs, et sont surtout décrits pour leurs effets néfastes sur le vieillissement cutané [6]. 

À leur tour, les  rayons UV se décomposent en 3 types définis par leur longueur d’onde : 

• Les UVA (320 à 400 nm),
• Les UVB (280 à 320 nm),
• Et les UVC (100 à 280 nm). 

Absorbés par la couche d’ozone, les UVC n’atteignent pas la surface de la terre. Autrement dit, nous n’y sommes pas exposés. En revanche, nous sommes bien exposés aux UVA et UVB. Si les UVB s’arrêtent au niveau de l’épiderme et sont à l’origine des coups de soleil, les UVA atteignent la peau plus en profondeur, jusqu’au derme. Dans les 2 cas, ces rayons ont des effets physiologiques avérés sur la peau. Certains peuvent être intéressants comme la synthèse de vitamine D mais d’autres peuvent aussi être délétères.

Les effets des UV sur la peau sont bien connus, et il est établi qu’ils provoquent une double réponse : 

• la réponse immédiate : essentiellement induite par les UVA, cette réponse ne perdure que jusqu’au lendemain et, contrairement à ce que l’on peut penser, n’induit pas une augmentation de la mélanogénèse (synthèse de nouvelle mélanine). Dans cette réaction, la légère coloration de la peau résulte de l’oxydation de la mélanine existante dans les couches de kératinocytes. La pigmentation devient visible à l'arrêt de l'exposition mais n’est que provisoire. Elle se traduit par une bonne mine après une journée dehors mais qui ne perdure pas les jours suivants.
• la réponse adaptative (tardive) : induite par les UVB, elle correspond à une augmentation de la mélanogénèse c’est-à-dire une augmentation de la synthèse de nouvelle mélanine dans les mélanocytes, ensuite transmise aux kératinocytes qui la stockent. Ce phénomène induit une pigmentation plus importante et plus “durable”. C’est le bronzage ! 

Si les UV sont essentiels à l’apparition du bronzage, celui-ci dépend également de la réponse de la peau aux UV, et plus précisément de son phototype. Le phototype caractérise la facilité de bronzage ainsi que la sensibilité de la peau au soleil et aux risques de brûlures associés à l’exposition. Et comme la mélanine possède une activité protectrice vis à vis des UV, on comprend que [7–9] : 

• meilleure est la photoprotection naturelle par la présence plus importante de mélanine,
• meilleure est la photoprotection adaptative lors de l'exposition solaire. 

En résumé, les peaux foncées caractérisées par un phototype élevé (V et VI) “brûlent” moins, tandis que les peaux claires (phototypes I et II) “brûlent” plus et bronzent moins.  De ce fait, les peaux claires ont un risque plus important de dérégulation des mécanismes cellulaires lorsqu’ils sont exposés aux UV du soleil [10–12]. 

Il est scientifiquement avéré que si le bronzage est bon pour le moral, les UV sont à l’origine de dommages cellulaires importants (stress oxydatif, génération d’espèces réactives à l’oxygène, action sur l’ADN,…), d’inflammation ou encore des redoutés coups de soleil (brûlures). Tous ces effets augmentent les risques pour la santé à long terme liés à une exposition importante [6,13]. 

De nos jours, que l’on recherche un teint hâlé ou un bronzage intense (et selon les types de peau), le sujet est avant tout une question d’esthétisme. 

Oui mais voilà, l’exposition aux UV n’est anodine ni pour votre peau, ni pour votre organisme, et accumuler les expositions engendre des risques sur le long terme :  vieillissement photo-induit, dégénérescence cellulaire, dysfonction cellulaire… 

C’est pourquoi, nul n’ignore l’importance d’une bonne protection solaire. Et bonne nouvelle, cette protection n’empêche pas le bronzage (pigmentation de la peau). La crème solaire permet juste une action contrôlée de l’exposition aux UV [8,12,14].

Les autorités de santé recommandent une exposition modérée au soleil et toujours protégée par l’application généreuse et répétée de crème solaire ainsi que le respect de bonnes pratiques comme éviter de s’exposer aux heures les plus chaudes, se protéger à l’aide de vêtements, lunettes et chapeau... Ces gestes santé permettent de limiter les effets délétères des UV sur votre organisme. Il est prouvé que la crème solaire reste le meilleur moyen (si elle est appliquée en quantité suffisante et répétée au cours de l’exposition) de protection lors d’une exposition grâce aux filtres solaires qu’elle contient [12,15]. 

Via ses filtres à l’origine de son indice de protection (d’une faible protection pour un SPF 15 à une protection plus forte pour le SPF 50), la crème solaire protège la peau des méfaits des UV de 2 manières distinctes :

• avec des filtres chimiques, la crème apporte un effet barrière : en réfléchissant les rayons UV à la surface de la peau, elle limite leur pénétration dans la peau.
• avec des filtres chimiques, la crème absorbe l’énergie des rayons UV à la place de la peau.

Si la crème solaire apporte un effet protecteur en surface de la peau, la Nutraceutique peut quant à elle protéger l’organisme des méfaits des UV de l’intérieur en préparant l’organisme, et plus précisément la peau, à “mieux accueillir les UV”, notamment grâce à un apport en polyphénols connus pour leur action antioxydante [16,17]. 

Un complément alimentaire pour bronzer oui, mais pas seulement ! Car la protection de la peau doit rester la première préoccupation, chez Nutri&Co, nous avons souhaité agir via une formule nutraceutique complémentaire à la crème solaire, indispensable lorsqu’il s’agit de profiter des bienfaits du soleil. 

Pour répondre à la double contrainte “bronzer mieux en s’exposant moins et protéger”, notre formule Le Solaire réunit 2 ingrédients brevetés, cliniquement étudiés et reconnus : 

Bronzer mieux : grâce à Mélaline®, un hydrolysat de kératine naturellement riche en mélanine et issu de laine de mouton noir du Puy-en-Velay associé à du cuivre. Ce complexe particulièrement bioassimilable par l’organisme a démontré des effets positifs sur la pigmentation et sa vitesse au sein de la peau après des expositions modérées et espacées aux UV dans 2 études cliniques. Une première étude met en évidence qu’après 30 jours de prise orale de 650mg/jour, :

• Le bronzage naturel est accéléré avec un bronzage 4 fois plus rapide.
• Le bronzage naturel est plus intense.
  

Une seconde étude confirme l'efficacité sur la pigmentation de la peau : 

• 93% des utilisateurs sont satisfaits de l’efficacité. 
• 81% des utilisateurs ont constaté leur peau plus bronzée et plus pigmentée.

Notre ingrédient Mélaline® respecte le bien-être animal. Les moutons ne sont pas tués pour leur laine et la tonte fait partie des conditions de bonne santé du mouton.

Se protéger mieux : grâce à Nutroxsun®, une association d’extraits de pomelo et de romarin. L’activité antioxydante de cet ingrédient a été cliniquement démontrée et se révèle efficace à court et à long terme pour la protection de la peau. Dès 24h, le stress oxydatif est réduit (-20%). Et après 2 mois d’utilisation, les bienfaits de son efficacité protectrice se voient sur les signes du photovieillissement : la profondeur des rides est réduite (-15%) et l’élasticité de la peau est améliorée (+9%) [18,19].