Confort Menstruel

Les bienfaits d’un complément alimentaire gattilier

Avec son usage traditionnel ancestral, cette plante est particulièrement intéressante pour son action reconnue sur la sphère féminine.

• Le gattilier aide à maintenir un bien-être physiologique avant et pendant le cycle menstruel en apaisant les crampes abdominales périodiques.
• Le gattilier contribue à récupérer un bien-être physique et mental, notamment à retrouver une bonne humeur naturelle.

Les bienfaits du PEA sur l’inconfort menstruel

Naturellement produit par l'organisme, le PEA (PalmitoylÉthanolAmide) est impliqué dans les voies de régulation des sensations de douleur perçue.  

• Levagen^TM est un ingrédient à base de PEA et dont les études cliniques ont démontré son efficacité et sa tolérance lors d’une prise orale en complément alimentaire.

Les bienfaits de la vitamine B12 et du magnésium 

• La vitamine B12 et le magnésium contribuent à des fonctions psychologiques normales et au bon fonctionnement du système nerveux.

Quand prendre Le Confort Menstruel ?

• Le Confort Menstruel doit être pris quand le besoin se fait sentir, en une seule prise, de 2 à 4 gélules (à évaluer selon l'efficacité).
  - En prévention : 2-3 gélules / jour à raison de 3 à 4 jours avant l'inconfort menstruel.
  - Pendant : 3-4 gélules / jour durant la période d'inconfort.

Combien de gélules ?

• Enfants : Déconseillé. 
• Adolescentes : À partir de 14 ans, 2 gélules par jour. 
• Adultes : 2 à 4 gélules par jour. Si après 45 min à 1h, 2 gélules ne sont pas suffisantes, il est possible de prendre à nouveau 1 à 2 gélules.
• Femmes enceintes et allaitantes : Déconseillé.

Durée d’une prise

• Le Confort Menstruel se prend selon le besoin, en prise ponctuelle ou sur plusieurs jours selon la durée de l’inconfort lié au SPM.

Comment prendre Confort Menstruel ?

• Les gélules sont à prendre avec un grand verre d'eau, tout simplement.
• Peut-on ouvrir ses gélules ? Oui.

La biologie de la femme

Les femmes connaissent des périodes importantes au cours de leur vie : la puberté, la maternité et la ménopause. Ces moments sont marqués par des changements hormonaux et des bouleversements physiologiques à l’origine de manifestations impactant leur vie et notamment leur confort en société.

En dehors de ces périodes, la vie de la femme est rythmée par ses cycles naturels, ses règles ou menstruations. En moyenne, une femme a des cycles menstruels durant 38 années de sa vie. Et si ils peuvent se passer sans encombre, ils peuvent aussi s’accompagner d’une variété de symptômes bien réels et parfois loin d’être anodins. À ce jour, les causes de l’inconfort menstruel ne sont pas nécessairement bien identifiées. Mais on constate que les diagnostics sont de plus en plus pratiqués (avec des tableaux cliniques de plus en plus précis), et que les autorités de santé y attachent de plus en plus d’importance, même du point de vue médical [1].  

Généralités sur le cycle menstruel

Le cycle menstruel est l'ensemble des phénomènes physiologiques préparant l’organisme de la femme à une éventuelle fécondation. Sa durée moyenne de 28 jours se révèle plus ou moins régulière selon chaque femme.

Le cycle féminin est régi par un ensemble d’hormones sécrétées au niveau du cerveau, mais aussi des ovaires qui en régissent ses 2 différentes phases :

1. La phase œstrogénique ou folliculaire : elle débute le 1er jour des règles et dure 14 jours. C’est aussi à la fin de cette phase que la fécondité est la plus élevée puisqu’elle couvre la croissance d'un ovocyte et l’ovulation. 
2. La phase progestéronique ou lutéale : durant également 14 jours, elle est la période post-ovulation. 

En fin de cycle, des variations hormonales influencent l’état physiologique de l’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’utérus, et déclenchent les règles. Fines et complexes, ces interactions hormonales régulent l’apparition des règles dès la puberté, mais aussi leur fréquence durant toute la période de fécondité de la vie d’une femme (“en âge de procréer”) et ce, jusqu’à la ménopause. 

De nombreux facteurs endogènes comme exogènes peuvent influencer les cycles, leur fréquence, les sensations associées... Parmi ces facteurs, si certains sont pathologiques, d’autres comme le stress, les émotions, des traitements médicamenteux ou encore le poids (un excès ou à l’inverse un poids trop faible) peuvent aussi véritablement influer. 

Enfin, toutes les femmes ne sont pas égales en matière de cycle et leur vécu est très personnel. Des gênes, voire des douleurs, peuvent survenir juste avant, pendant ou après leurs règles. Recourir à des solutions spécifiques douces ou médicamenteuses pour (re)trouver du confort peut alors s’avérer nécessaire.

Confort menstruel et dysménorrhées

Le confort (ou l’inconfort) menstruel est relatif à chaque femme. Globalement, il peut s’appréhender par l’identification de troubles plus ou moins nombreux ou prononcés pouvant survenir autour des cycles et littéralement nuire à la qualité de vie. 

Parmi ces troubles, les douleurs menstruelles occupent une part prépondérante. Aussi appelées dysménorrhées, elles font partie des algies (douleurs) pelviennes chroniques (APC) et sont caractérisées par des crampes. Ces douleurs du bas-ventre peuvent aussi s’accompagner de maux de tête ou céphalées, de problèmes de transit, voire même de vomissements, et s’étendre au dos. 

Les dysménorrhées sont qualifiées de primaires lorsqu’aucune pathologie n’y est associée, et de secondaires en présence de pathologie structurelle comme l’endométriose. Les dysménorrhées primaires affectent davantage les adolescentes et les jeunes femmes, tandis que les secondaires surviennent plus tardivement dans la vie des femmes. 

Le syndrome prémenstruel

Très connu chez les femmes, le syndrome prémenstruel est caractérisé par 2 types de manifestations :

• des désagréments psychiques : anxiété, irritabilité, baisse d’énergie, variations de l’humeur…,
• des désagréments physiques : douleurs et dysménorrhées.

Le SPM est donc un syndrôme psycho-physiologique induisant notamment un état inflammatoire avec la présence de douleurs [2].

Les phénomènes physiologiques du SPM peuvent apparaître entre 7 à 10 jours avant les règles et se terminent généralement quelques heures ou quelques jours après leur début. Après la période de menstruations, on observe généralement une disparition complète des symptômes. 

Aujourd’hui, l’origine de ces manifestations menstruelles reste encore floue, mais les variations hormonales du cycle féminin seraient certainement impliquées. 

La douleur dans le syndrome prémenstruel

Nous percevons la douleur physique grâce à des mécanismes électrophysiologiques et neurochimiques très fins de notre organisme. Dans le cas du SPM, on parle de douleur nociceptive. Ce type de douleur diffère de la douleur dite neuropathique (ou neurogène) liée à l'altération d’un nerf ou un problème du système nerveux. 

La nociception est un système neurophysiologique qui permet à notre organisme de détecter des lésions ou menaces potentielles pour son intégrité (brûlure, coupure, traumatisme...). La douleur mensturelle ressentie résulte de messages envoyés par les nerfs (les nocicepteurs) en réponse à des lésions de tissus blessés ou irrités. Plus techniquement, la douleur est perçue par excès de nociception, c’est-à-dire une stimulation excessive des nerfs localisés dans la peau ou encore les viscères. 

Dans le circuit de la douleur interviennent plusieurs étapes : 

• Une lésion tissulaire (peau, os, muscle…) ou une manifestation viscérale peut transmettre un influx au système nerveux qui, lui, est sain (sans lésion),
• Se met ensuite en place une réponse qui peut être inflammatoire et/ou mécanique avec des contractions. 

Selon la fréquence de la douleur, on distingue plusieurs types de douleur [3] :

• Les douleurs aigües et brèves, 
• Les douleurs chroniques, lorsqu’elles durent plus de 3 mois, 
• Ou encore les douleurs récurrentes : tous les mois par exemple comme peuvent l’être les dysménorrhées. Ces douleurs en deviennent alors chroniques

Le SPM étant caractérisé par sa cyclicité, on comprend donc qu’il peut significativement altérer la qualité de vie des femmes en cas de douleurs sévères.

Importance et prise en charge de l’inconfort menstruel

L’inconfort menstruel est donc caractérisé par une variété de manifestations physiques et psychologiques. Que l’on considère les algies pelviennes chroniques (dont les dysménorrhées) ou le SPM, tous apparaissent comme des troubles à forte prévalence dans la population française féminine, et même plus largement mondiale. On estime qu’environ 20 à 40% des femmes en âge de procréer sont touchées par le syndrome prémenstruel et 40% souffriraient de douleurs pelviennes chroniques lors de leurs règles [4,5]. 

Avec des causes mal connues, il peut être complexe de trouver des solutions adaptées pour soulager l’inconfort menstruel. Parmi les solutions proposées, on retrouve : 

• La pilule contraceptive : elle est prescrite surtout chez les jeunes femmes afin de réguler leurs cycles menstruels et modérer les douleurs associées. 
• Les analgésiques : de type anti-inflammatoires non-stéroïdiens, ils permettent de réduire les sensations douloureuses

À ces mesures médicamenteuses, il faut rappeler l’importance de l’hygiène de vie (alimentation, sommeil, activité physique…) qui peut significativement améliorer la qualité de vie.  

Pour les autorités de santé, les menstruations et leur environnement psycho-physiologique font partie des problématiques de santé publique. Et si l’on considère la forte prévalence et le fréquent recours aux solutions médicamenteuses, on comprend l’impact santé et le coût que peuvent représenter le SPM et les troubles menstruels [6].

Le PEA, molécule évidente au potentiel encore sous exploité

Le PalmitoylÉthanolAmide (PEA)

Le PEA fait partie des N-acyléthanolamines appartenant à la grande famille des cannabinoïdes. Les bienfaits du PalmitoylÉthanolAmide (PEA) sont nombreux.

Impliqués dans notre système nerveux, ces N-acyléthanolamines sont des médiateurs de types lipidiques (ils sont composés d’un acide gras et d’un éthanolamine) qui interviennent dans des mécanismes variés de protection de l’organisme. 

Une des propriétés remarquables du PEA est sa structure chimique très proche de celles des endocannabinoïdes impliqués dans notre système endocannabinoïde (et oui on en synthétise aussi !) auquel on doit, entre autres, le maintien de l’équilibre de l’organisme et la gestion de la douleur. Notre organisme induit naturellement la production de PEA selon son besoin, et plus particulièrement lorsque le circuit de la douleur se met en branle sous l’effet d’une lésion tissulaire (stimulation de la réponse inflammatoire ou des fibres nociceptives). 

Le PEA s’impose donc comme une molécule évidente dans le maintien de la santé cellulaire de l’organisme  [7,8]. 

Le PEA a été découvert en 1939 et isolé en 1957. Depuis, il n’a cessé de fasciner la communauté scientifique et ses applications cliniques sont déjà multiples. Voilà d’ailleurs plus d’un demi-siècle que l’on sait notamment qu’une prise orale de PEA permet d’amplifier sa signalisation et son action naturelles dans la gestion de la douleur. Dans le cadre de douleurs nociceptives, les doses de prise orale référencées s’étendent de 300 à 1 200 mg de PEA sur des durées de 3 semaines à 1 an. L’ensemble des données cliniques existantes prouve incontestablement le niveau de bénéfice, de tolérance et de sécurité de la prise orale de PEA en supplément [9–12]. 

Mais si à ce jour son socle scientifique est extrêmement solide, ses applications thérapeutiques sont encore peu exploitées, ce qui lui donne un potentiel thérapeutique encore immense. 

Et pour tirer le meilleur parti de ses bienfaits, il faut prendre en considération sa nature lipidique qui lui confère une faible solubilité et biodisponibilité. Ainsi, pour une prise de PEA efficace, il faut garantir : 

• soit un dosage suffisant : idéalement basé sur des essais cliniques qui ont validé l’efficacité de la dose, 
• soit une biodisponibilité optimisée : idéalement aussi vérifiée par des essais cliniques permettant de s’assurer qu’un dosage plus faible est bien efficace.

L’association intéressante : PEA et polydatine

La polydatine est un précurseur naturel du bien connu resvératrol ayant suscité l'engouement scientifique dans les années 90. La biodisponibilité supérieure de cet analogue du resvératrol en fait un actif-candidat idéal pour des études cliniques [13,14]. Dans la littérature, le potentiel thérapeutique de la polydatine est documenté dans différentes applications cliniques [15–17]. Et elle est notamment étudiée en association avec le PEA. A ce jour, 4 études cliniques ont évalué l’efficacité du duo PEA-polydatine sur la sphère féminine en lien avec la nociception et l’inconfort menstruel [10,18]. Ces études montrent d’une part, les bienfaits d’une faible dose de polydatine associée au PEA et la pertinence de cette association, mais aussi la sécurité et la tolérance de la prise de polydatine.

Le gattilier : l’actif référence du confort féminin

Le gattilier, de nom latin Vitex agnus-castus (et aussi appelé poivre sauvage, poivre des moines, agneau chaste, ou encore arbre au poivre), est un arbuste du bassin méditerranéen également présent en Europe et Asie centrale. En tant que plante médicinale, le gattilier possède une longue histoire [19] dans laquelle son usage traditionnel est surtout établi dans le soin de l’inconfort menstruel et référencé dans la monographie européenne [20].

Dans la littérature, s’ils restent encore peu nombreux, les bienfaits du gattilier et les résultats des études cliniques sont encourageants quant à son potentiel dans le cadre du SPM et suggèrent plutôt que le gattilier ne représente pas une solution à lui tout seul. Des études cliniques complémentaires permettraient de conclure véritablement sur son potentiel sur la sphère féminine [21–23]. 

Pourquoi acheter le complément alimentaire syndrome prémenstruel Nutri&Co ?

Une prise en charge complète du confort menstruel

Proposer un bon complément alimentaire pour les règles ciblant les désagréments féminins liés au cycle menstruel ne serait pas pertinent sans véritablement comprendre la physiologie de la femme lors de ces cycles. La multiplicité et la spécificité de ces manifestations nécessitent incontestablement un solide appui scientifique. Telles ont donc été nos convictions pour mettre au point Le Confort Menstruel.

Le Confort Menstruel est donc une formule pensée pour le confort des cycles et qui s’articule autour de 2 actifs : 

• Le PEA, issu de l'ingrédient Levagen^TM : pour son implication dans la nociception.
• Un  extrait de gattilier (Vitex agnus-castus) : pour son usage traditionnel dans le soin de l’inconfort menstruel.

Focus sur l’actif star : Levagen^TM avec son PEA

Nous avons sélectionné l’ingrédient Levagen^TM contenant du PEA et fort de ses 6 propres études cliniques à son actif. D’ailleurs, en ne cessant d’investir dans sa caractérisation et la valorisation clinique de son potentiel, son producteur Gencor a considérablement contribué à enrichir les données sur le PEA et ses applications cliniques. 

Dans notre formule, Levagen^TM apporte 830 mg de PEA en 4 gélules : une dose maximale adaptée et restant modulable en cas de besoin plus faible (prise de 2 à 4 gélules).

Du magnésium et de la B12 pour cibler le système nerveux

Parce que le SPM comprend des manifestations psychiques, nous avons complété le PEA et les extraits de plantes par du magnésium et de la vitamine B12. Notre magnésium est le magnésium breveté ATA-Mg®, un magnésium encapsulé pour garantir sa bonne assimilation au niveau cognitif, même à petites doses.

Le Confort Menstruel propose donc une action complète et n’oublie rien : confort des cycles ET du système nerveux.

Références