Tout savoir sur la rétention d'eau !

Rétention d'eau

Ce qu'il faut retenir :

  • L’eau représente environ 60 % du poids de notre corps. Elle est présente partout : dans nos cellules, nos organes, nos tissus, et elle joue un rôle fondamental dans presque toutes les fonctions de l’organisme.
  • La rétention d’eau, aussi appelée œdème, se produit lorsque l’excès de liquide s’accumule dans les tissus de notre corps.
  • 20 à 30 % des adultes rapportent des épisodes fréquents de rétention d’eau.

Vous avez déjà eu cette impression de gonfler comme un ballon sans raison apparente ? Si c’est le cas, il y a de grandes chances que votre corps fasse de la rétention d’eau. Car ce liquide, si essentiel à la vie, nous joue parfois des tours. En effet, l’eau n’est pas seulement ce que l’on boit pour se désaltérer, c’est l’élément vital qui représente environ 60 % du poids de notre corps. Elle est présente partout : dans nos cellules, nos organes, nos tissus, et elle joue un rôle fondamental dans presque toutes les fonctions de l’organisme. Alors, pourquoi parfois notre corps se met-il à retenir cette eau précieuse au point de nous faire sentir lourd(e) et gonflé(e) ?

Pourquoi l’eau est-elle si importante pour notre corps ?

L’eau, c’est la vie. Cette phrase prend tout son sens lorsque l’on se penche sur les multiples rôles qu’elle joue dans notre corps. En tant que principal composant de nos cellules, de notre sang et de nos organes, l’eau est cruciale pour une bonne santé et assure plusieurs fonctions vitales :

  • Le transport des nutriments : L’eau est indispensable pour transporter les nutriments essentiels dans tout le corps. Elle permet de faire circuler les vitamines, les minéraux et autres substances vitales à nos cellules via le sang.

  • La régulation de la température corporelle : Lorsqu’il fait chaud, c’est l’eau qui permet à notre corps de se refroidir, notamment par la transpiration. Si nous n’avions pas cette capacité d’évaporation, notre température corporelle grimperait en flèche.

  • L’élimination des déchets : L’eau est également cruciale pour l’élimination des toxines. Nos reins, véritables filtres naturels, utilisent l’eau pour évacuer les déchets via l’urine. Une mauvaise élimination des déchets peut entraîner des problèmes rénaux.

  • La lubrification des articulations : Les articulations, ces endroits où les os se rencontrent, ont besoin de rester bien lubrifiées pour éviter les douleurs et favoriser une bonne mobilité. Cette lubrification, c’est l’eau qui s’en charge.

  • La protection des organes vitaux : Enfin, l’eau joue un rôle protecteur, en particulier autour du cerveau, des yeux et de la moelle épinière. Elle forme une barrière de protection contre les chocs et assure un bon fonctionnement global.

Role de l'eau dans le corps

Sans eau, notre corps ne pourrait tout simplement pas fonctionner. Mais que se passe-t-il quand notre organisme, au lieu d’éliminer l’excédent d’eau, la retient ?

Comment le corps régule l'eau ?

Régulation de l'eau

Le corps humain a développé plusieurs mécanismes sophistiqués pour réguler l’eau et maintenir un équilibre hydrique optimal, un processus connu sous le nom d’homéostasie hydrique. Cette régulation est essentielle pour garantir que les cellules, les organes et les systèmes physiologiques fonctionnent correctement :

Le rôle des reins : 

Les reins sont les principaux organes impliqués dans la régulation de l’eau. Ils filtrent le sang, éliminent les déchets et contrôlent la quantité d’eau retenue ou éliminée par le corps :

      • Filtration du sang : Chaque jour, les reins filtrent environ 180 litres de sang, mais ne produisent que 1 à 2 litres d’urine. L’eau est d’abord absorbée dans les tubules rénaux, puis le rein décide de la quantité à réabsorber en fonction des besoins du corps.

      • Concentration de l’urine : En fonction de la concentration de l’urine, le corps peut soit éliminer plus d’eau si l’hydratation est excessive, soit la conserver en cas de déshydratation. Les reins ajustent la concentration en eau de l’urine grâce à l’hormone vasopressine (ou hormone antidiurétique, ADH), dont la sécrétion est stimulée par l’hypothalamus.

La soif :

Le centre de la soif dans le cerveau, situé dans l’hypothalamus, est un mécanisme crucial de régulation de l’eau. Ce centre est très sensible à deux facteurs :

    • La concentration de solutés dans le sang (osmolalité) : Lorsque le corps perd de l’eau (via la transpiration, la respiration ou l’urine), la concentration en sel et autres solutés dans le sang augmente. L’hypothalamus détecte cette augmentation et déclenche la sensation de soif.

    • La baisse du volume sanguin : Si le volume sanguin diminue, les reins libèrent une hormone appelée rénine, qui active un système hormonal, le système rénine-angiotensine-aldostérone, stimulant la soif et la rétention de sodium (et donc d’eau) par les reins.

Ces signaux nous incitent à boire davantage pour réhydrater l’organisme.

Le rôle des hormones :

Plusieurs hormones jouent un rôle essentiel dans la régulation de l’eau :

      • L’ADH (hormone antidiurétique ou vasopressine) : Produite par l’hypothalamus et libérée par la glande pituitaire, cette hormone stimule les reins à réabsorber plus d’eau, réduisant ainsi la quantité d’eau perdue par les urines. Lorsque vous êtes déshydraté(e), le taux d’ADH augmente, limitant la production d’urine. À l’inverse, en cas de surhydratation, l’ADH diminue et vous urinez plus souvent.

      • L’aldostérone : Cette hormone est produite par les glandes surrénales et intervient dans la réabsorption de sodium par les reins. Puisque l’eau suit le sodium, l’aldostérone permet également de réguler la quantité d’eau retenue par l’organisme. Plus il y a de sodium réabsorbé, plus le corps retient d’eau.

La régulation de la pression artérielle : 

La régulation de l’eau est étroitement liée à la régulation de la pression artérielle. Si le volume de liquide dans le corps est trop faible (hypovolémie), la pression artérielle chute. En réponse, le corps met en œuvre plusieurs mécanismes pour rétablir l’équilibre :

    • Système rénine-angiotensine-aldostérone : Comme mentionné plus tôt, ce système hormonal est activé lorsque les reins détectent une baisse du débit sanguin (faible pression artérielle). La rénine est libérée, déclenchant une cascade qui aboutit à la production d’angiotensine II, un puissant vasoconstricteur qui augmente la pression artérielle et stimule la libération d’aldostérone.

    • Système nerveux sympathique : En cas de baisse de la pression artérielle, le système nerveux sympathique stimule la constriction des vaisseaux sanguins, réduisant ainsi la perte d’eau par la transpiration et favorisant une meilleure rétention des liquides.

La transpiration et la régulation thermique : 

L’eau joue également un rôle crucial dans la régulation de la température corporelle. Lorsque la température du corps augmente (par exemple lors d’un effort physique ou d’une exposition à la chaleur), le corps utilise l’eau pour refroidir les tissus via la transpiration. En transpirant, l’eau s’évapore à la surface de la peau, ce qui dissipe la chaleur et refroidit le corps. Si le corps perd trop d’eau via la transpiration sans être compensé par une hydratation adéquate, cela peut entraîner une déshydratation et perturber l’équilibre des fluides.

L’importance des électrolytes : 

Les électrolytes (sodium, potassium, chlorure, magnésium) sont des minéraux qui aident à maintenir l’équilibre hydrique du corps. Le sodium est particulièrement important, car il régule la répartition des fluides entre l’intérieur des cellules et l’espace extracellulaire. Le potassium, quant à lui, est essentiel pour la régulation du volume des fluides à l’intérieur des cellules. Si les niveaux de ces électrolytes sont perturbés, cela peut entraîner une mauvaise gestion de l’eau, provoquant soit une rétention d’eau, soit une déshydratation.

La digestion et l’absorption d’eau :

Une grande partie de l’eau que nous consommons est absorbée dans le système digestif, principalement dans l’intestin grêle. Une fois absorbée, elle passe dans la circulation sanguine, où elle est transportée vers les cellules pour soutenir les différentes fonctions corporelles. Tout excès d’eau non utilisé par le corps est ensuite éliminé via l’urine ou la sueur.

Le corps humain est une merveille de régulation lorsqu’il s’agit de gérer l’eau. À travers des mécanismes complexes impliquant les reins, le cerveau, des hormones, et même la peau, notre organisme s’assure que nous maintenons un bon équilibre hydrique. Une hydratation adéquate est essentielle pour soutenir ces processus, mais le corps sait aussi s’adapter en cas de besoins accrus ou de perte d’eau importante, comme lors de la transpiration ou des changements alimentaires.

Qu’est-ce que la rétention d’eau ?

La rétention d’eau, ou œdème, est un phénomène dans lequel le corps accumule un excès de liquide dans les tissus, en particulier dans les espaces interstitiels (les espaces entre les cellules). Normalement, le corps maintient un équilibre strict entre les apports et les sorties d’eau grâce à divers mécanismes physiologiques, mais lorsque cet équilibre est perturbé, l’eau peut s’accumuler, provoquant des gonflements.

Le rôle de l’eau dans le corps

Comme nous l’avons expliqué, environ 60 % du poids corporel humain est constitué d’eau, répartie entre plusieurs compartiments :

  • Intracellulaire : environ 65 % de l’eau totale se trouve à l’intérieur des cellules.
  • Extracellulaire : le reste est réparti entre le plasma sanguin (environ 8 %) et les espaces interstitiels (environ 27 %).

L’eau se déplace en permanence entre ces compartiments pour maintenir l’équilibre des fluides (homéostasie). Les échanges se font principalement par osmose (mouvement de l’eau à travers une membrane semi-perméable en réponse à des différences de concentration) et par diffusion.

Les mécanismes de la rétention d’eau

La rétention d’eau survient lorsque l’eau s’accumule de manière excessive dans l’espace interstitiel, et ce phénomène est influencé par plusieurs facteurs :

  • Les capillaires sanguins et la pression hydrostatique : Les capillaires sont de minuscules vaisseaux sanguins qui permettent l’échange de fluides, de nutriments et de déchets entre le sang et les tissus. L’eau est poussée hors des capillaires dans les tissus environnants sous l’effet de la pression hydrostatique (la force exercée par le sang dans les vaisseaux). Normalement, l’eau retourne dans les capillaires sous l’effet de la pression oncotique (due aux protéines présentes dans le sang, principalement l’albumine, qui attirent l’eau par un effet osmotique). Si cet équilibre entre pression hydrostatique et pression oncotique est perturbé, plus d’eau peut s’accumuler dans les tissus, provoquant un œdème.

  • L’augmentation de la pression hydrostatique : si la pression dans les vaisseaux sanguins est trop élevée (par exemple, en cas d’insuffisance cardiaque ou de rétention de sodium), davantage d’eau est poussée vers les tissus, augmentant ainsi la rétention d’eau.

  • La réduction de la pression oncotique : si le niveau de protéines plasmatiques est bas (comme dans les maladies du foie ou des reins, ou en cas de malnutrition), l’eau ne retourne pas correctement dans les vaisseaux sanguins, ce qui favorise son accumulation dans les tissus.

  • Les hormones et le système rénine-angiotensine-aldostérone : Le corps utilise des hormones pour réguler la rétention et l’élimination des liquides. Le système rénine-angiotensine-aldostérone est crucial dans ce processus :

      • Rénine : Lorsque le volume sanguin diminue ou que la pression artérielle chute, les reins libèrent une enzyme appelée rénine. Cette enzyme active la production d’angiotensine II, un puissant vasoconstricteur qui stimule la réabsorption du sodium (et donc de l’eau) par les reins, augmentant ainsi le volume sanguin et la pression artérielle.

      • Aldostérone : Cette hormone, produite par les glandes surrénales, agit sur les reins pour augmenter la rétention de sodium, ce qui entraîne une rétention d’eau par osmose.


En cas de dysfonctionnement de ce système, comme dans l’hypertension, l’eau est retenue de manière excessive, contribuant à un œdème.

  • L’hormone antidiurétique (ADH ou vasopressine) : L’ADH est une hormone produite par l’hypothalamus et stockée dans l’hypophyse postérieure. Son rôle est de contrôler la quantité d’eau réabsorbée par les reins. Lorsque le corps détecte une déshydratation (augmentation de l’osmolarité sanguine), l’ADH est libérée, ce qui augmente la réabsorption d’eau par les tubules rénaux et réduit la production d’urine. En cas de sécrétion excessive d’ADH, comme dans certaines pathologies (syndrome de sécrétion inappropriée d’ADH ou SIADH), le corps peut retenir plus d’eau qu’il n’en a besoin, ce qui conduit à une rétention d’eau et parfois à une dilution des électrolytes dans le sang, en particulier du sodium (hyponatrémie).

  • Le rôle du sodium et des électrolytes : Le sodium est le principal ion extracellulaire, et il joue un rôle clé dans la régulation de l’équilibre hydrique. L’eau suit toujours le sodium par osmose. Si les niveaux de sodium augmentent dans le corps (souvent à cause d’une alimentation trop riche en sel), l’eau est retenue pour maintenir l’équilibre osmotique. Un excès de sodium, comme on le voit souvent dans les régimes alimentaires modernes, peut entraîner une rétention d’eau. Cela se manifeste souvent par un gonflement des mains, des pieds et des chevilles, car l’eau s’accumule dans les espaces interstitiels.

  • Les facteurs inflammatoires : Les processus inflammatoires peuvent également conduire à la rétention d’eau. Lorsqu’une inflammation survient dans les tissus (due à une blessure, une infection ou une maladie), les vaisseaux sanguins deviennent plus perméables, laissant passer davantage de liquide dans les tissus environnants, ce qui provoque un œdème localisé.

> Retrouvez notre article : Comment savoir si l’on fait de la rétention d’eau


Les causes de la rétention d’eau

Plusieurs facteurs et conditions peuvent perturber ces mécanismes de régulation des fluides, entraînant une rétention d’eau :

  • Insuffisance cardiaque : Le cœur ne pompe pas efficacement le sang, ce qui entraîne une accumulation de liquide dans les tissus, en particulier dans les membres inférieurs.

  • Problèmes rénaux : Si les reins ne fonctionnent pas correctement, ils ne peuvent pas éliminer suffisamment de liquide du corps, ce qui entraîne une accumulation d’eau.

  • Insuffisance hépatique : Le foie produit des protéines (comme l’albumine) qui aident à maintenir la pression oncotique. En cas de dysfonctionnement hépatique, le taux de protéines plasmatiques diminue, ce qui entraîne une fuite d’eau vers les tissus.

  • Grossesse : L’augmentation de la production de certaines hormones et la pression exercée par l’utérus sur les veines pelviennes peuvent entraîner une rétention d’eau.

  • Alimentation riche en sel : Un apport excessif en sodium entraîne une rétention d’eau dans les tissus, car le corps retient l’eau pour diluer l’excès de sel.

  • Cycle menstruel et hormones : Les fluctuations des niveaux d’œstrogènes et de progestérone durant le cycle menstruel peuvent provoquer une rétention d’eau chez certaines femmes. L'arrivée de la ménopause peut également provoquer un gonflement du ventre.

> Retrouvez notre article Les causes de la rétention d’eau

Les symptômes de la rétention d’eau

Les symptômes varient en fonction de la gravité de la rétention d’eau, mais les signes les plus fréquents incluent :

  • Gonflements visibles dans les pieds, les chevilles, les mains ou le visage.

  • Sensation de lourdeur ou de raideur dans les membres.

  • Gain de poids rapide sur une courte période.

  • Pression dans les veines, en particulier autour des jambes et des chevilles, souvent accompagnée d’une sensation de tiraillement.

  • Réduction de la production d’urine, surtout si la rétention est liée à des problèmes hormonaux ou rénaux.

> Retrouvez notre article Identifiez les symptômes de la rétention d’eau dans les jambes et le ventre 

Les traitements de la rétention d’eau

Le traitement de la rétention d’eau dépend de la cause sous-jacente. Quelques approches courantes incluent :

  • Réduction de l’apport en sel pour diminuer la rétention de sodium.

  • Diurétiques pour augmenter l’excrétion d’eau par les reins.

  • Activité physique pour stimuler la circulation sanguine et lymphatique.

  • Compression veineuse (comme les bas de contention) pour réduire l’œdème dans les jambes.

  • Modification des médicaments si des médicaments comme les corticostéroïdes ou certains antihypertenseurs causent la rétention d’eau.

La rétention d’eau est un déséquilibre complexe des mécanismes de régulation des fluides, souvent lié à des problèmes hormonaux, rénaux ou cardiaques, ainsi qu’à des habitudes alimentaires ou à des facteurs inflammatoires. Une gestion adaptée et un diagnostic médical sont essentiels pour traiter efficacement la rétention d’eau et prévenir ses complications.

> Retrouvez notre article Que faire si je fais de la rétention d’eau ?

La rétention d’eau est un phénomène courant, souvent lié à des facteurs du quotidien tels que l’alimentation, le manque d’exercice ou les variations hormonales. Bien qu’elle puisse être inconfortable, elle n’est généralement pas dangereuse et peut être gérée par des changements simples dans votre mode de vie et grâce à la Nutra !

En effet, il est tout à fait possible de réduire la rétention d’eau grâce à quelques ajustements simples de votre quotidien comme réduire votre consommation de sel, boire plus d’eau, faire de l’exercice régulièrement, adopter une alimentation équilibrée, limiter la consommation d’alcool ou essayer notre produit : Draineur à l’Elimreal®, une combinaison de 7 extraits de plantes soigneusement sélectionnés pour leurs actions spécifiques sur les fonctions d’élimination et de drainage  : le carvi, la reine-des-prés, le pissenlit, le guarana, le caféier, la verge d’or et le fenouil. Ce complexe a montré son efficacité dans une étude clinique réalisée sur près d’une centaine de femmes. La prise quotidienne d’Elimreal® pendant 4 semaines a entraîné :

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Rédigé par l'équipe Nutri&Co

Notre équipe scientifique est composée de Diététicienne et Docteure en Sciences de la Nutrition, Ingénieur en Nutrition et Science des Aliments, Naturopathe.

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