Vitamine C liposomale

• La vitamine C contribue à un métabolisme énergétique normal.
• La vitamine C contribue à la formation normale de collagène pour assurer la fonction normale des cartilages, des os, des gencives, des dents, de la peau et des vaisseaux sanguins.
• La vitamine C contribue à la régénération de la forme réduite de la vitamine E.
• La vitamine C contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif.
• La vitamine C contribue au fonctionnement normal du système immunitaire, notamment pendant et après un exercice physique intense.
• La vitamine C contribue à réduire la fatigue.
• La vitamine C contribue à des fonctions psychologiques normales.
• La vitamine C contribue au fonctionnement normal du système nerveux.
• La vitamine C accroît l'absorption du fer.

La vitamine C, ou acide L-ascorbique, est une vitamine hydrosoluble essentielle à la vie humaine. Le terme "essentiel" signifie que, contrairement à la plupart des mammifères, notre organisme est incapable de la synthétiser en raison d'une mutation génétique ancestrale qui a inactivé l'enzyme GULO (L-gulonolactone oxydase), responsable de la dernière étape de sa production. Nous devons donc impérativement l'obtenir via notre alimentation.

Le “super-pouvoir” de la vitamine C est d’être un donneur d’électrons. En faisant ce don, elle désactive les molécules agressives et participe à de nombreuses réactions biochimiques dans notre corps : des défenses antioxydantes jusqu’à l’expression des gènes. [1,2]

La vitamine C liposomale est simplement une forme particulière de vitamine C en complément alimentaire, où celle-ci est micro-encapsulée dans un liposome végétal (une molécule de gras) afin d'être mieux absorbée et d'en améliorer ses bienfaits.

L'ANSES recommande un apport quotidien en vitamine C de 110 mg pour les adultes, 120 mg pour les femmes enceintes et 170 mg pour les femmes allaitantes, des valeurs connues sous le nom de Références Nutritionnelles pour la Population (RNP). Ces chiffres sont distincts des Apports Recommandés (AR) de 80 mg par jour, qui servent de référence générale pour l'étiquetage des aliments et compléments pour un adulte moyen, sans distinction d'âge ou de sexe.

Certaines populations, comme les fumeurs et les sportifs, pourraient avoir des besoins accrus en raison d'un stress oxydatif plus important. Cependant, l'étude INCA 3 révèle que la consommation moyenne de vitamine C chez les adultes français est de 90 mg par jour, avec 50 % d'entre eux consommant moins de 80 mg par jour. [3]

Étant une vitamine hydrosoluble, l'excès de vitamine C est généralement éliminé par les urines lorsque les taux sanguins sont suffisants, ce qui rend le risque de toxicité alimentaire très faible. Les suppléments de vitamine C sont également reconnus comme sûrs. Cependant, des doses élevées, comprises entre 2000 et 6000 mg, peuvent potentiellement provoquer des effets secondaires tels que des inconforts digestifs, des nausées et des crampes d'estomac. [4,5]

L'absorption de la vitamine C varie selon la dose : de 70 à 90 % pour des apports quotidiens de 30 à 180 mg, mais moins de 50 % au-delà de 1 g par jour (figure 1). Une alimentation seule ne permet pas de dépasser une concentration sanguine de 100 µmol/L, alors qu'un apport de 1,25 g/jour peut atteindre plus de 135 µmol/L. L'élimination de la vitamine C, en cas de doses élevées, est également liée au taux sanguin et au niveau de déficit propre à chaque individu.

En somme, l'évaluation des besoins quotidiens en vitamine C nécessite de différencier l'apport recommandé (valeur de base pour l'étiquetage alimentaire et des compléments) des Apports Nutritionnels Conseillés (ANC) plus précis selon les populations, et des doses cliniquement efficaces, souvent bien plus élevées pour certaines problématiques. (tableau 1)

Historiquement, le scorbut a permis de découvrir la carence en vitamine C. Cette dernière étant essentielle à la synthèse du collagène, des apports insuffisants peuvent entraîner des problèmes de tissus conjonctifs. Parmi les symptômes, on retrouve une pâleur excessive, un déchaussement des dents, une hyperkératose, une perte de cheveux et des hémorragies, pouvant même être fatale dans les cas les plus graves.

Bien que décrits depuis l'Antiquité, les symptômes du scorbut sont devenus tristement célèbres pendant les grandes explorations maritimes du XVe au XVIIIe siècle. Durant ces longs voyages, les marins n'avaient accès qu'à de la viande séchée et des biscuits, sans fruits ni légumes frais. Ce n'est qu'à la fin du XVIIIe siècle que la marine britannique a commencé à supplémenter ses marins avec du jus de citron, après avoir constaté qu'il faisait disparaître les symptômes du scorbut.

En dehors de ces manifestations extrêmes, un déficit en vitamine C peut se traduire par de la fatigue, une immunité affaiblie, une peau sèche, un inconfort articulaire et de l'anémie.

La vitamine C provient principalement d'une alimentation variée et équilibrée. Les sources les plus riches en vitamine C (pour 100 g) sont :

• Le persil frais : 177 mg
• Le poivron : 121 mg
• Le brocoli : 106 mg
• Le kiwi : 82 mg
• La fraise : 54 mg
• L'orange : 48 mg
• Le citron : 45 mg

Les fruits, et dans une moindre mesure les légumes, constituent de loin les principales sources alimentaires de vitamine C.

La vitamine C est un modulateur immunitaire de premier plan, agissant à plusieurs niveaux des défenses de l'organisme. [8-12]

• Système immunitaire inné : Elle renforce l'intégrité des barrières épithéliales (peau, muqueuses), notre première ligne de défense contre les pathogènes. Elle s'accumule en très forte concentration dans les cellules phagocytaires comme les neutrophiles, améliorant leur capacité à se déplacer vers les sites d'infection (chimiotactisme), à engloutir les microbes (phagocytose) et à les détruire via la production d'espèces réactives de l'oxygène. En parallèle, son rôle antioxydant protège ces mêmes cellules immunitaires des dommages qu'elles pourraient s'auto-infliger.
• Système immunitaire adaptatif : Bien que les mécanismes soient moins élucidés, la vitamine C semble favoriser la différenciation et la prolifération des lymphocytes B et T, les cellules responsables de la mémoire immunitaire et de la production d'anticorps.

Lors d'une infection, les besoins métaboliques en vitamine C augmentent de façon spectaculaire, entraînant une chute rapide de ses niveaux plasmatiques et leucocytaires. Une supplémentation adéquate est donc cruciale pour maintenir une réponse immunitaire efficace.

L'un des bénéfices les plus connus de la vitamine C est sa contribution à la réduction de la fatigue. Ce rôle va bien au-delà d'un simple "coup de fouet". La vitamine C est un cofacteur indispensable à la synthèse de la carnitine, une molécule qui transporte les acides gras vers les mitochondries pour la production d'énergie (ATP).

De plus, des recherches récentes ont mis en lumière son impact significatif sur la vitalité mentale. Une étude de 2022 a montré que la supplémentation en vitamine C (1000 mg/jour) chez de jeunes adultes en bonne santé mais avec des niveaux de vitamine C suboptimaux améliorait significativement leur attention, leur engagement au travail et leurs performances cognitives lors de tâches exigeantes. Cet effet est probablement lié à son rôle dans la synthèse des catécholamines (dopamine, noradrénaline), des neurotransmetteurs clés pour la motivation, la concentration et l'humeur. Une autre étude sur des patients souffrant de COVID long a montré qu'une supplémentation en vitamine C liposomale (associée à la L-arginine) réduisait de manière significative la fatigue persistante. [13-24]

Pour les sportifs, la vitamine C présente un intérêt double, mais son utilisation doit être nuancée. D'une part, l'exercice intense génère un stress oxydatif important, et la vitamine C, en tant que puissant antioxydant, peut aider à neutraliser les radicaux libres, potentiellement réduisant les dommages musculaires et améliorant la récupération.

D'autre part, des revues scientifiques récentes, dont une de 2023, suggèrent que des doses élevées et chroniques de suppléments antioxydants (notamment la vitamine C) pourraient réduire certains bénéfices de l’entraînement, comme la production de nouvelles mitochondries (les “centrales d’énergie” des cellules). L'inflammation et le stress oxydatif modérés post-exercice sont des signaux nécessaires à la progression.

La stratégie la plus judicieuse pour les athlètes semble donc être de ne pas utiliser de fortes doses de vitamine C de manière chronique autour des entraînements, mais de l'utiliser de manière ciblée pour soutenir le système immunitaire (souvent affaibli après un effort intense) et pour accélérer la récupération lors de périodes de charge d'entraînement élevée ou après une compétition. [25,26]

La vitamine C est absolument indispensable à la production de collagène, la protéine la plus abondante du corps humain, qui constitue la charpente de nos tissus conjonctifs. Elle agit comme cofacteur essentiel pour deux enzymes, la prolyl- et la lysyl-hydroxylase, qui permettent de stabiliser et de structurer les fibres de collagène.

Sans un apport suffisant en vitamine C, la synthèse d'un collagène fonctionnel est impossible, ce qui explique les symptômes du scorbut (déchaussement des dents, hémorragies, fragilité capillaire). Un statut optimal en vitamine C est donc crucial pour : [27,28]

• La santé de la peau : en favorisant la production de collagène dans le derme, elle aide à maintenir la fermeté, l'élasticité et l'hydratation de la peau, et joue un rôle dans la cicatrisation.
• Les articulations et les os : elle contribue à la solidité des cartilages, des ligaments, des tendons et de la matrice osseuse.
• Les vaisseaux sanguins : elle assure la souplesse et la résistance de la paroi des artères et des capillaires.

Comme évoqué précédemment, l'efficacité d'une supplémentation en vitamine C est directement liée à sa biodisponibilité, c'est-à-dire la fraction de la dose ingérée qui atteint réellement la circulation sanguine et les cellules. Pour l'acide ascorbique standard, ce processus est inefficace et saturable.

Les transporteurs intestinaux SVCT1 sont rapidement dépassés, et au-delà d'une certaine dose, la vitamine C non absorbée est excrétée via les selles, sans bénéfice pour l'organisme. Ce goulot d'étranglement physiologique est la raison pour laquelle la recherche s'est tournée vers des formes plus évoluées, capables de contourner ces limitations. [29,30]

Les avancées en galénique et en nutraceutique ont permis de développer des formes de vitamine C qui révolutionnent son efficacité. La science a non seulement validé l'intérêt de ces nouvelles formes, mais a également quantifié leur supériorité.

L'efficacité de la technologie liposomale

En protégeant la vitamine C et en lui permettant de fusionner avec les membranes cellulaires, elle augmente drastiquement sa concentration dans le sang et son exposition totale sur la durée (AUC - Area Under the Curve). Des revues de la littérature scientifique rapportent une biodisponibilité de 1,2 à plus de 7 fois supérieure à celle de la vitamine C non liposomale, selon les formulations et les doses utilisées. Une étude récente sur une forme liposomale en poudre a par exemple démontré une augmentation de 30% de la biodisponibilité (AUC) et une durée de présence élevée dans le sang prolongée de 30% par rapport à la forme non-encapsulée. De plus, au-delà de la simple concentration plasmatique, les formes liposomales ont montré leur capacité à augmenter les niveaux de vitamine C dans les leucocytes (globules blancs), ce qui est un meilleur indicateur des réserves tissulaires et de l'efficacité sur le système immunitaire. [31,33]

La performance du brevet PureWay-C®

Elle a été spécifiquement évaluée dans des études cliniques comparatives. L'étude de Pancorbo et al. est particulièrement révélatrice : après une dose unique de 1000 mg, le groupe PureWay-C® présentait des niveaux sériques de vitamine C significativement plus élevés à 1h, 2h, 4h et 6h que les groupes prenant de l'acide ascorbique standard ou de l'Ester-C®. De plus, après 24 heures, les niveaux restaient plus élevés dans le groupe PureWay-C®, démontrant une meilleure rétention. L'étude de Weeks & Perez a quant à elle montré une absorption et une rétention 233% plus élevées au niveau cellulaire (lymphocytes T). [34,35]

figure 2 : taux de vitamine C cellulaire avec différentes formes - tiré de [34]

La combinaison de ces deux technologies, comme dans notre formule, offre donc une solution sans compromis pour une efficacité maximale.

La Vitamine C liposmale de Nutri&Co vous permet de profiter du meilleur de la vitamine C grâce à sa forme de qualité exceptionnelle :

• Le brevet PureWay-C® : une forme de vitamine C couplée à des lipides végétaux qui accélèrent son absorption et augmentent sa rétention dans les cellules de 233%. Elle a également démontré une action antioxydante 12% supérieure, une accélération de 40% de la cicatrisation et une efficacité 12 fois plus grande sur la stimulation des neurones.
• La technologie liposomale : une enveloppe de phospholipides qui protège la vitamine C, lui permet de contourner les limites de l'absorption intestinale et de la livrer directement au cœur des cellules.
• Un dosage optimale et facilement modulable avec 1000 mg en 3 petites gélules.