Aujourd’hui le recours aux médicaments reste assez limité dans le cas du SOPK, du fait qu’aucun traitement du SOPK n’existe. Seuls les symptômes aujourd’hui sont pris en charge, ce qui permet de les soulager mais sans en supprimer la cause.
Le premier traitement médical est la pilule oestro-progestative pour empêcher les ovaires de (mal) fonctionner. Le cycle naturel est alors à l’arrêt, et laisse place à un cycle artificiel qui peut permettre de limiter les symptômes en les masquant.
Des médicaments anti-androgéniques pour limiter l'hypersécrétion des androgènes peuvent être prescrits ; des antidiabétiques également contre l'excès d'insuline. Certains effets secondaires ont été mis en évidence, expliquant que certaines femmes se tournent davantage vers des solutions plus naturelles.
L’inositol peut-il m'aider ?
L’inositol, impliqué dans la signalisation de l’insuline, se présente comme le candidat idéal pour prendre en charge naturellement et efficacement le SOPK. Il a notamment prouvé son implication dans la diminution de la résistance à l’insuline (5), l’atténuation de l’hyperandrogénie et l’amélioration de la fonction ovarienne (6).
Constituant de nombreuses membranes cellulaires de notre corps, l’inositol est présent dans notre alimentation, et retrouvé dans les céréales, les agrumes, le lait, les abats. En outre, notre organisme est capable de le fabriquer. L’objectif est simple : avoir un taux d’inositol optimal et équilibré pour garantir les santés métaboliques et hormonales.
Quelle alimentation ou complément alimentaire adopter en cas de SOPK ?
En cas de SOPK, l’alimentation joue un rôle non négligeable pour améliorer la qualité de vie des femmes. L’adapter pour limiter l’inflammation et l’insulinorésistance est tout à fait pertinent. Les vitamines (D3, B9 et B12), la cannelle, la carnitine, le coenzyme Q-10, les oméga-3, le zinc et le magnésium, sans oublier l’inositol sont des nutriments à privilégier dans nos assiettes et à moduler selon le type de SOPK.
- L’insulinorésistance s’améliore par une alimentation à index glycémique modéré et une activité physique régulière.
- L’inflammation chronique de bas grade (observée dans certains SOPK) peut être modérée via des choix alimentaires anti-inflammatoires (oméga-3, zinc, magnésium…)
- Les études sur l’inositol montrent qu’il fonctionne en complément d’un mode de vie sain (et non en remplacement).
Les compléments alimentaires à base d’inositol représentent la voie majeure et privilégiée dans la prise en charge actuelle du SOPK. Le myo-inositol est la forme la plus abondante de l’organisme. Il agit au niveau des ovaires pour limiter la production de testostérone.
Le Myo-inositol Nutri&Co et les autres compléments à envisager en cas de SOPK
Chez Nutri&Co nous avons choisi de vous proposer un myo-inositol pur à 100 %, issu d’une fermentation végétale, et l’avons associé à de la vitamine B6 pour une action synergique sur la production hormonale et la régulation du métabolisme glycémique.