

Depuis plus de 3 décennies, la science ne cesse d'accumuler des preuves quant aux bienfaits des ferments lactiques*. Mais malgré plus de 1000 espèces connues, peu de souches ont vu leurs rôles étudiés, et avec l’émergence des prébiotiques, difficile de s'y retrouver…
Si de nombreux mix sont proposés, aucun n'a réussi à concilier ferments lactiques* ET prébiotique brevetés dans une même gélule gastro-résistante et avec preuves scientifiques à l’appui. C’est pourquoi nous l’avons fait !
*Bien qu'autorisé en Espagne et en Italie, l'utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
60 gélules • à partir de 1/j
Lot de 3 Probio²
74,70 € 70,00 € Économisez 4,70 € Ajouter au panier |
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Pack Digestion - Probio² et Enzymes
47,80 € 44,00 € Économisez 3,80 € Ajouter au panier |
*sans excipients controversés.
Nous avons longtemps combattu le monde microbien.
Pourtant, celui-ci pourrait bien être notre allié le plus précieux.
Nous avons longtemps combattu le monde microbien.
Pourtant, celui-ci pourrait bien être notre allié le plus précieux.
L’association de nos 5 lactobacilles et 4 bifidobactéries a été pensée pour trouver un consensus entre l’approche dite "des souches spécifiques" et celle dite "multi-souches" :
Chaque souche possède une origine humaine connue et une identification précise.
Jusqu’ici, il était impossible de réunir ferments lactiques* et prébiotiques dans une même formule, en raison d’une stabilité incertaine et de quantités déraisonnables (minimum 5 g de fibres diététiques solubles pour atteindre une efficacité, soit 7 gél/j).
Mais notre découverte d’un premier ingrédient au potentiel prébiotique dès 500 mg et reconnu comme stable change la donne ! Grâce à ce flavonoïde breveté et 100% végétal, notre formule est la première à réunir ferments lactiques* et prébiotiques en seulement 2 gélules par jour.
Le maintien d’un certain nombre d’UFC tout au long de la durée de vie du produit est essentiel pour garantir son efficacité. Mais plus que le nombre d’UFC global, c’est le nombre spécifique d’UFC par souche clé qu’il est important de préserver.
Afin de garantir une efficacité tout au long de la durée de vie du produit, nous avons multiplié par 12,5 la quantité ayant démontré les actions de nos souches stars en étude clinique. C’est ainsi 60 milliards d’UFC qui prennent place dans 2 gélules.
En plus d’une sélection de souches robustes, nos ferments lactiques* sont protégés par une capsule végétale brevetée à libération retardée fabriquée en Alsace : la DRcaps®**. Cette gélule est la plus documentée quant à sa capacité à délivrer les bactéries vivantes sur leur lieu d’action. La preuve en image juste ici.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
**DRCaps® est une marque de LONZA (ou d’une de ses filiales), enregistrée en UE.
Ils sont notamment plébiscités pour leur impact positif sur le microbiote dont ils permettent de compenser les déséquilibres telle la dysbiose.
Nos ferments lactiques* sont accompagnés :
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Pour 2 gélules
Mix ferments lactiques* (amidon de maïs)
500 mg
60 Mds UFC**
Microbiomex®
500 mg
Vitamine D végétale
0,750 µg VNR*** : 15%
Vitamine B2 (Riboflavine)
0,21 mg VNR*** : 15%
Extrait de riz
9,32 mg
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
**UFC : unité formant colonie
***VNR : valeurs nutritionnelles de référence
Ingrédients : Mix ferments lactiques* (Bifidobacterium lactis SD-5859, Lactobacillus paracasei DSM 13434, Lactobacillus plantarum DSM 6595, Lactobacillus rhamnosus DSM 6594, Bifidobacterium bifidum SD- 6576, Bifidobacterium infantis SD-6669, Bifidobacterium longum SD-5844, Lactobacillus acidophilus SD-5212, Lactobacillus casei subsp. casei SD-5842); MicrobiomeX® [extrait d’Orange (Fruit) (Citrus sinensis (L.) Osbeck.), Extrait de Pamplemousse (Fruit) (Citrus paradisi Macfad.)] titré à 80% hesperidine et 5% naringine, Gélule d'origine végétale DRCaps (agentsd'enrobage : hydroxypropylmethylcellulose, gomme gellane), extrait de Riz, Vitamine D (cholecalciferol végétal, extrait de Lichen), Vitamin B2 (riboflavine)
Le tube digestif est peuplé d’un nombre colossal de micro-organismes : 10 000 à 100 000 milliards de bactéries, c’est juste un peu plus que le nombre total de cellules dans notre corps ! [1]. Cette concentration bactérienne qui cohabite avec notre corps porte le nom de microbiote, de plus en plus considérée comme un « organe » à part entière. Ces bactéries sont majoritairement localisées dans l’intestin, notamment le côlon (partie intestinale communément appelée « gros intestin ») qui est peuplé d’1 milliard à 100 milliards de microorganismes. Mais on les retrouve également dans l’ensemble du tractus gastro-intestinal [2], dans la bouche, sur les lèvres, sur la peau, dans le nez, etc.
Tout au long du tube digestif, le microbiote assiste notre corps dans la digestion et l’assimilation de micronutriments. Un de ses rôles les plus connus est la digestion des fibres dont la consommation est fortement recommandée. Celles-ci ont des structures polysaccharidiques (chaînes de sucres), plus ou moins longues, et sont digérées par notre flore intestinale.
Toutes les fibres ne se valent pas, et on peut les catégoriser simplement selon leur solubilité [3] :
Mais que se passe-t-il dans notre côlon, site principal de notre microbiote, pendant la digestion ? A ce niveau arrivent donc fibres mais aussi des nutriments résiduels (issus des protéines et des sucres) que notre microbiote va justement fermenter et dégrader. Cette fermentation produit différents composés d’intérêt, que l’on appelle « métabolites bactériens », et qui vont induire des effets locaux au niveau de notre côlon. Parmi ces composés, on distingue particulièrement les « acides gras à chaîne courte », au nombre de trois : l’acétate, le butyrate et le propionate [4]. Au niveau du côlon, les acides gras à chaîne courte vont servir de source énergétique aux cellules du côlon [5], activer la spécialisation de cellules clés (cellules produisant des messagers pour l’organisme) [6] et contrôler la fonction barrière et la perméabilité (contrôle de l’inflammation, défense microorganismes étrangers, etc.) [7].
Ces effets se traduisent concrètement par une meilleure digestion, un métabolisme optimisé, un système immunitaire plus affuté, etc.
Enfin, au-delà de la production d’acides gras à chaîne courte via la digestion, saviez-vous que notre microbiote joue un rôle important dans la production d’une variété de composés nutritionnels ? En effet, nos bactéries intestinales participent à la production de vitamines K et certaines vitamines du groupes B comme la B12 et la B9 [8,9].
Vous l’aurez compris, une grande partie de notre santé se joue donc dans notre intestin. Au-delà de ses fonctions digestives, notre microbiote joue un rôle physiologique clé, car il possède des fonctions essentielles pour notre organisme : fonction barrière et rôle dans le système immunitaire, régulation métabolique et nerveuse, etc. [2]. C’est par ses différents rôles et parce que notre microbiote est extrêmement modulable (environnement, alimentation, prise de médicaments…), qu’il est capable de jouer un rôle fondamental dans notre santé, et à divers niveaux [10].
Aujourd’hui, les scientifiques s’accordent tous sur le fait qu’un microbiote en « bonne santé », c’est-à-dire en « symbiose », contribue au bon équilibre de nos fonctions physiologiques au-delà de nos fonctions digestives [11,12]. Inversement, la littérature scientifique a rapporté que des relations importantes entre un microbiote appauvri et perturbé (c’est-à-dire en « dysbiose ») avec diverses problématiques de santé, allant des troubles digestifs à des troubles métaboliques et nerveux [13,14].
Vous l’aurez compris, mieux vaut prendre soin de son microbiote. La santé de ce dernier dépend de nombreux paramètres, allant de l’alimentation (LE facteur majoritaire), à l’âge, en passant par votre environnement présent mais aussi passé [15] ! En effet, de plus en plus de travaux font le lien entre le microbiote de l’enfant et le régime alimentaire de la mère et l’environnement/événements pendant la période périnatale [16,17]. Eh oui, vous n’avez peut-être pas tort de vous poser certaines questions sur l’origine de votre microbiote !
On vous parle souvent de ferments lactiques naturels mais sans forcément expliquer ce que cachent ces mots. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a défini les ferments lactiques comme « des microorganismes vivants qui lorsqu’ils sont administrés en quantités adéquates apportent des effets santé bénéfiques à l’hôte » [18]. En nutraceutique, les ferments lactiques* naturels sont essentiellement proposés sous forme de souches bactériennes lyophilisées et on met souvent en avant le nombre d’UFC, - Unité Formant Colonie - soit l’unité de mesure qui permet de comptabiliser la quantité de bactéries viables présente dans le produit.
Si de nombreuses données scientifiques sur les ferments lactiques* ont démontré leur impact positif sur la santé gastro-intestinale en réponse à différents désordres physiologiques (transit, irritabilité du côlon, etc.) [19,20], il reste beaucoup de domaines à explorer, comme l’action spécifique souche par souche, leur lieu d’activité, leur adhérence, leurs interactions ainsi que leurs mécanismes d’action… Un des prérequis majeurs d’un bon probiotique est notamment sa capacité à persister et agir tout au long du tractus intestinal.
Résultat, la majorité des produits nutraceutiques présentent des mix en apparence équilibrés et très dosés (souvent basés sur Lactobacilles et des Bifidobactéries) mais cachent en réalité un mélange de bactéries génériques et simplement rentables à produire, sans rationnel scientifique établi. Qu’est-ce qu’une bactérie générique ? C’est très simple. Ce sont des souches identifiées par leur nom de famille (par exemple Lactobacillus plantarum) sans que l’on sache exactement de quel membre de la famille on parle.
Disons que l’on parle de la famille des Dupont. Je connais de loin Mme Dupont, et je me dis que les Dupont se ressemblent probablement tous et qu’ils ont les mêmes talents. C’est précisément la supposition qu’on fait en travaillant avec des souches génériques. On sait que les membres de la famille des “Plantartum” sont généralement très actifs dans l’intestin, et on suppose que si je prends n’importe quel “Plantarum” (au hasard, celui qui est disponible chez mon producteur, le moins cher), il fera le job aussi bien que tous les autres. En gros, la promesse de ces produits est : “il paraît que ça marche, mais ne nous demandez pas comment !”... Et tant pis pour la science.
Heureusement, des produits mieux caractérisés et étudiés méthodiquement commencent à être solidement documentés, comme nos 3 souches stars. Autrement dit, là on ne parle pas d’un M. ou Mme Dupont, on parle d’un membre particulier de la famille, disons Pierre Dupont… dont on connaît absolument tout : taille, âge, couleur de cheveux… Son ADN est décortiqué dans les moindres détails, et surtout, on sait que c’est lui qu’il vous faut, pas son frère Paul, ni sa cousine Martine.
Vous l’aurez certainement remarqué, depuis quelques années, le nombre de formules ferments lactiques* augmente de manière exponentielle. Toutefois, la qualité d’une formule reste difficile à évaluer et c’est pourquoi de nombreuses étiquettes vantent des arguments faciles, mais pas toujours vrais, tels que la surenchère aux nombres d’UFC, la multiplication du nombre de souches ou encore la conservation au réfrigérateur… Le tout sans rationnel clair ni explications crédibles.
De ce fait, les produits se multiplient mais les questions demeurent : quels ferments lactiques* ? Quels dosages pour la meilleure efficacité ? Quelle population cible ? Quelle sécurité ? Autant de questions dont les réponses sont aussi des critères recommandés dans la littérature dans le choix de bons ferments lactiques* naturels [21].
Aujourd’hui, un écart conséquent est en train de se creuser entre les produits basés sur la science et ceux basés sur les idées reçues. Si vous avez un doute, jetez un coup d'œil sur la liste de souches présentes dans votre mix, et posez-vous ces quelques questions simples :
D’ailleurs, pour comprendre comment sont généralement formulés les produits à base de ferments lactiques* rendez-vous sur notre blog : Ferments lactiques* : couteau suisse de la nutraceutique.
Comme si la complexité des ferments lactiques* était insuffisante, on va maintenant passer aux prébiotiques. Et commençons justement par la base : qu’est-ce qu’un prébiotique ? Les prébiotiques ont été définis comme des composants non viables qui ont la capacité d’aller jusqu’au côlon et qui stimulent de façon sélective (par fermentation) la croissance et/ou l’activité d’une ou plusieurs bactéries coliques [22]. Dit simplement, c’est de la « bonne nourriture » pour les bactéries de votre microbiote : mieux elles mangent, mieux elles se portent, et par ricochet immédiat, mieux vous vous portez !
En effet, s’il était établi que les prébiotiques sont essentiellement des fibres (les plus connues : fructo-oligosaccharides (FOS), galacto-oligosaccharides (GOS), inuline de chicorée, psyllium…), les études ne sont pas toutes formelles quant à leur effet réellement bénéfique. Tout dépend en fait de la définition du terme "prébiotique". Celle-ci a recément connu de légères modifications, et pour bénéficier de cette appellation, les substrats doivent désormais présenter des effets bénéfiques à la santé intestinale et la croissance du microbiote, ce qui n'est pas le cas de toutes les fibres [23]. Le terme n'inclut donc pas l'ensemble des fibres, mais seulement une partie d'entre-elles et peut désormais accueillir d'autres types de substrats.
En revanche, si les composés tels que les polyphénols semblent pouvoir interagir efficacement et de façon bénéfique sur le microbiote, leur structure doit être considérée. Car bien qu’ils montrent une activité prometteuse en éprouvette, en revanche, ils échouent souvent dans leur capacité à agir “dans la vraie vie” ou in vivo. Il faut savoir que les polyphénols sont tout simplement complètement métabolisés (la molécule est cassée par le corps et évacuée) avant même d’arriver sur leur lieu d’action. Ces molécules sont donc bien bénéfiques au niveau du côlon [24], à condition qu’ils puissent y arriver…
Une sélection spécifique de certains polyphénols s’impose pour garantir leur arrivée jusqu’au côlon [25]. Heureusement, la nature fait bien les choses, puisque certains polyphénols sont naturellement protégés (osons le terme : vectorisés !) et peuvent arriver intacts jusqu’au côlon pour y être métabolisés sur place et agir. On les retrouve essentiellement dans les agrumes (oranges, pamplemousses…) : il s’agit des fameux flavonoïdes (hespéridine par exemple).
Si un écart se creuse entre les formules standards et celles qui collent aux dernières avancées de la science, alors nous choisissons clairement d’être dans la seconde catégorie. Probio2 remet justement la science au centre de sa conception, en s’adossant aux dernières avancées de la science, jusqu’aux moindre détails.
Un mix ferments lactiques* pensé pour tous
L’association de nos 5 lactobacilles et 4 bifidobactéries a été pensée pour réunir le meilleur des deux philosophies :
Gros plan sur nos 3 souches stars
Lactobacillus plantarum 6595 (Probi : DSM 6595)
[29-34]
- Identité : espèce dominante parmi le genre Lactobacillus qui colonisent notre tube digestif [28]
- Origine de la souche : muqueuse intestinale humaine
- Science : 9 études cliniques sur un total de 743 sujets
- Brevets : 11 brevets à son actif
- Recul : sujet d’étude depuis 1993 et statut d’innocuité reconnu auprès des autorités européennes (statut QSP)
Lactobacillus rhamnosus 6594 (Probi : DSM 6594)
[29,36,37]
- Identité : espèce colonisant notre tube digestif pouvant être associée à un allaitement pendant l’enfance [35]
- Origine de la souche : muqueuse intestinale humaine
- Science : 4 études cliniques sur un total de 769 sujets
- Brevets : 4 brevets à son actif
- Recul : sujet d’étude depuis 1993 et statut d’innocuité reconnu auprès des autorités européennes (statut QSP)
Lactobacillus paracasei 13434 (Probi : DSM 13434)
[39,30,40]
- Identité : espèce du groupe Lactobacillus majoritairement utilisée en industrie agroalimentaire pour l’élaboration de nos produits quotidiens [38]
- Origine de la souche : muqueuse intestinale humaine
- Science : 8 études cliniques sur un total de plus de 860 sujets
- Brevets : 7 brevets à son actif
- Recul : sujet d’étude depuis 1998 et statut d’innocuité reconnu auprès des autorités, européennes (statut QSP)
Un polyphénol au potentiel prébiotique prouvé
Les polyphénols ont été rapportés dans la littérature scientifique comme des “composants alimentaires fonctionnels pouvant influencer notre microbiote” [41]. Mais bien qu’ils soient capables d’interagir avec notre microbiote et ce, de façon bénéfique, leur arrivée dans le côlon n’est pas toujours prouvée. On s’est donc naturellement tourné vers les flavonoïdes d’agrumes, naturellement armés pour survivre et arriver intacts au côlon.
Microbiomex® est un extrait d’agrumes (oranges et pamplemousses) riche en flavonoïdes et qui a justement prouvé son action sur l’activité du microbiote intestinal lors d’études in vivo et clinique, c’est-à-dire dans la vraie vie. La forme chimique glycosylée (associée à des sucres) des flavonoïdes contenus dans cet extrait, leur permet d’être protégés dans le tractus digestif pour être finalement dégradés (clivage de la liaison avec les sucres = déglycosylation) au niveau colique.
Les résultats des études menées sur Microbiomex® ont montré qu’il potentialise la production d’acides gras à courtes chaînes suggérant une modulation de l’activité du microbiote dès 500mg [42]. Cet extrait 100% végétal, standardisé en hespéridine, se voit donc attribuer une action prébiotique selon les définitions les plus récentes.
Les flavonoïdes agissent selon deux mécanismes :
Une association Probio/Prébio qui fait sens
Vous l’aurez compris, l’avantage décisif ici est que l’effet bénéfique sur le microbiote (prébiotique) est obtenu pour un dosage très faible par rapport à celui des fibres (7g), prébiotiques d’une autre catégorie. Résultat, le mix Probiotique/Prébiotique tient en 2 petites gélules quotidiennes (et pas n’importe lesquelles, nous le verrons plus tard).
Et comme vous suivez parfaitement, vous vous demandez logiquement si le prébiotique ne représente pas un risque pour la stabilité des ferments lactiques*, puisqu’ils sont mélangés dans la même gélule. Et bien nous nous sommes posés la même question, et la réponse est « non », aucun risque au niveau de la stabilité pour les ferments lactiques*, nous vous le prouvons par des études (la science, toujours la science).
Efficacité garantie dans la durée
Première Garantie : Un dosage « maîtrisé »
Sur le marché, de nombreuses formules ferments lactiques* brouillent le message et mettent en avant un mix probiotique dont les dosages sont peu explicites. Très souvent, la diversité des souches prime sur leur stabilité et leur résistance. De ce fait, vous êtes en droit de vous demander sur quelles garanties est-il possible de se baser pour être sûr de bénéficier des effets promis ?
Incontestablement, un mix de ferments lactiques* ne peut être valorisable que pour un dosage alliant quantité suffisante d’UFC (dose-réponse) et viabilité (dose-stabilité). Les souches stars que nous avons sélectionnées ont montré une très bonne stabilité et survie à travers le tractus gastro-intestinal.
Nous avons également multiplié par 12,5 le dosage recommandé de nos 3 souches stars afin d’assurer la dose recommandée à la date limite de consommation du produit. En effet, il est très complexe de suivre la viabilité des souches tout au long de la vie du produit, c’est pourquoi une dose de 12,5 milliards par souche permet d’assurer à Probio2 un apport d’au moins la dose recommandée.
Deuxième garantie : Encapsulation en DRcaps®*
DRcaps® (Capsugel) est une technologie Made In France de capsule en HMPC (hypromellose végétale, fibres) développée pour protéger efficacement les composées sensibles à l’acidité gastrique. Son efficacité, quant au relargage des composés après le passage dans l’estomac (milieu acide), a été démontrée par une étude de simulation du tractus digestif de l’Homme [44] mais aussi en étude clinique. Ces données ont permis de montrer que la dissolution complète de la capsule, et donc la libération des composés nutritionnels présents dans la capsule, avait lieu au niveau intestinal (intestin grêle, juste après l’estomac).
*DRCaps® est une marque de LONZA (ou d’une de ses filiales), enregistrée en UE.
Troisième garantie : une production chez des spécialistes mondiaux
Notre souhait de confectionner le meilleur ferment lactique* du marché nous a forcément poussés à aller chercher les meilleurs spécialistes au niveau international.
- Probi nous fournit les ferments lactiques*. C’est un expert mondial reconnu depuis les années 80. Les souches qu’il produit lui-même sont étudiées depuis les années 90 et jouissent d’un recul inégalé, tant sur les aspects d’efficacité que sur les aspects de stabilité.
- Notre façonnier, qui encapsule ces ferments lactiques*, jouit aussi d’une réputation mondiale dans le domaine. Nutrilinea maîtrise parfaitement la production de gélules ferments lactiques*, en appliquant notamment un niveau de contrôle exceptionnel des conditions de Température et Humidité :20/20 = “20°/20%”. Record mondial !
"Probiotique" est un terme qui convient en principe à des bactéries et à des levures. Selon la définition de l’OMS "les probiotiques sont des microorganismes vivants qui apportent des effets bénéfiques à la flore intestinale". Etymologiquement parlant, ce terme signifie "pour la vie" et représente donc une allégation santé en tant que telle, alors même que ces bactéries n’ont pas encore obtenu d’allégation de la part des autorités de santé. Le mot reste donc prohibé en France pour les produits nutraceutiques.
Le terme “ferment lactique" que nous avons décidé d'utiliser est celui qui se rapproche le plus de ce que nous proposons dans les gélules, à savoir des "bonnes" bactéries lyophilisées qui vont interagir avec l’écosystème intestinal, et cela même si théoriquement un ferment lactique fait référence à un type spécifique de bactéries et que nous l’utilisons avec une définition plus générale.
D’autres utilisent le terme microbiotiques, mais il peut être trompeur car le microbiote fait référence à la flore "propre" de l’individu, or cet apport externe de bactérie n’en fait pas partie. Bref, après le terme générique de "bactéries", voire "bactéries lactiques", l’appellation "ferment lactique" est certainement celle qui se rapproche le plus de ce que nous utilisons dans les gélules.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme “probiotique” est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Notre promesse de transparence passe aussi par la publication des analyses qualité :
Combinaison de 9 souches ferments lactiques* dont 3 brevetées
L’association de nos 5 lactobacilles et 4 bifidobactéries a été pensée pour trouver un consensus entre l’approche dite "des souches spécifiques" et celle dite "multi-souches" :
Chaque souche possède une origine humaine connue et une identification précise.
Premier flavonoïde à action prébiotique efficace en gélule
Jusqu’ici, il était impossible de réunir ferments lactiques* et prébiotiques dans une même formule, en raison d’une stabilité incertaine et de quantités déraisonnables (minimum 5 g de fibres diététiques solubles pour atteindre une efficacité, soit 7 gél/j).
Mais notre découverte d’un premier ingrédient au potentiel prébiotique dès 500 mg et reconnu comme stable change la donne ! Grâce à ce flavonoïde breveté et 100% végétal, notre formule est la première à réunir ferments lactiques* et prébiotiques en seulement 2 gélules par jour.
UFC : la dose clinique garantie avant tout !
Le maintien d’un certain nombre d’UFC tout au long de la durée de vie du produit est essentiel pour garantir son efficacité. Mais plus que le nombre d’UFC global, c’est le nombre spécifique d’UFC par souche clé qu’il est important de préserver.
Afin de garantir une efficacité tout au long de la durée de vie du produit, nous avons multiplié par 12,5 la quantité ayant démontré les actions de nos souches stars en étude clinique. C’est ainsi 60 milliards d’UFC qui prennent place dans 2 gélules.
Gélule gastro-résistante Made In France
En plus d’une sélection de souches robustes, nos ferments lactiques* sont protégés par une capsule végétale brevetée à libération retardée fabriquée en Alsace : la DRcaps®**. Cette gélule est la plus documentée quant à sa capacité à délivrer les bactéries vivantes sur leur lieu d’action. La preuve en image juste ici.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
**DRCaps® est une marque de LONZA (ou d’une de ses filiales), enregistrée en UE.
Les bienfaits des ferments lactiques* sont nombreux.
Ils sont notamment plébiscités pour leur impact positif sur le microbiote dont ils permettent de compenser les déséquilibres telle la dysbiose.
Nos probiotiques sont accompagnés :
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Quand prendre du Probio² ?
Combien de gélules ?
Durée d'une prise
Comment prendre ses gélules ?
Durée du flacon
Précautions d'emploi
Conditions de conservation
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme “probiotique” est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Composé | 1 gélule | 2 gélules | % des VNR*** |
Mix ferments lactiques* (amidon de maïs) | 250 mg - 30 Mds UFC** | 500 mg - 60 Mds UFC** | |
Microbiomex® | 250 mg | 500 mg | |
Vitamine D végétale | 0,325 µg | 0,750 µg | 15% |
Vitamine B2 (Riboflavine) | 0,105 mg | 0, 21 mg | 15% |
Extrait de riz | 4,66 mg | 9,32 mg |
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme “probiotique” est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
**UFC : unité formant colonie
***VNR : valeurs nutritionnelles de référence
Ingrédients : Mix ferments lactiques* (Bifidobacterium lactis SD-5859, Lactobacillus paracasei DSM 13434, Lactobacillus plantarum DSM 6595, Lactobacillus rhamnosus DSM 6594, Bifidobacterium bifidum SD- 6576, Bifidobacterium infantis SD-6669, Bifidobacterium longum SD-5844, Lactobacillus acidophilus SD-5212, Lactobacillus casei subsp. casei SD-5842); MicrobiomeX® [extrait d’Orange (Fruit) (Citrus sinensis (L.) Osbeck.), Extrait de Pamplemousse (Fruit) (Citrus paradisi Macfad.)] titré à 80% hesperidine et 5% naringine, Gélule d'origine végétale DRCaps (agentsd'enrobage : hydroxypropylmethylcellulose, gomme gellane), extrait de Riz, Vitamine D (cholecalciferol végétal, extrait de Lichen), Vitamin B2 (riboflavine)
Le microbiote : un organe à part entière
Le tube digestif est peuplé d’un nombre colossal de micro-organismes : 10 000 à 100 000 milliards de bactéries, c’est juste un peu plus que le nombre total de cellules dans notre corps ! [1]. Cette concentration bactérienne qui cohabite avec notre corps porte le nom de microbiote, de plus en plus considérée comme un « organe » à part entière. Ces bactéries sont majoritairement localisées dans l’intestin, notamment le côlon (partie intestinale communément appelée « gros intestin ») qui est peuplé d’1 milliard à 100 milliards de microorganismes. Mais on les retrouve également dans l’ensemble du tractus gastro-intestinal [2], dans la bouche, sur les lèvres, sur la peau, dans le nez, etc.
Tout au long du tube digestif, le microbiote assiste notre corps dans la digestion et l’assimilation de micronutriments. Un de ses rôles les plus connus est la digestion des fibres dont la consommation est fortement recommandée. Celles-ci ont des structures polysaccharidiques (chaînes de sucres), plus ou moins longues, et sont digérées par notre flore intestinale.
Toutes les fibres ne se valent pas, et on peut les catégoriser simplement selon leur solubilité [3] :
Mais que se passe-t-il dans notre côlon, site principal de notre microbiote, pendant la digestion ? A ce niveau arrivent donc fibres mais aussi des nutriments résiduels (issus des protéines et des sucres) que notre microbiote va justement fermenter et dégrader. Cette fermentation produit différents composés d’intérêt, que l’on appelle « métabolites bactériens », et qui vont induire des effets locaux au niveau de notre côlon. Parmi ces composés, on distingue particulièrement les « acides gras à chaîne courte », au nombre de trois : l’acétate, le butyrate et le propionate [4]. Au niveau du côlon, les acides gras à chaîne courte vont servir de source énergétique aux cellules du côlon [5], activer la spécialisation de cellules clés (cellules produisant des messagers pour l’organisme) [6] et contrôler la fonction barrière et la perméabilité (contrôle de l’inflammation, défense microorganismes étrangers, etc.) [7].
Ces effets se traduisent concrètement par une meilleure digestion, un métabolisme optimisé, un système immunitaire plus affuté, etc.
Enfin, au-delà de la production d’acides gras à chaîne courte via la digestion, saviez-vous que notre microbiote joue un rôle important dans la production d’une variété de composés nutritionnels ? En effet, nos bactéries intestinales participent à la production de vitamines K et certaines vitamines du groupes B comme la B12 et la B9 [8,9].
Le microbiote : acteur central de notre santé
Vous l’aurez compris, une grande partie de notre santé se joue donc dans notre intestin. Au-delà de ses fonctions digestives, notre microbiote joue un rôle physiologique clé, car il possède des fonctions essentielles pour notre organisme : fonction barrière et rôle dans le système immunitaire, régulation métabolique et nerveuse, etc… [2]. C’est par ses différents rôles et parce que notre microbiote est extrêmement modulable (environnement, alimentation, prise de médicaments…), qu’il est capable de jouer un rôle fondamental dans notre santé, et à divers niveaux [10].
Aujourd’hui, les scientifiques s’accordent tous sur le fait qu’un microbiote en « bonne santé », c’est-à-dire en « symbiose », contribue au bon équilibre de nos fonctions physiologiques au-delà de nos fonctions digestives [11,12]. Inversement, la littérature scientifique a rapporté que des relations importantes entre un microbiote appauvri et perturbé (c’est-à-dire en « dysbiose ») avec diverses problématiques de santé, allant des troubles digestifs à des troubles métaboliques et nerveux [13,14].
Vous l’aurez compris, mieux vaut prendre soin de son microbiote. La santé de ce dernier dépend de nombreux paramètres, allant de l’alimentation (LE facteur majoritaire), à l’âge, en passant par votre environnement présent mais aussi passé [15] ! En effet, de plus en plus de travaux font le lien entre le microbiote de l’enfant et le régime alimentaire de la mère et l’environnement/événements pendant la période périnatale [16,17]. Eh oui, vous n’avez peut-être pas tort de vous poser certaines questions sur l’origine de votre microbiote !
Ferments lactiques*, qui sont-ils ?
On vous parle souvent de ferments lactiques naturels mais sans forcément expliquer ce que cachent ces mots. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a défini les ferments lactiques* comme « des microorganismes vivants qui lorsqu’ils sont administrés en quantités adéquates apportent des effets santé bénéfiques à l’hôte » [18]. En nutraceutique, les ferments lactiques* naturels sont essentiellement proposés sous forme de souches bactériennes lyophilisées et on met souvent en avant le nombre d’UFC, -Unité Formant Colonie- soit l’unité de mesure qui permet de comptabiliser la quantité de bactéries viables présente dans le produit.
Si de nombreuses données scientifiques sur les ferments lactiques* ont démontré leur impact positif sur la santé gastro-intestinale en réponse à différents désordres physiologiques (transit, irritabilité du côlon, etc.) [19,20], il reste beaucoup de domaines à explorer, comme l’action spécifique souche par souche, leur lieu d’activité, leur adhérence, leurs interactions ainsi que leurs mécanismes d’action… Un des prérequis majeurs d’un bon probiotique est notamment sa capacité à persister et agir tout au long du tractus intestinal.
Résultat, la majorité des produits nutraceutiques présentent des mix en apparence équilibrés et très dosés (souvent basés sur Lactobacilles et des Bifidobactéries) mais cachent en réalité un mélange de bactéries génériques et simplement rentables à produire, sans rationnel scientifique établi. Qu’est-ce qu’une bactérie générique ? C’est très simple. Ce sont des souches identifiées par leur nom de famille (par exemple Lactobacillus plantarum) sans que l’on sache exactement de quel membre de la famille on parle.
Disons que l’on parle de la famille des Dupont. Je connais de loin Mme Dupont, et je me dis que les Dupont se ressemblent probablement tous et qu’ils ont les mêmes talents. C’est précisément la supposition qu’on fait en travaillant avec des souches génériques. On sait que les membres de la famille des “Plantartum” sont généralement très actifs dans l’intestin, et on suppose que si je prends n’importe quel “Plantarum” (au hasard, celui qui est disponible chez mon producteur, le moins cher), il fera le job aussi bien que tous les autres. En gros, la promesse de ces produits est : “il paraît que ça marche, mais ne nous demandez pas comment !”... Et tant pis pour la science.
Heureusement, des produits mieux caractérisés et étudiés méthodiquement commencent à être solidement documentés, comme nos 3 souches stars. Autrement dit, là on ne parle pas d’un M. ou Mme Dupont, on parle d’un membre particulier de la famille, disons Pierre Dupont… dont on connaît absolument tout : taille, âge, couleur de cheveux… Son ADN est décortiqué dans les moindres détails, et surtout, on sait que c’est lui qu’il vous faut, pas son frère Paul, ni sa cousine Martine.
Tous les ferments lactiques* ne se valent pas
Vous l’aurez certainement remarqué, depuis quelques années, le nombre de formules ferments lactiques* augmente de manière exponentielle. Toutefois, la qualité d’une formule reste difficile à évaluer et c’est pourquoi de nombreuses étiquettes vantent des arguments faciles, mais pas toujours vrais, tels que la surenchère aux nombres d’UFC, la multiplication du nombre de souches ou encore la conservation au réfrigérateur… Le tout sans rationnel clair ni explications crédibles.
De ce fait, les produits se multiplient mais les questions demeurent : quels ferments lactiques* ? Quels dosages pour la meilleure efficacité ? Quelle population cible ? Quelle sécurité ? Autant de questions dont les réponses sont aussi des critères recommandés dans la littérature dans le choix de bons ferments lactiques* naturels [21].
Aujourd’hui, un écart conséquent est en train de se creuser entre les produits basés sur la science et ceux basés sur les idées reçues. Si vous avez un doute, jetez un coup d'œil sur la liste de souches présentes dans votre mix, et posez-vous ces quelques questions simples :
D’ailleurs, pour comprendre comment sont généralement formulés les produits à base de ferments lactiques* rendez-vous sur notre blog : Ferments lactiques : couteau suisse de la nutraceutique.
Les flavonoïdes (polyphénols), des composés au potentiel prébiotique ?
Comme si la complexité des ferments lactiques* était insuffisante, on va maintenant passer aux prébiotiques. Et commençons justement par la base : qu’est-ce qu’un prébiotique ? Les prébiotiques ont été définis comme des composants non viables qui ont la capacité d’aller jusqu’au côlon et qui stimulent de façon sélective (par fermentation) la croissance et/ou l’activité d’une ou plusieurs bactéries coliques [22]. Dit simplement, c’est de la « bonne nourriture » pour les bactéries de votre microbiote : mieux elles mangent, mieux elles se portent, et par ricochet immédiat, mieux vous vous portez !
En effet, s’il était établi que les prébiotiques sont essentiellement des fibres (les plus connues : fructo-oligosaccharides (FOS), galacto-oligosaccharides (GOS), inuline de chicorée, psyllium…), les études ne sont pas toutes formelles quant à leur effet réellement bénéfique. Tout dépend en fait de la définition du terme "prébiotique". Celle-ci a recément connu de légères modifications, et pour bénéficier de cette appellation, les substrats doivent désormais présenter des effets bénéfiques à la santé intestinale et la croissance du microbiote, ce qui n'est pas le cas de toutes les fibres [23]. Le terme n'inclut donc pas l'ensemble des fibres, mais seulement une partie d'entre-elles et peut désormais accueillir d'autres types de substrats.
En revanche, si les composés tels que les polyphénols semblent pouvoir interagir efficacement et de façon bénéfique sur le microbiote, leur structure doit être considérée. Car bien qu’ils montrent une activité prometteuse en éprouvette, en revanche, ils échouent souvent dans leur capacité à agir “dans la vraie vie” ou in vivo. Il faut savoir que les polyphénols sont tout simplement complètement métabolisés (la molécule est cassée par le corps et évacuée) avant même d’arriver sur leur lieu d’action. Ces molécules sont donc bien bénéfiques au niveau du côlon [24], à condition qu’ils puissent y arriver…
Une sélection spécifique de certains polyphénols s’impose pour garantir leur arrivée jusqu’au côlon [25]. Heureusement, la nature fait bien les choses, puisque certains polyphénols sont naturellement protégés (osons le terme : vectorisés !) et peuvent arriver intacts jusqu’au côlon pour y être métabolisés sur place et agir. On les retrouve essentiellement dans les agrumes (oranges, pamplemousses…) : il s’agit des fameux flavonoïdes (hespéridine par exemple).
Remettre la science au cœur du développement produit
Si un écart se creuse entre les formules standards et celles qui collent aux dernières avancées de la science, alors nous choisissons clairement d’être dans la seconde catégorie. Probio² remet justement la science au centre de sa conception, en s’adossant aux dernières avancées de la science, jusqu’aux moindre détails.
Un mix ferments lactiques* pensé pour tous
L’association de nos 5 lactobacilles et 4 bifidobactéries a été pensée pour réunir le meilleur des deux philosophies :
Gros plan sur nos 3 souches stars
Lactobacillus plantarum 6595 (Probi : DSM 6595) [29-34]
- Identité : espèce dominante parmi le genre Lactobacillus qui colonisent notre tube digestif [28]
- Origine de la souche : muqueuse intestinale humaine
- Science : 9 études cliniques sur un total de 743 sujets
- Brevets : 11 brevets à son actif
- Recul : sujet d’étude depuis 1993 et statut d’innocuité reconnu auprès des autorités européennes (statut QSP)
Lactobacillus rhamnosus 6594 (Probi : DSM 6594) [29,36,37]
- Identité : espèce colonisant notre tube digestif pouvant être associée à un allaitement pendant l’enfance [35]
- Origine de la souche : muqueuse intestinale humaine
- Science : 4 études cliniques sur un total de 769 sujets
- Brevets : 4 brevets à son actif
- Recul : sujet d’étude depuis 1993 et statut d’innocuité reconnu auprès des autorités européennes (statut QSP)
Lactobacillus paracasei 13434 (Probi : DSM 13434) [39,30,40]
- Identité : espèce du groupe Lactobacillus majoritairement utilisée en industrie agroalimentaire pour l’élaboration de nos produits quotidiens [38]
- Origine de la souche : muqueuse intestinale humaine
- Science : 8 études cliniques sur un total de plus de 860 sujets
- Brevets : 7 brevets à son actif
- Recul : sujet d’étude depuis 1998 et statut d’innocuité reconnu auprès des autorités, européennes (statut QSP)
Un polyphénol au potentiel prébiotique prouvé
Les polyphénols ont été rapportés dans la littérature scientifique comme des “composants alimentaires fonctionnels pouvant influencer notre microbiote” [41]. Mais bien qu’ils soient capables d’interagir avec notre microbiote et ce, de façon bénéfique, leur arrivée dans le côlon n’est pas toujours prouvée. On s’est donc naturellement tourné vers les flavonoïdes d’agrumes, naturellement armés pour survivre et arriver intacts au côlon.
Microbiomex® est un extrait d’agrumes (oranges et pamplemousses) riche en flavonoïdes et qui a justement prouvé son action sur l’activité du microbiote intestinal lors d’études in vivo et clinique, c’est-à-dire dans la vraie vie. La forme chimique glycosylée (associée à des sucres) des flavonoïdes contenus dans cet extrait, leur permet d’être protégés dans le tractus digestif pour être finalement dégradés (clivage de la liaison avec les sucres = déglycosylation) au niveau colique.
Les résultats des études menées sur Microbiomex® ont montré qu’il potentialise la production d’acides gras à courtes chaînes suggérant une modulation de l’activité du microbiote dès 500mg [42]. Cet extrait 100% végétal, standardisé en hespéridine, se voit donc attribuer une action prébiotique selon les définitions les plus récentes.
Les flavonoïdes agissent selon deux mécanismes :
Une association Ferments lactiques / Prébio qui fait sens
Vous l’aurez compris, l’avantage décisif ici est que l’effet bénéfique sur le microbiote (prébiotique) est obtenu pour un dosage très faible par rapport à celui des fibres (7g), prébiotiques d’une autre catégorie. Résultat, le mix Probiotique/Prébiotique tient en 2 petites gélules quotidiennes (et pas n’importe lesquelles, nous le verrons plus tard).
Et comme vous suivez parfaitement, vous vous demandez logiquement si le prébiotique ne représente pas un risque pour la stabilité des ferments lactiques*, puisqu’ils sont mélangés dans la même gélule. Et bien nous nous sommes posés la même question, et la réponse est « non », aucun risque au niveau de la stabilité pour les ferments lactiques*, nous vous le prouvons par des études (la science, toujours la science).
Efficacité garantie dans la durée
Première Garantie : Un dosage « maîtrisé »
Sur le marché, de nombreuses formules ferments lactiques* brouillent le message et mettent en avant un mix probiotique dont les dosages sont peu explicites. Très souvent, la diversité des souches prime sur leur stabilité et leur résistance. De ce fait, vous êtes en droit de vous demander sur quelles garanties est-il possible de se baser pour être sûr de bénéficier des effets promis ?
Incontestablement, un mix de ferments lactiques* ne peut être valorisable que pour un dosage alliant quantité suffisante d’UFC (dose-réponse) et viabilité (dose-stabilité). Les souches stars que nous avons sélectionnées ont montré une très bonne stabilité et survie à travers le tractus gastro-intestinal.
Nous avons également multiplié par 12,5 le dosage recommandé de nos 3 souches stars afin d’assurer la dose recommandée à la date limite de consommation du produit. En effet, il est très complexe de suivre la viabilité des souches tout au long de la vie du produit, c’est pourquoi une dose de 12,5 milliards par souche permet d’assurer à Probio² un apport d’au moins la dose recommandée.
Souche ferment lactique | Dose active selon études cliniques | Dose Nutri&Co Quantité pour 2 gélules à la production | Dose garantie Quantité pour 2 gélules à la fin de la date limite de consommation |
Conditions de stockages, cycle de vie des souches… ➔ | |||
Lactobacillus plantarum DSM 6595 | Min. 1 x 109* UFC** | 12,5 x 109 UFC | > 2 x 109 CFU |
Lactobacillus rhamnosus DSM 6594 | Min. 1 x 109 UFC | 12,5 x 109 UFC | > 2 x 109 CFU |
Lactobacillus paracasei DSM 13434 | Min. 1 x 109 UFC | 12,5 x 109 UFC | > 2 x 109 CFU |
*109 : 1 milliard
**UFC : Unité formant colonie
Deuxième garantie : Encapsulation en DRcaps®*
DRcaps® (Capsugel) est une technologie Made In France de capsule en HMPC (hypromellose végétale, fibres) développée pour protéger efficacement les composées sensibles à l’acidité gastrique. Son efficacité, quant au relargage des composés après le passage dans l’estomac (milieu acide), a été démontrée par une étude de simulation du tractus digestif de l’Homme [44] mais aussi en étude clinique. Ces données ont permis de montrer que la dissolution complète de la capsule, et donc la libération des composés nutritionnels présents dans la capsule, avait lieu au niveau intestinal (intestin grêle, juste après l’estomac).
*DRCaps® est une marque de LONZA (ou d’une de ses filiales), enregistrée en UE.
Troisième garantie : une production chez des spécialistes mondiaux
Notre souhait de confectionner le meilleur probiotique du marché nous a forcément poussés à aller chercher les meilleurs spécialistes au niveau international.
- Probi nous fournit les ferments lactiques*. C’est un expert mondial reconnu depuis les années 80. Les souches qu’il produit lui-même sont étudiées depuis les années 90 et jouissent d’un recul inégalé, tant sur les aspects d’efficacité que sur les aspects de stabilité.
- Notre façonnier, qui encapsule ces ferments lactiques*, jouit aussi d’une réputation mondiale dans le domaine. Nutrilinea maîtrise parfaitement la production de gélules ferments lactiques*, en appliquant notamment un niveau de contrôle exceptionnel des conditions de Température et Humidité :20/20 = “20°/20%”. Record mondial !
Probiotiques et ferments lactiques, quelles différences ?
“Probiotique” est un terme qui convient en principe à des bactéries et à des levures. Selon la définition de l’OMS "les probiotiques sont des microorganismes vivants qui apportent des effets bénéfiques à la flore intestinale". Etymologiquement parlant, ce terme signifie “pour la vie” et représente donc une allégation santé en tant que telle, alors même que ces bactéries n’ont pas encore obtenu d’allégation de la part des autorités de santé. Le mot reste donc prohibé en France pour les produits nutraceutiques.
Le terme "ferment lactique" que nous avons décidé d'utiliser est celui qui se rapproche le plus de ce que nous proposons dans les gélules, à savoir des "bonnes" bactéries lyophilisées qui vont interagir avec l’écosystème intestinal, et cela même si théoriquement un ferment lactique fait référence à un type spécifique de bactéries et que nous l’utilisons avec une définition plus générale.
D’autres utilisent le terme microbiotiques, mais il peut être trompeur car le microbiote fait référence à la flore "propre" de l’individu, or cet apport externe de bactérie n’en fait pas partie. Bref, après le terme générique de "bactéries", voire "bactéries lactiques", l’appellation "ferment lactique" est certainement celle qui se rapproche le plus de ce que nous utilisons dans les gélules.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Publications
Notre promesse de transparence passe aussi par la publication des analyses qualité :
Lieu de culture : Redmond, Washington, USA - Centre de Recherche : Malmö, Suède
Pionnier et référence dans la recherche sur les ferments lactiques*, Probi possède sa propre bibliothèque de souches uniques brevetées qu’ils développent et étudient depuis la fondation du groupe en 1991.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Recherche : Pays-Bas, Maastricht, Lieu de culture des Citrus et production : Espagne, Murcie.
Spécialiste de la recherche sur les bienfaits des agrumes, Bioactor a découvert plusieurs actifs végétaux aux vertus digestives qui ont donné naissance à un brevet : Microbiomex®.
Lieu de production : Colmar, France
Considéré comme le fabriquant de gélules le plus qualitatif au monde, LONZA a mis au point les DRCap® en France, spécifiquement pour protéger les probiotiques de l’acidité gastrique.
Lieu de fabrication : Milan, Italie
Nutrilinea est un acteur mondialement connu pour son expertise dans la préservation de la viabilité des ferments lactiques*, qui passe par une maîtrise absolue des conditions de température et d'humidité.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Lieu de culture : Redmond, Washington, USA - Centre de Recherche : Malmö, Suède
Pionnier et référence dans la recherche sur les ferments lactiques*, Probi possède sa propre bibliothèque de souches uniques brevetées qu’ils développent et étudient depuis la fondation du groupe en 1991.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Recherche : Pays-Bas, Maastricht, Lieu de culture des Citrus et production : Espagne, Murcie.
Spécialiste de la recherche sur les bienfaits des agrumes, Bioactor a découvert plusieurs actifs végétaux aux vertus digestives qui ont donné naissance à un brevet : Microbiomex®.
Lieu de production : Colmar, France
Considéré comme le fabriquant de gélules le plus qualitatif au monde, LONZA a mis au point les DRCap® en France, spécifiquement pour protéger les ferments lactiques* de l’acidité gastrique. Fondation du groupe en 1991.
Lieu de fabrication : Milan, Italie
Nutrilinea est un acteur mondialement connu pour son expertise dans la préservation de la viabilité des ferments lactiques*, qui passe par une maîtrise absolue des conditions de température et d'humidité.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
L’utilisation de ferments lactiques* lyophilisés permet de s'affranchir du réfrigérateur. Contrairement aux bactéries vivantes, ces souches sont mises en état de dormance afin de figer leur développement et éviter leur mort. Ce procédé de lyophilisation garantit ainsi une bonne stabilité à température ambiante. Une fois ingérées, ces bactéries s'éveillent au contact de l’humidité pour assurer leurs rôles bénéfiques.
Des études comparant la pénétration et la survie des bactéries lyophilisées et vivantes une fois ingérées n'ont montré aucune différence significative. Les recherches sont ainsi majoritairement menées à partir de souches lyophilisées.
En réalité, l’ennemi n°1 des probiotiques n’est pas la température, mais l’humidité qui réveille les bactéries et accélère donc leur cycle de vie. Pour cette raison, la conservation au réfrigérateur est contre-productive puisqu’elle engendre une condensation d’humidité dans le flacon à l’ouverture. Évitez donc le frigo et les pièces particulièrement humides comme les salles de bain.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Les 3 souches « stars » (Probi SelectTM) sélectionnées, ainsi que les autres souches de notre mix, sont exclusivement d’origine humaine et présentes au niveau des muqueuses intestinales. Elles ont été identifiées, sélectionnées, caractérisées et étudiées par notre partenaire PROBI qui les produit également.
Il est important de comprendre qu’en matière de ferments lactiques*, les résultats sont fonction du microbiote de l’hôte. Chacun réagira différemment. On peut toutefois distinguer deux approches :
- L’approche curative (2 gél/j) en cas de maux digestifs présents et identifiés. Vous en donner la durée exacte serait prétentieux sachant que nous n'avons aucune idée de la façon dont votre microbiote va réagir. Certains ressentent des effets immédiats, tandis que pour d'autres les résultats s’expriment en une ou deux semaines.
- L’approche anticipative a pour objectif une santé digestive et immunitaire renforcée. Dans ce cas il est conseillé de prendre une seule gélule par jour mais en continue. Une vaste étude américaine a démontré qu’une telle action préventive pouvait avoir un impact substantiel sur la réduction du coûts des soins de santé.
Il est aussi intéressant d’accompagner la prise de ferments lactiques* d’un régime riche en fibres (Low-FODMAPs) et riche en flavonoïdes.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
On entend par « coloniser » une souche ferment lactique capable de prendre définitivement place au sein de votre microbiote. Si personne n’est aujourd’hui en mesure de l’affirmer, plusieurs travaux laissent à penser que les ferments lactiques* ne passent que quelques semaines en jouant le rôle de patch temporel. Pour continuer à bénéficier des effets d’un probiotique, il faut donc le prendre sur le long terme.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Chez Nutri&Co, nous préférons améliorer les formules existantes plutôt que de multiplier les références. Notre équipe reste donc en veille perpétuelle pour déceler les axes d’amélioration. Sur nos ferments lactiques*, nous en avions identifiés 3 :
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Le composé Microbiomex® (standardisé en flavonoïdes) est 100% d’origine végétale. Il s’agit d’un extrait pur de citrus (Pamplemousse et Orange), sans support ni additifs. Son origine est connue et contrôlée, depuis les champs de culture en Espagne jusqu’à l’achat de vos gélules.
Effectivement, dans la première version de notre mix de ferments lactiques*, nous avions écarté les prébiotiques car leur efficacité n’a été prouvée qu’à partir de 3 g par jour soit une prise de 7 gélules de taille standard.
Mais la science avance, et à ce jour, une nouvelle définition des prébiotiques se dessine suggérant que de nouveaux composés pourraient y être intégrés comme certains polyphénols tels que les flavonoïdes. Ces derniers seraient en effet capables d’exercer une action prébiotique en étant efficace en très petite quantité (500 mg) et c’est justement le cas de Microbiomex®, qui, cerise sur le gâteau, n’altère en rien la stabilité des ferments lactiques*.
En revanche, lorsque nous évoquons flavonoïde à action prébiotique, il est important de préciser que ce dernier ne se substitue pas aux fibres, dont l’action prébiotique est complémentaire.
En conclusion, il est désormais possible de réunir ferments lactiques* et prébiotique dans une même formule et de garantir son efficacité.
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Les ferments lactiques* influencent notre immunité de trois façons :
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Pour les marketeurs, le nombre d’Unités Formant Colonie est une aubaine car il permet de ramener un élément facilement intelligible aux yeux des néophytes. Pourtant, si le nombre d’UFC nous donne une vague information sur la charge globale du mix, il n’assure en rien la qualité du produit acheté.
Ce qui compte avant tout, c’est de retrouver à chaque instant de la vie du produit, la quantité de souches clés ayant démontré une efficacité en études cliniques.
La plupart des souches clés sont opérantes à partir du milliard d’UFC et leur surdosage en dizaine de milliards intervient uniquement pour vous assurer l’efficacité du mix après 24 mois de conservation.
Non, nos souches ne sont pas OGM (Organisme Génétiquement Modifié) car toutes issues de muqueuses humaines. En réalité ce n’est pas leur matériel génétique qui est breveté, mais leurs bénéfices cliniques spécifiques. C’est le cas de nos 3 souches stars présentent dans notre mix :
- Lactobacillus plantarum (Probi : DSM 6595),
- Lactobacillus rhamnosus (Probi : DSM 6594),
- Lactobacillus paracasei (Probi : DSM 13434).
Nos ferments lactiques* sont fermentés comme tous les micro-organismes, et sont d’origine humaine. Ce qui veut dire qu’à l’origine, la souche-mère qui sert à fermenter nos produits a été extraite de muqueuses humaines. Le label BIO, lui, est là pour garantir une « Agriculture Biologique ». Vous comprenez donc aisément qu’il ne fait aucun sens de labéliser des probiotiques « Agriculture Biologique ». À moins qu’ils ne soient pas d’origine humaine…
*Bien qu’autorisé en Espagne et Italie, l’utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
Vous avez l’habitude de voir le terme "probiotique" sur notre site, ainsi que ceux de nos confrères pour décrire les bactéries utilisées en Nutraceutique. Selon l’OMS, "probiotique" désigne "des micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont ingérés en quantité suffisante, exercent des effets positifs sur la santé, au-delà des effets nutritionnels traditionnels". Mais à ce jour, l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) n’a autorisé aucune allégation santé pour ces bactéries. Par le fait que ce terme sous-entend un effet bénéfique ("probiotique" signifiant "pour la vie") et s’assimile donc à une allégation, il est proscrit pour une simple question d’étymologie. En France, nous n’avons donc pas le droit de l’utiliser, et nous avons donc choisi le terme de "ferments lactiques".
Le terme micro-biotique, que l’on voit essaimé un peu partout, et qui cherche à remplacer “probiotique” est pour nous un non sens puisqu'il fait référence à votre flore intestinale (microbiote), or ce qui se trouve dans les gélules n’en fait pas partie. Ce terme nous paraît donc usurpé et pour le coup vraiment trompeur.
Certains pays comme l'Espagne ou l’Italie autorisent pourtant l’utilisation du terme “probiotique” qui est selon eux bien connu et compris par les consommateurs et qui par conséquent n’engendre aucune tromperie.
Pour la petite histoire, en France les mêmes bactéries utilisées dans un yaourt ou lait fermenté peuvent bénéficier de cette appellation !
Depuis plus de 3 décennies, la science ne cesse d'accumuler des preuves quant aux bienfaits des ferments lactiques*. Mais malgré plus de 1000 espèces connues, peu de souches ont vu leurs rôles étudiés, et avec l’émergence des prébiotiques, difficile de s'y retrouver…
Si de nombreux mix sont proposés, aucun n'a réussi à concilier ferments lactiques* ET prébiotique brevetés dans une même gélule gastro-résistante et avec preuves scientifiques à l’appui. C’est pourquoi nous l’avons fait !
*Bien qu'autorisé en Espagne et en Italie, l'utilisation du terme "probiotique" est interdite en France pour les produits nutraceutiques.
60 gélules • à partir de 1/j